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fan de romans policiers
10 février 2019

72 année 2/ Maj Sjöwall et Per Wahlöo " L'homme qui partit en fumée"

Bonjour,

 

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Voici finalement ma fiche de lecture sur le tome 2 de la série consacrée au commissaire Beck.

Dans ce roman, ce dernier n'est d'ailleurs pas encore commissaire...

L'histoire :

Beck est ravi car il est le soir même en vacances et part rejoindre son épouse. Celle-ci et les enfants se trouvent depuis un mois sur une ile et profitent de la maison prêtée par un proche. Il fait beau et Beck fera du bateau...

Il est à peine arrivé sur place qu'il est rappelé au travail au grand dam de son épouse. Je précise que le couple ne s'entend plus vraiment et que Mme Beck reproche à son conjoint ses très nombreuses absences dues au travail.

L'enquête qu'il finit par accepter implique qu'il se rende en Hongrie où un journaliste a disparu, il est littéralement parti en fumée... laissant une valise, sa machine à écrire et son passeport.

c'est une enquête un peu bizarre car Martin Beck se trouve seul sur place sans l'aide de son équipe. Petit rappel, on se trouve derrière le rideau de fer.

Et puis c'est un personnage peu sympathique ce journaliste.

Martin Beck retrouve une adresse ou s'est rendue.

la jeune femme qui le reçoit occupe une chambre dans une pension de famille mais elle  assure Martin Beck qu'elle ne le connaît pas. Elle retrouve par hasard Beck et tous deux passent une journée agréable avant que ne le retrouve dans sa chambre et est mise à la porte. Beck se méfie et il a raison car peu de temps après il est victime d'une agression que le major , un policier local arrive à déjouer.

Là Beck découvre que le journaliste était en réalité un trafiquant de drogue, important le haschich en Suéde.

Mon avis :

Un rythme lent et on se demande bien comment Beck va pouvoir se débrouiller seul à Budapest alors qu'il ne parle pas la langue et que les indices sont minces.

J'ai aimé la description de Budapest par petites touches, une sorte de pointillisme comme en peinture.

J'ai été surprise par le fait que le roman n'a pas vraiment vieilli, c'est incroyable!

On se doute de ce qui a pu se passer à un moment de la lecture.

De plus la victime n'est vraiment pas attachante mais c'est justement ce qui est intéressant dans les romans de ce duo car rien n'est tout blanc ou tout noir.

Martin Beck réussit une sorte de tour de force en enquêtant tout seul avec peu d'indices!!

Un petit clin d'oeil au roman précédent puisque Beck envoie une carte postale de Budapest à Ahlberg dont il est devenu l'ami.

Un livre à lire, sans aucun doute même si ce n'a pas été mon préféré de la série.

A bientôt

 

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