fan de romans policiers

Bonjour,

mon post du jour est consacré à Sandra Scoppettone et à son roman De peur et de larmes.

L'auteur :

Sandra Scoppettone est née en 1936 et a écrit notamment la série consacrée au détective Laurano. Elle a fait son coming out en 1970.

L'histoire :

Lucia Dove, shérif d’une petite ville de Virginie, s’ennuie dans son travail et envisage de démissionner.

Mais une jeune fille , Julie Boyer, disparaît alors qu'elle était devant chez elle. Elle est retrouvée assassinée quelques jours plus tard.

Lucia prend donc l’enquête en main, secondée par son lieutenant, Jack Fincham. Lucia a eu une expérience dramatique puisque sa fille Clare est morte. Elle avait quitté son ex-mari et avait eu ensuite cette enfant.

Jack Fincham est soupçonné et arrêté, suite à la découverte de traces de sang dans sa voiture. Mais Lucia est convaincue de son innocence et ce qu'elle découvre est terrible. Sa vengeance le sera aussi...

Mon avis :

un roman passionnant avec son lot de suspens même si on commence à avoir des doutes vers le milieu du livre.

J'ai adoré ce roman lorsque je l'ai relu.

A bientôt

Bonjour,

Comme chaque année, je fais au 31 août ou premier septembre un bilan de l'année écoulée. Officiellement j'ai lu moins de livres cette année que l'année précédente,  85 au lieu de 111 en réalité j'en ai lu d'autres mais je n'ai pas éprouvé le besoin de faire des critiques car certains étaient vraiment pas terribles.

En vacances j'ai lu plusieurs de ces romans qui sont, selon moi, des robinets d'eau tièdes, écrits à la chaîne, pas trop mal faits  mais pas terribles pour autant. J'ai l'impression que plusieurs dizaines de ces romans fleurissent partout. A la fin de la lecture de ces minces volumes on a déjà oublié l'intrigue.Ce doit être écrit par un groupe vu la productivité...

J'ai repris les romans de ma réserve. Je veux faire de la place mais avant je les relis et parfois avec grand plaisir...

A bientôt

Bonjour,

le post du jour sera consacré à Batya Gour et à son roman Le meurtre du samedi matin.

Comme les romans que je lis sont d'une grande médiocrité, je relis mes anciens livres avant de les donner.

L'auteur :

Elle est née en 1947 et morte en 2005.

Elle passe plusieurs années aux États-Unis avant de revenir s'installer à Jérusalem, où elle enseigne la littérature au lycée Boyar ainsi qu'à l'Université hébraïque de Jérusalem et à l'Open University.

Elle collabore également, en tant que critique littéraire à un journal israélien.

B. Gour se met à l'écriture sur le tard, à l'âge de 41 ans, et a écrit Le meurtre du samedi matin en 1988, roman qui met en scène son héros récurrent, le commissaire Michaël Ohayon, « directeur des affaires criminelle de Jérusalem ».

Ohayon, un ex-enfant prodige originaire du Maroc, a un parcours insolite pour un policier : grand, les yeux sombres, sensible, il est également cérébral, mélancolique et porté à l'introspection. Issu d'une famille nombreuse et défavorisée, il a décroché une bourse pour faire ses études à Cambridge, où il s'est spécialisé dans les guildes médiévales, sans toutefois pouvoir achever son doctorat. Il est le héros de 5 autres livres.( merci wiki)

L'histoire :

Shlomo Gold va ce samedi matin de bonne heure au prestigieux Institut de psychanalyse de Jérusalem où il prépare la salle de conférence pour  le docteur Eva Neidorf, analyste de renommée internationale. Elle revient d'un voyage d'un mois et doit donner cette conférence tres attendue. Elle est également l'analyste de son jeune collègue Shlomo Gold. C'est ce dernier qui la retrouve morte dans son bureau. Elle a été  tuée d'une balle dans la tempe. Pourquoi était elle là de si bonne heure?

Le commissaire Michaël Ohayon est chargé de l'enquête et est confronté à un  milieu  tenu par la déontologie du secret. Il finit par penser que sa conférence peut être à l'origine du meurtre. Mais sa maison est cambriolée et le texte de sa conférence volé. Ohayon essaie de contacter le comptable de la victime afin d'obtenir ses reçus et savoir qui étaient ses patients mais là aussi quelqu'un passe avant lui et se fait remettre le dossier. L'arme du meurtre est retrouvée dans le jardin d'un hôpital situé à proximité. Elle a été volée chez un des psychanalistes lors d'une fête à son domicile. L'enquête semble bloquée mais Ohayon s'acharne...

Mon avis :

Dés le début j'ai été frappé par la grande qualité du roman. Le désarroi de Gold face à la perte de son mentor, au tout début du livre, est merveilleusement rendu.

Ce livre nous plonge en outre dans l'univers de la psychanalyse avec ses règles sa hiérarchie... mais aussi, dans une moindre mesure,  dans la vie en Israël.

L'enquête est en outre bien ficelée et recèle bien des fausses pistes. J'ai éprouvé un certain bien être à lire un roman de qualité par rapport à d'autres auteurs "robinet d'eau tiède". Je vais essayer de commander les autres romans.

A bientôt

Bonjour,

Mon post du jour sera consacré à Tess Gerritsen et à son roman " Au bout de la nuit".

L'histoire :

Déclarée morte après une noyade, une jeune femme attend d’être autopsiée. Par hasard Maura Isles retourne à la salle d'autopsie. Elle entend du bruit et découvre que la jeune femme  ouvre les yeux!

Elle est endormie afin d'être hospitalisée car elle se débat avec violence. La jeune femme abat un "garde" ( on découvre ensuite qu'il tentait de la tuer)  avant de prendre plusieurs personnes en otage dans l’hôpital. Parmi elles, Jane Rizzoli, inspectrice de la criminelle enceinte de neuf mois.

La preneuse d'otage  lance un message et un homme prêt à tout vient l'aider. Mais des hommes essaient de les faire taire notamment en empêchant leur arrestation malgré Jane qui essaie de les sauver.

Qui est cette inconnue ? et que veut-elle ? Jane se promet de résoudre ce mystère et découvre un vaste trafic d'êtres humains.

Mon avis :

J'ai beaucoup aimé ce roman qui raconte une histoire glauque. Le roman a beaucoup de rebondissements et nous tient en haleine. L'histoire des personnages me plaît beaucoup aussi.

A bientôt

Bonjour,

mon post du jour sera consacré à Adam Christopher et à son roman "Darkness on the edge of town". 

Il s'agit d'un roman préquelle de la série "Stangers things". J'avais adoré la série, du coup j'ai sauté sur le roman que je vais passer à ma petite fille.

L'histoire :

C'est Noël et Onze, la fille adoptive du Shérif Hopper s'ennuie. Elle remonte de la cave un carton étiqueté " New York " et interroge son père qui dans un premier temps ne veut pas répondre. Finalement il se lance dans son récit.

Été 1977. Hopper, revenu quelques années plus tôt du Vietnam, s'installe avec sa femme et sa petite fille à New York où l'attend un poste d'enquêteur au NYPD...

Mais il découvre une série de meurtres étranges, très ritualisés : Le FBI  lui retire le dossier car une des victime était un agent du FBI sous couverture. Il continue l'enquête avec sa coéquipière puis le FBI lui propose de mener l'enquête sous couverture. Officiellement il est accusé de malversations et embauché par le méchant du roman...

Mon avis :

pas de surnaturel dans ce roman mais une histoire policière de bon niveau. Apparemment il y a eu d'autres romans mais je ne les ai pas vu. Je vais envoyer ce livre à ma petite fille, fan de la série ( même si elle n'était pas vraiment de son âge)

Bonjour,

mon post du jour est consacré à Tess Gerritsen et à son roman " La reine des morts".

Je continue mes lectures de romans plus anciens. Je suis partie qq jours avec un lot de romans.

L'auteur :

Elle est née en 1953 et a été élevée en Californie.  Tess Gerritsen fait ses études de médecine. Alors qu'elle vit et exerce la médecine à Hawaii, elle envoie une nouvelle à un concours littéraire organisé par le Honolulu Magazine. Son histoire gagne le premier prix et elle quitte aussitôt son activité de médecin. Ses premiers livres sont des suspenses romantiques, mais elle est encensée par la critique pour son premier thriller médical Donneur sain. La Reine des morts est le troisième roman de la série Rizzoli et Isles, série qui a été adaptée pour la TV.

L'histoire :

La reine des morts est le surnom de la médecin légiste Mauras Isles. Cette dernière est appelée sur le lieu d'un crime. La victime est une jeune novice, Camille, qui a été sauvagement frappée à la tête pendant la nuit dans la chapelle désaffecctée de l'abbaye de Graystone. Une autre victime, soeur Ursula a été également victime de violence et a été opérée.Mauras Isles découvre que la jeune femme a accouchée récemment. Le nourrisson atteint d'une grave malformation est mort de mort naturelle et a été immergé dans la mare de l'abbaye. Soeur Ursula semble être tirée d'affaire avant de mourir. L'enquête s'oriente non vers Camille mais vers le passé de soeur Ursula...

Mon avis :

Je n'ai quasiment pas vu la série TV, il me semble avoir lu le roman avant la série car mon volume est paru en 2009. L'enquête est interessante et j'ai passé un moment agréable de lecture.

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Jeffery Deaver et à son roman "Lignes de feu".

Je continue à relire mes anciens romans. Ce roman est une des enquêtes de Lincoln Rhyme. Je ne suis pas sûre d'avoir lu les autres. Certains de ses romans ( peut être deux)ont été portés à l'écran avec Denzel Washington. Je me souviens avoir beaucoup aimé ces films. Il y avait aussi Angelina Jolie. Apparemment Lignes de feu est le dernier roman traduit de la série Lincoln Rhyme.

L'auteur :

Jeffery Deaver est né en 1950 à coté de Chicago.

Après des études de journalisme puis de droit, Jeffery Deaver devient chroniqueur judiciaire, avant d'intégrer un cabinet d'avocats.Il se lance ensuite dans l'écriture de romans policiers, puis décide d'en faire son métier vers 1990.

Son personnage le plus populaire est Lincoln Rhyme, un inspecteur devenu tétraplégique à la suite d'un accident lors d'une enquête, accompagné d'Amelia Sachs. Les deux personnages se rencontrent dans Le Désosseur, premier roman de la série. Il a aussi écrit un James Bond.

L'histoire :

Le réseau électrique de New York subit de multiples pannes et le réseau est sur le point de sauter. L'un des responsables fait appel à la sécurité du territoire et à la police. Le bus, qui passe à coté d'une station électrique de la compagnie Algonquin, est victime d'un arc électrique qui tue l'un des passagers. C'est dû à un cable qui a été installé illégalement et sur lequel était dirigé toute la production électrique. Il s'agit donc d'un attentat. Lincolm Rhyme est chargé de l'analyse scientifique. Il apparaît, selon les premiers éléments, que l'auteur appartiendrait à la Compagnie Algonquin. Par ailleurs un criminel surnommé l'horloger, qui a échappé antérieurement à Lincoln, vient d'être localisé au Mexique.

Mon avis :

Un roman passionnant. On apprend beaucoup de choses sur l'électricité en plus et ça fait peur!

Bien sûr le personnage de Lincoln me paraît hautement improbable hélas pour les personnes gravement handicapées!

Mais il n'en demeure pas moins que le roman est plein de suspens et j'ai vraiment été accro. Mon livre date de 2014. L'auteur en a écrit d'autres mais ils ne semble que les volumes ne sont pas traduits.

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Peter Bowen et à son roman " La terre écorchée".

C'est encore un roman récupéré dans ma plétorique bibliothéque que je commence à liquider. Lorsque je l'ai lu initialement je n'avais pas vu que le roman faisait parti d'une série. C'est l'époque où j'achetais la collection " Grands détectives", une collection qui était d'une grande qualité et m'a permis de découvrir de magnifiques auteurs.

L'auteur :

Né en 1939 au Canada Peter Bowen est docteur en philosophie. Il a publié des chroniques humoristiques, des romans historiques et policiers. Il a été guide de chasse, Cow boy, chanteur de country...Il vit dans le Montana. Enfin vivait car il est dcd en 2020.

L'histoire :

À Toussaint, dans le Montana, vit Gabriel Du Pré,  inspecteur du bétail d'origine métis et violoniste.

Sa région est victime d'un tremblement de terre qui fait peu de victime ( sauf celle qui gere le bar du coin) mais modifie le tracé d'une source.

Cela met à jour des ossements apparemment indiens, enfin une civilisation de voyageurs antiques, un peuple oublié, "le peuple de l'astre cornu", occupant du Montana bien avant les Crees et les Crows..

Le site a été acheté par des japonais.

Le corps d'un archéologue est retrouvé. Il a été assassiné et avait une vertebre de dinosaure dans son sac à dos.

Le shérif fait appel à Gabriel du Pré pour l'aider à arrêter le tueur. Gabriel est aidé par Benetsee, un vieil homme médecine, par Bart un entrepreneur local...

Mon avis :

J'ai beaucoup aimé ce roman un peu particulier qui montre un mode de vie qui n'est pas vraiment le mien. Cela décrit un Montana désolé et poussiereux. Le roman fait un peu penser à Tony Hillerman que j'adore.

C'est dépaysant.

A bientôt

Bonjour,

Je continue ma lecture d'anciens romans avant de les donner, tri de mes livres oblige.Mon post paraît tout compacté, rien à faire pour changer la parution, canalblog doit bugger

Ma chronique du jour est donc consacrée à Michael Marshall ( de son vrai nom Michael Marshall Smith)  et à son roman " Les hommes de paille" . J'ai acheté récemment  Les vents mauvais, tome 3 de la série mais il me faut acquerir Le sang des anges, le tome 2 que je n'ai pas trouvé.

L'auteur :

Bonjour,

Désolée mais ce post est de mauvaise qualité sur le blog alors qu'il est impec dans mon espace d'administration...Je ne sais plus que faire!!

je n'ai plus rien posté depuis presque un mois, ce n'est pas que je ne lise plus, non mais rien ne me plaît, les romans que j'ai lu sont fades et ne méritent pas un post. Mais ce matin j'ai décidé de faire du tri dans mes livres pour les mettre dans la boîte à livres de mon village et j'ai retrouvé des romans me donnant envie. Le premier sera " le visage grimé" de Jean Stubbs.

Ce roman est paru en 1974.

L'auteur :

Jean Stubbs est née en 1926. Eh oui c'est une femme!

En 1962, elle publie un premier roman d'amour historique, The Rose-Grower, suivi de quelques autres titres dans la même veine. De 1966 à 1980, elle assure une rubrique de critique littéraire et produit également des nouvelles pour plusieurs magazines.

En marge de ces activités, elle se passionne pour les causes criminelles historiques et, après de nombreuses recherches, fait paraître en 1967 My Grand Enemy, un roman historique très documenté sur l’affaire Mary Blandy, une jeune femme pendue pour avoir empoisonné son père en 1752. Un autre cas similaire lui inspire The Case of Kitty Ogilvie en 1970.

Elle a ensuite envie de créer un personnage d'inspecteur de police et a  écrit une trilogie mettant en scène John Lintott. "Le visage grimé" est le second volet de la trilogie. Elle a poursuivi son oeuvre par des romans historiques.

L'histoire :

Nicholas Carradine est artiste peintre, mais il n'arrive pas à dépasser une certaine facilité malgré son travail. Il n'arrive pas à oublier son père, sa seconde femme Gabrielle et sa demi-soeur Odette. Tous sont décédés au début du XXe siècle.

Odette est morte à six ans et sa mère qq mois plus tard. Nicholas découvre qu'Odette n'est pas morte de maladie comme il le pensait mais brulée dans un accident ferroviaire sur le continent. Sa mère, Gabrielle, était française et une grande différence d'age existait entre la jeune femme et son mari. Nicholas avait 13 ans lors du décès de sa soeur.

Troublé par ces révélations, Nicholas contacte l'ex-inspecteur John Joseph Lintott qui va en France enqueter sur l'accident de chemin de fer. Il poursuit son enquête en Angleterre. On découvre que l'enfant retrouvée morte n'a été identifiée qu'à l'aide de son bracelet en or. Curieusement elle semblait voyager seule vers la Suisse.

Mon avis :

Un roman distrayant dont j'avoue je ne me souvenais plus de l'intrigue. Il se déroule à l'époque victorienne et est vraiment dépaysant. Il y a des rebondissements qui aboutissent à un happy end.

A bientôt