Ma chronique du jour est consacrée à Jorn Lier Horst et à son roman « Les chiens de chasse ».

C’est le deuxième roman de cet auteur. Je me souviens avoir lu «  Fermé pour l’hiver » un roman qui m’avait beaucoup plu et aux multiples rebondissements. Du coup je m’étais procuré des romans ultérieur et celui-ci est donc le deuxième. Il met également en scène Wisting, un policier opiniâtre….

Je publie moins fréquemment à partir de maintenant car mes stocks faiblissent hi hi !!

L’histoire :

Wisting est un policier respecté. Sa fille, qui est journaliste, lui passe un coup de fil pour l’avertir que son journal va faire sa une du lendemain sur lui, le mettant gravement en cause dans l’affaire Cecilia. Dix sept ans auparavant Cecilia Linde disparaissait. Elle était la fille de Johannes Linde un homme d’affaire spécialisé dans l’immobilier mais aussi dans les vêtements. Il avait notamment créé sa propre marque et ses pulls avaient eu beaucoup de succès, sa fille ayant d’ailleurs servi de mannequin. Cecilia avait disparu dans l’après midi du samedi 15 juillet après avoir fait un jogging.

Wisting avait été chargé de l’enquête en binome avec Frank Roekk, un collègue de même âge qui avait souhaité ne pas mener l’enquête.

Le corps était retrouvé douze jours plus tard.

Trois jours après la disparition, un témoin s’était présenté indiquant avoir vu une opel, coffre ouvert dans un chemin de terre près d’une ferme et sur les lieux la police trouvait le baladeur de Cecilia.

Mon avis :

L’intrigue démarre sur les chapeaux de roue et plonge dans le passé de Wisting. Passionnant ! On est scotché dès le début, en tout cas moi je l’ai été. Maintenant l'enquêteur est quequ'un de posé, de réfléchi et l'enquête est à son image...

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Kathy Reichs et à son roman «  la mort sans visage ».

Le roman est récent et date de début 2020...

J’ai lu pas mal de romans de Kathy Reichs et j’avais apprécié les premiers puis j’avoue m’être lassée. Du coup j’ai un grand vide dans la chronologie du devenir des personnages...

L’histoire :

Temperance Brennan vit une période difficile car un nouveau medecin légiste a été nommé qui lui mène la vie dure et refuse de faire appel à elle…

Elle reçoit des photos sur son téléphone portable d’un homme mort et portant des mutilations dues apparemment aux cochons sauvages. Son corps est vraiment abimé...

Le docteur Heavner tient une conférence de presse mais ses dires laissent Temp songeuse. Elle s’intéresse au dossier qu’elle arrive à se procurer et se lance dans l’enquête.

Le mort est un homme d’origine russe Felix Vodyanov, qui est le frère de Nick Brody, un homme adepte des théories du complot.

De l’analyse de papiers retrouvés dans le manteau de la victime, il semble que Felix Vodyanov a cherché, quelques jours avant son décès à contacter Temperance Brennan. Il a également inscrit le nom de Jahaan Cole, une enfant enlevée quelques années auparavant et qui n’a jamais été retrouvée...

Mon avis :

L’intrigue m’a plu même si j’ai trouvé que l’auteur rallongeait la sauce à coup de multiples questions censées aiguiser l’intérêt du lecteur ou par des récapitulatif un peu redondants. Mais passons…

Certains personnages comme Ryan sont peu présents et manquent de personnalités, dommage.

Il n’en demeure pas moins que le roman est distrayant et m’a plu malgré les petits bémols que j’ai relevés.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Steve Berry et à son roman «  Le mystère Napoléon ».

Ce roman fait parti de la série Cotton Malone. Il date de 2013, pas tout jeune donc mais j'aime parfois relire des romans plus anciens.

L’histoire :

Un homme s’introduit au domicile de Cotton Malone et lui fait part de ce que son ami Henrik Thorvaldsen semble avoir besoin d’aide car son domaine de Christiangade ne répond plus…

L’homme, Sam Collins, est un agent fédéral qui gérait un site internet sur les complots mondiaux et c’est ainsi qu’il a fait la connaissance d’Henrik.

Un groupe, le Club de Paris, semble vouloir agir de façon à se procurer de considérables profits. Henrik réussit à s’introduire au sein de ce club très fermé dirigé par Eliza Laroque. Il souhaite par là atteindre Lord Ashby qu’il souhaite tuer car c’est lui qui est à l’origine de la mort de son fils Cai.

Pourquoi «  le mystère Napoléon » ? Lord Ashby et Eliza Laroque souhaitent résoudre le mystère du trésor de Napoléon…

Mais Lord Ashby travaille aussi pour les américains et Stéphanie Nelle ne veut pas qu’il soit tué...

Mon avis :

Une intrigue compliquée mais plaisante.

On passe un moment de lecture agréable, c'est divertissant sans temps mort. Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est crédible et que l'histoire de France à la sauce américaine est top  mais ce n’est peut être pas le but hi hi !!

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Sylvie Grignon et à son roman «  Indigo ».

J’avais pris «  Rouge » à ma médiathèque ainsi que celui-ci, bon je l’ai lu !! Je n'ai pas fait la critique tout de suite car j'avoue ne pas avoir été passionnée par ce roman qui date de 2016.

L’histoire :

Antoine Bourgnon est désormais marié à Adelyse et même père de famille. Il se voit chargé d’une enquête étrange. Plusieurs morts en forêt de Brocéliande dont le dernier en date a été trouvé par deux jeunes femmes Emma et Claire Montdois. Elles ne sont pas sœurs mais Emma a été recueillie par la mère de Claire après le décès de ses parents.

La victime est Pierre-Alexandre, le fils de Pierre de Birencourt, dirigeant d’un empire pharmaceutique.

Il était hospitalisé dans un établissement de soins privé appartenant à Pierre de Tremazan, en raison du fait qu’il se droguait.

Pierre de Tremazan a délégué la gestion de la clinique à son fils Tanguy qu’il méprise et a installé un laboratoire secret...

La victime précédente était une enfant de 8 ans, Anna.

Au cours de l’enquête on découvre deux autres victimes : une femme qui se révèle être la mère d’Emma.

Mon avis :

Comme pour le précédent roman, je n’ai pas vraiment accroché.

L’écriture est agréable.

L’intrigue n’est pas top mais il y a pire.

Ce qui m’a saoulé est l’aspect sentimental à deux balles et les personnages éclatent de rire à tout propos, c’est déconcertant !

Pour être tout à fait complète les critiques de ce roman sont tout à fait élogieuses et les 5/5 pleuvent, même chez Babelio. Cela me paraît juste étonnant. Un roman moyen avec d’aussi bonnes critiques c’est surprenant...

Je ne lirai pas les autres romans, enfin en ce moment la question ne se pose pas vraiment... le confinement me saoule!!

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Hannah Dennison et à son roman «  Meurtres à marée haute ».

L’histoire :

Ewie Mead est bouleversée par la mort de son mari, Robert.

Elle est épaulée dans ces moments difficiles par sa sœur Margot, qui a fait le déplacement depuis Los Angeles.

L’ami de ce dernier, Nigel, qui gérait ses biens lui annonce en outre que la fortune de Robert a disparu. Robert avait divorcé de Joanna.

La secrétaire de Nigel, Chérie, lui remet une lettre écrite par Robert et qu’elle n’avait pas encore classée selon laquelle il serait propriétaire d’un hôtel à Tregarrick Rock dans les îles Scilly.

Sur un coup de tête, Margot organise un week end à Tregarrick Rock.

Sur place, l’accueil est mitigé car l’hôtel est en principe en travaux et Lily, qui réside sur place, a la facheuse habitude d’accepter des réservation alors qu’elle n’est qu’une cliente. Lily est d’un certain âge mais elle a été la sage-femme de l’île.

Sur place se trouvent Jago Ferris, qui est le propriétaire de l’hôtel depuis plusieurs générations et aurait emprunté une somme importante à Robert en remettant l’hôtel en gage, sa femme Tegan, artiste peintre et amoureuse d’Alex, un célébre reporter pour une revue géographique, leur fils Cador. Mais aussi Vanessa, une femme de chambre amoureuse de Cador ...

L’enquête est menée par Patti, le chef de la police locale.

Peu après le meurtre de Jago, c’est Lily qui est assassinée.

 Mon avis :

Je ne connaissais pas cet auteur. Les personnages ne sont finalement pas ce qu’ils prétendre être.

Margot n’est pas la productrice fortunée, mariée à Brian mais une jeune femme quittée par un mari infidèle et assez minable.

J’ai bien aimé je dois dire même si je ne crie pas au génie. C'est distrayant!!

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Morgan Audic et à son roman « De bonnes raisons de mourir ».

L’histoire :

L’intrigue se déroule pour l’essentiel à coté de Tchernobyl.

Un policier divorcé de son épouse accepte d’enquêter sur la mort du fils d’un notable russe en échange d’une importante somme d’argent destinée à financer l’opération de sa fille.

Le policier Joseph Melnyk patrouille avec sa jeune collègue Galina Novak à proximité de la zone contaminée de Tchernobyl quant on les appelle pour leur signaler une mort dans la ville abandonnée de Pripiat. L’homme a manifestement été assassiné mais aucune autopsie ne peut avoir lieu compte tenu du degré de contamination…

Il s’agit de Leonid Sokolov, fils d’un ponte russe…

Ce dernier engage Alexandre Ribalko qui vient d’apprendre qu’il n’a plus que 4 mois à vivre et qui est originaire de la zone contaminée.

Alex mêne l’enquête et Joseph Melnyck également...

Mon avis :

Le roman est remarquable.

L’intrigue que je ne veux pas déflorer est excellente mais les personnages sont bien construits et ont chacun leurs failles et leurs soucis.

Joseph par exemple se voit interdire l’accès à son domicile tant qu’il n’est pas passé par la case désinfection et déshabillage. Il se soucie de la sécurité de son fils, combattant volontaire n’ayant même pas de gilet pare-balles.

Alex est malheureux d’avoir perdu l’amour de sa femme et veut se racheter.

Le monde dans lequel ils évoluent est gangrené par la corruption et la misère.

Il y a des circuits touristiques dans la zone de Tchernobyl et même des enterrements de vie de garçons…

J’ai adoré ce livre récent sur lequel je suis tombée par hasard.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à M.C.Beaton et à son roman «Au théâtre ce soir ».

Un achat de cet été à Bordeaux que je me réservais pour les jours de déprime!!

Il s’agit là d’un roman de la série Agatha Raisin que j’aime beaucoup car c’est distrayant !

L’histoire :

Agatha Raisin va voir une pièce de théâtre amateur avec Mme Bloxby, la femme du pasteur de son village…

A la fin de la pièce, un des participants, le boulanger du village dans la vraie vie, est censé disparaître par une trappe dans une envolée de fumée verte… en fait il  descend par la trappe mais se retrouve embroché au sous-sol par une tige de métal .

Le metteur en scène Gareth Craven embauche Agatha Raisin pour trouver le vrai responsable car il craint d’être soupçonné. L’un des autres comédiens amateurs a claqué la porte, John Hale.

Il est vraiment beau et Agatha en est amoureuse avant de se rendre compte qu’il en a surtout après son argent.

Puis elle s'amourache d'un bel agriculteur dont le fils l'a prise en grippe.

L’hiver arrive avec les chutes de neige, puis un printemps glacial, l’enquête est au point mort…

L’épouse de la première victime Gwen Simple ne manifeste aucun chagrin mais Agatha a du mal à l’imaginer tuant son mari aussi sauvagement. On annonce son mariage avec John Hale mais ce dernier disparait... on le retrouve... je ne le dirais pas hi hi!!

Une seconde victime, qui est décapitée, George Southern, a payé John Hale pour prendre le rôle de ce dernier  le temps d’une représentation…

Mais l'épée de théâtre, qui a servi au meurtre,  a été affutée par le forgeron. Son épouse a une liaison. Agatha pense que le forgeron, qui battait sa femme, a été tué par l’amant de celle-ci. Son corps est retrouvé dans un étang par Simon, le détective embauché par Agatha, détective amoureux de Tony, une autre détective de l’agence d’Agatha.

Mon avis :

J’avais envie de me changer les idées et j’ai pris le dernier Agatha Raisin. C’est sans prétention mais on ne se prend pas la tête… Bien sûr j'ai conscience que tous les romans sont bâtis sur le même modèle...

Et Agatha tombe amoureuse de tous les  hommes qui passent à proximité même s'ils sont parfois surtout intéressés par son aisance financière!!

Ce n’est pas de la grande littérature policière mais on aime la détente que cela procure et j'avoue qu'en ce moment j'ai besoin d'un peu de légèreté!! .

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Camilla Grebe et à son roman «  l’archipel des larmes ».

J’avoue que je ne sais plus trop sa date de parution mais c'est un roman récent ...

L’histoire :

Le roman commence avec l’histoire de Elsie, une jeune femme vivant en 1944 et dont le fiancé a été tué dans un accident. Elle travaille dans la police et a du confier sa fille à l’adoption. C’est elle qui découvre la victime de l’assassin des bas fond, une jeune prostituée tuée par son client qui l’a clouée au sol. Elsie est elle-même tuée par l’assassin, qui réussit à s’enfuir…

Les années passent et sa fille Britt-Marie entre dans la police. Elle est cantonnée à un rôle subalterne alors qu’elle est compétente et dispose des diplômes requis.

Elle prend connaissance d'une nouvelle affaire : Une jeune femme est tuée, clouée au sol...Britt- Marie fait le lien avec le meurtre de sa mère.

Elle enquête en solo et en toute discrétion sur cette affaire. Bientôt une autre jeune femme est tuée de la même façon. Elle soupçonne le fait que l’assassin passe par les toits mais le commissaire chargé de l’enquête se moque de son hypothèse.

Elle n’est pas heureuse dans sa vie sentimentale. Son mari boit. Heureusement, sa belle-mère l’aide à garder leur fils Eric.

Alors qu’elle est appelée par une possible victime qui a aperçu un homme roder près de chez elle, elle disparaît.

Son corps n’est retrouvé que plusieurs années plus tard et c’est Malin qui se charge de l’enquête...

Mon avis :

Un roman remarquable.

L’histoire laisse perplexe dans un premier temps et on est finalement emporté par ces destins de femmes.

La vie n’était pas simple pour ces jeunes femmes qui souhaitaient avoir une vie professionnelle… ou pas car Elsie a été dans l’obligation de gagner sa vie et pour cela a du faire adopter sa fille. Etre fille mère n’était pas simple en 1944.

Britt-Marie n’était pas heureuse, un mari buveur et un supérieur méprisant…

Même Malin s’est trouvée brimée par sa supérieure…

Et puis j’ai apprécié le fait que la situation des victimes collatérales de ces meurtres soit évoquée...

L’intrigue est également remarquable !

Un roman que je recommande donc à plus d’un titre.La chute est étonnante mais je n'en dirai pas plus.

Je pense n’avoir rien lu de Camilla Grebe et je le regrette, il va falloir que je remédie à cette lacune !!

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à James Rollins et à son roman «  Le labyrinthe des os».

L’histoire :

On découvre une grotte incroyable dans laquelle se trouve un squelette ancien donné comme étant Adam. Mais l’équipe composée notamment de Alex Wrightson, un géologue, de Dayne Arnaud, un paléontologue, de la scientifique Léna Crandall et d’un prêtre qui se prénomme Roland se fait attaquer. Ils sont sauvés de justesse par Gray et Seichan appelés à la rescousse.

Aux USA la sœur jumelle de Lena, Maria, se fait enlever avec Kowalski et son gorille génétiquement modifié Baako. Ils sont amenés en chine.

Baako est laissé dans une cage avec Kowalski. Ils communiquent en utilisant la langue des signes. Baako est exceptionnellement intelligent et rapidement Kowalski noue un lien particulier avec lui.

Baako doit se faire opérer, on doit lui ouvrir la boite cranienne ce que Maria ne peut accepter.

Dans une manœuvre désespérée elle tente de le sauver et de sauver Kowalski.

Ce dernier a été placé dans une cellule en compagnie de monstrueux singes. Une panne de courant libère les singes alors que tout notre petit monde tente de s’enfuir.

Mon avis :

Des aventures mouvementées mais peut être un peu plus subtiles que d’habitude.

Cette fois c’est kowalski qui trouvera l’amour, même si c’est éphemère.

J’ai aimé ce roman de James Rollins, peut être est il plus nuancé qu’en général.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à James Rollins et à son roman «  Noire providence».

J’avoue que je ne sais plus trop sa date de parution...

L’histoire :

Dans ce roman James Rollins explore le monde de Gengis Khan…

Le roman débute avec l’assassinat d’Attila par sa jeune épouse Ildiko.

Cette dernière, à la demande de l’église a tué Attila afin de récupérer des reliques et au coeur d’un triple écrin une clef devant protéger le monde de sa fin annoncée. Mais la croix ne s’y trouve plus …

Les siècles passent...

A Rome, Monsignor Verona reçoit une étrange paquet émanant d’un prêtre, le père Josip, qu’il croyait mort depuis longtemps. Ce dernier lui demande son aide. Il s'agit d'un  crane et d'un livre.

L’analyse du crane gravé en araméen montre qu’il s’agit d’une contrefaçon. Il était accompagné d’un livre relié en peau humaine, celle semble-t-il de Gengis Khan.

Cela annonce la fin du monde qui doit intervenir dans 4 jours alors qu'approche de la terre une étrange comete.

Le père Josip vit en Hongrie et Monsignor Verona va sur ses traces.

Aux USA on surveille l’envoi d’un satellite sphérique appelé l’œil de Dieu qui doit analyser une comète présentant des particularités laissant supposer qu’elle diffusait de l’énergie sombre. Mais l’œil de Dieu s’écrase sur le terre en Mongolie et la jeune scientifique Jada Shaw doit la récupérer ou à défaut la détruire. Elle est aidée par la Sigma Force. Point curieux on voit pendant quelques secondes la terre détruite.

Pendant ce temps à Macao,  Seichan et Gray Pierce recherchent la mère de Seichan qui serait toujours vivante.

Effectivement elle est bien vivante et dirige une triade.

Seichan est enlevée et Gray demande l’aide de sa mère.

Mon avis :

J’aime beaucoup les romans de James Rollins, c’est foisonnant à souhait, on ne s’ennuie pas une seule seconde.Çà a un petit coté super production hollywoodienne mais on est embarquée dans l'histoire et on ne boude pas son plaisir, d'autant que c'est toujours très documenté.

A bientôt