25 année 3/ Tony Cavanaugh et " Promesse"

Bonjour,

Tony Cavanaugh et "Promesse"

Le premier roman de Tony Cavanaugh … j’avais vaguement dans l’idée que j’avais déjà lu cet auteur et j’y reviendrai.

Apparemment les romans de cet auteur ont été traduits dans un ordre ne correspondant pas à leur écriture puisque «  l’affaire Isobel Vine » est paru avant celui ci. Enfin c’est ce que j’ai cru comprendre vu que je n’ai pas lu ce dernier titre.

L’histoire :

Darian Richards est un ancien policier qui a dirigé la brigade criminelle de Melbourne avec un remarquable taux d’élucidation, une vedette donc dans le métier.

Mais il ne  s’est jamais remis de l’affaire du tueur en série du train, affaire qu’il n’a pas résolue et il n'a pu rendre justice aux familles des victimes. Perturbé par cet échec et ayant été blessé, il décide de s’offrir une nouvelle vie dans une forme de solitude avec l'argent qu'il a mis de coté.

Bref, il passe une retraite paisible loin des affaires qu’il a traité par le passé, sauf que les affaires le rattrapent puisque, dans son environnement immédiat, six jeunes filles toutes jeunes, jolies et blondes ont été enlevées.

Face à l’incompétence de la police locale, Richard se sent concerné et décide de se remettre en chasse.

Il force un peu la main à la compagne de son meilleur ami pour qu’elle lui apporte son aide. Maria est en effet policière au sein de la brigade criminelle du lieu des enlèvements, même si ce n'est qu'à un échelon modeste..

Il est également aidé par Isocesle un geek hyper doué. C'est ce dernier qui trouve un point commun entre deux des victimes habitant la même rue, en tout cas officieusement pour l'une des deux.

Le geek constate également un décalage entre l'heure de l'enlévement et celle retenue par la police. Une police finalement pas très claire...

Mon avis :

J’ai regardé ma précédente fiche de lecture après avoir abandonné ma lecture. J'ai alors constaté qu’il m’était arrivé exactement la même chose qu'avec le roman lu précédemment.

En fait dans les deux cas, je commence le livre,  je le trouve pas mal…

Je poursuis ma lecture et là, boum, je sens que je n’accroche plus et, dans le cas de ce roman, je peux dire précisément à quel moment cela m’est arrivé… au chapitre 28. C'est au moment où je me suis arrêtée que j'ai relu ma fiche de lecture précédente.

J’ai essayé de continuer mais tout ce verbiage et le coté décousu du roman m’ont achevée. J’ai eu une impression de remplissage, une écriture de bric et broc. L’écriture est heurtée, aucune fluidité et j’avoue que cela a participé à mon ras le bol, désolée de l’expression !!

On le compare à Michael Connelly, je vous le dis de suite : rien à voir avec cet excellent auteur dont les intrigues sont toujours ciselées, l’écriture agréable à lire et dont les rebondissements ne tombent pas du ciel ou d'un geek omniscient.

Je me suis carrément ennuyée à environ la moitié du roman et c’est bien dommage car cela débutait pas trop mal. Le roman se déroule en Australie, c’est donc pour moi assez dépaysant, point favorable.

Les critiques de ce roman sont excellentes pour être tout à fait complète. Je ne pense pas lire «l’affaire Isobel Vine » même si je trouve ce roman à ma bibli.

A bientôt