Pour Noël le blog sera en pause jusque début Janvier.

Je vous souhaite à tous un joyeux Noël.

Ma chronique du jour est consacrée à Michael Connelly et à son roman « L’innocence et la loi ».

L’histoire :

On est le 28 octobre et Michael Haller vient de fêter une victoire dans un bar du centre ville.

Il reprend sa voiture dans un parking payant de Broadway mais, quelques centaines de mètres plus loin, il est arrêté par l’officier Milton.

Il est arrêté car son véhicule n’a pas de plaque arrière. L’officier voit du sang couler du coffre, l’ouvre et découvre un corps.

La victime est un ancien client de Haller et il a été tué dans sa voiture et même dans son garage...

Haller s’est vu imposer une caution importante qu’il se refuse à payer. Il envisage de se défendre seul et son équipe vient régulièrement préparer son dossier.

Haller prouve que les entretiens sont écoutés par le procureur alors qu’ils sont couverts par la confidentialité avocat / client et il obtient une réduction importante de sa caution. Il est libéré mais son bonheur sera de courte durée car le procureur change de qualification et il est réincarcéré. Il poursuit son enquête de la prison

Mon avis :

Je suis une fan absolue de Michael Connelly, j’adore ses romans que je relis souvent.

Dés le début, on est pris par l’intrigue et c’est là que l’on reconnaît le pro !! Je sais, je suis partiale.

Il s'agit ici d'un roman judiciaire sur fond de Covid.

Le coté judiciaire est peut être ce qui peut être gênant pour le lecteur français car le procédure américaine est vraiment particulière pour le français.

Bosch est très peu présent mais plusieurs romans de Connelly sont sans lui et sont excellents ! Bref une lecture passionnante même si certains points sont sans réponse.

Ma chronique du jour est consacrée à Blake Pierce et à son roman « La fille, prise ».

Achat de vacance  car j’avais vu que c’était de Blake Pierce. Il fait suite à " La fille, seule" que je n'ai pas lu.

L’histoire :

Ella est amenée à travailler une seconde fois avec Mia, un profileur d’une cinquantaine d’années qui en réalité forme Ella.

Des femmes sont retrouvées nues accrochées dans un arbre.

Aucun lien entre elles apparemment mais les profileuses s’orientent vers le milieu des artistes. L’une des victimes est agent d’artistes, l’autre est une artiste en devenir et enfin il y a la propriétaire d’une salle de spectacle. Ella et Mia, après une fausse piste, arrêtent l’auteur présumé selon elles. Alors qu’elles reprennent l’avion, un quatrième meurtre est commis, à la fois proche des premiers et plus brouillon. Une nouvelle poursuite a lieu.

Mon avis :

L’histoire démarre plutôt bien avec des meurtres pleins de promesses. Le début de la traque m’a plu. Mais plusieurs bémols :

- Ella a des fulgurances que Mia ne veut pas voir, une fois, deux fois, bref c’est un peu trop systématique.

- les deux séries de meurtres sont trop différentes pour être un seul auteur malgré les dénégations de Mia.

- la fin est tirée par les cheveux à mon avis.

Donc un roman pas trop mal mais j'aurais souhaité que le passé de Ella, avec notamment l'assassinat de son père soit davantage creusé.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Anne Perry et à son roman « Traitors Gate ».

L'auteur :

Anne Perry est née en 1938 à Londres. Son vrai nom est Juliet Marion Hulme et elle a été l'héroïne d'une célèbre affaire criminelle de Nouvelle Zelande puisqu'en 1954 elle a tué avec sa meilleure amie, la mère de cette dernière. Elle était alors âgée de 15 ans.

L’histoire :

Thomas Pitt est toujours commissaire. Il est sollicité par un ami Matthew Desmond et le ministre Linus Chancellor pour enquêter sur des fuites au ministère des Colonies.

Par ailleurs Matthew est un ami d’enfance de Thomas Pitt dont le père était le garde chasse de Sir Arthur Desmond avant d’être condamné pour braconnage chez un voisin. Pitt et sa mère étaient restés sur les lieux et Pitt avait reçu la même éducation que Matthew. Le père de Matthew semble avoir été assassiné et Matthew vient rechercher l’aide de Pitt.

La femme de Chancellor, Susannah, est retrouvée morte au bord de la Tamise.

Mon avis :

J’avoue que les développements sur l’Afrique ne m’ont pas passionnés.

Mais l’intrigue est intéressante avec un aspect "espionnage" qui change un peu. La jeunesse de Pitt est également abordée... et Charlotte est revenue dans la course vers la fin.

Ma chronique du jour est consacrée à Anne Perry et à son roman « Le bourreau de Hyde Park ».

L'auteur :

Anne Perry est née en 1938 à Londres. Son vrai nom est Juliet Marion Hulme et elle a été l'héroïne d'une célèbre affaire criminelle de Nouvelle Zelande puisqu'en 1954 elle a tué avec sa meilleure amie, la mère de cette dernière. Elle était alors âgée de 15 ans.

L’histoire :

Thomas Pitt est devenu commissaire. Sa promotion fait d’ailleurs des envieux au sein de son équipe, notamment l’inspecteur Tellman.

Charlotte est très occupée car le couple a acheté une plus grande maison qui exige des travaux et a vendu son ancienne habitation.

Tout irait pour le mieux si Pitt avait refusé son adhesion au Cercle intérieur, une association subversive et si des meurtres difficiles à résoudre n’avaient lieu.

Le premier meurtre a pour victime Windthrop, un capitaine de marine violent avec son épouse. Il est retrouvé décapité dans un canot sur la Serpentine qui traverse Hyde Park. Charlotte sympathise avec Mina Windthrop et découvre ses meurtrissures.

Puis un musicien Arledge qui a une liaison homosexuelle. Il est retrouvé dans un kiosque à musique.

Enfin, assez curieusement un receveur d’omnibus et enfin le majordome de Jérome Carvell, l’amant de Arledge.

Pitt est menacé de rétrogradation...

Pendant ce temps la mari d’Emily, Jack Radley fait sa campagne électorale et Pitt n’est pas insensible au charme de Dulcie Arledge d'autant que son épouse est très prise par sa nouvelle maison.

Mon avis :

J’avais découvert qui était l’assassin mais le plaisir réside dans le déroulé du roman et son charme réside dans la peinture de la société victorienne. J’ai aimé..

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à M.C.Beaton et à son roman «  Bras de fer »

L'auteur :

M.C.Beaton est l’auteur des romans mettant en scène Agatha Raisin.

L’histoire :

Hamish Macbeth, officier de police de son petit village de Lochdubh, s’inquiète de voir qu’un individu sème la zizanie parmi ses administrés. Duggan se vante de tout et de rien, il se décrit comme un aventurier et un bourlingueur mais ses récits sont mis à mal par le fluet instituteur à la retraite.

Finalement Hamish est contraint d’accepter de se battre avec Duggan mais le jour du combat Duggan est retrouvé mort, une balle dans la tête.

Hamish est soupçonné de meurtre et risque de perdre son emploi en raison du combat.

Priscilla l’aide faisant valoir qu’Hamish est au mieux avec le chef de la police.

Hamish pense que Duggan avait une autre identité et avait trempé dans des affaires louches.

Mon avis :

Un roman amusant et distrayant. Cela me change d'un roman de science fiction que je suis également en train de lire. J'avais envie d'une lecture plus légère...

Hamish est un homme cool souhaitant mener une vie paisible. Il est doué pour résoudre les affaires criminelles même s’il n’a aucune ambition particulière.

On passe un agréable moment de lecture.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Anne Perry et à son roman « Belgrave square ».

Je mets ici ce roman pour mémoire car je l’ai relu. Il fait suite au roman dont je viens de faire la critique : l’incendiaire de Highgate.

Je ne vais donc pas remettre la critique que vous trouverez ici :

69/ Anne Perry et "Belgrave square" - fan de romans policiers

Un roman, déjà un peu ancien, écrit par Anne Perry, auteur que j'aime beaucoup pour sa peinture de l'époque victorienne. L'intrigue se situe juste après les crimes de jack l'éventreur. Le supérieur de l'inspecteur Pitt, Micah Drumond, lui confie une enquête en raison de la possible implication de l'une de ses relations, Lord Byam.

http://mespoliciers.canalblog.com

Je suis en train de relire certains romans d'Anne Perry en suivant leur ordre de parution, chose que je n'ai pas toujours respecté en les lisant.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Anne Perry et à son roman « L’incendiaire de Highgate ».

L'auteur :

Anne Perry est née en 1938 à Londres. Son vrai nom est Juliet Marion Hulme et elle a été l'héroïne d'une célèbre affaire criminelle de Nouvelle Zelande puisqu'en 1954 elle a tué avec sa meilleure amie, la mère de cette dernière. Elle était alors âgée de 15 ans.

L’histoire :

Pitt, secondé par l’agent Murdo, est chargé d’une enquête sur un incendie à Highgate ayant provoqué le décès de Clemency Shaw. Ce n’est pas son secteur mais beaucoup de policiers sont sollicités car sévi Jack l’éventreur.

La jeune femme devait aller à un dîner qui a été annulé à la dernière seconde.

Son mari, Stephen Shaw, qui est médecin, était allé à un accouchement non prévu.

L’incendie qui avait été provoqué par 8 départ de feu est manifestement criminel.

Pitt en déduit que le mari était peut être visé. Mais Clemency luttait aussi contre les logements insalubres où vivent les pauvres, logements souvent possédés par des personnes fortunées. Et puis elle avait hérité de son père Theophilus Worlingham, fils de l’archevêque Worlingham. Pitt s’interroge sur les circonstances de la mort de Theophilus.

Shaw est provisoirement hébergé par son ami Amos Lindsay qui, par le passé, a effectué de nombreux voyage en Afrique. L’enterrement de Clemency a lieu et ce sont ses tantes, filles du défunt archevêque Worlingham , qui organisent la cérémonie laquelle est émaillée d’incidents notamment entre Dalgetty, ami et éditeur des écrits de Lindsay, et Pascoe. Ces derniers ont des positions diamétralement opposées sur la liberté d’expression. La femme du pasteur, Lally Clitheridge arrive à ramener le calme. Alors que Charlotte va visiter le jardin d’hiver des demoiselles Worlingham, elle surprend le regard haineux de Lally, qui semble avoir un penchant pour Shaw.

De son coté Flora semble amoureuse elle aussi de Shaw. Elle est la fille d’un riche entrepreneur, Lutterworth, ce dernier malgré sa fortune peine à intégrer la bonne société.

Un nouvel incendie a lieu qui détruit la maison d’Amos Lindsay et tue l’écrivain. Shaw était également absent.

L’agent Murdo est amoureux de Flora.

Charlotte découvre que l’archevêque Worlingham possédait toute une série de taudis et que Clémency avait distribué sa fortune.

Mon avis :

On se demande pendant un bon moment qui peut être l’assassin. C’est passionnant. Le nouveau mari d’Emily envisage une carrière parlementaire pour défendre les plus modestes.

On passe toujours un bon moment en se plongeant dans l’Angleterre victorienne et j’ai beaucoup aimé.On découvre les bas-fonds de Londres et c'est instructif. On découvre même au détour des pages George Bernard Shaw.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Anne Perry et à son roman « L’égorgeur de Westminster bridge ».

L’histoire :

Le député Sir Lockwood Hamilton est découvert égorgé et attaché par son écharpe à un réverbère sur le pont de Westminster Bridge. Il revenait à pied d’une séance de nuit au parlement. Il n’a pas été volé puisque de l’argent est retrouvé dans ses poches et qu’il possède toujours sa montre de gousset en or. Rien dans sa vie familiale ou professionnelle ne semble justifier une telle sauvagerie. Pitt creuse dans la vie privée du député non sans penser aux groupes anarchistes ou politiques.

Puis un autre député est assassiné dans les mêmes circonstances à l’issue d’une séance de nuit du parlement. Il s’agit du député Vyvyan Etheridge. Ce dernier est veuf et sa fille unique semble être mariée à un individu peu scrupuleux qui dilapide sa fortune. De plus Vyvyan Ethreridge a été sollicité par Florence Ivory qui a perdu la garde de sa fille. La jeune femme mène par ailleurs un combat pour le vote des femmes et l’égalité de droits avec les hommes. L’attitude de Vyvyan Etheridge, au départ favorable à Florence Ivory, a radicalement changé avec l’intervention de Garret Royce, le beau-frère de Lockwood Hamilton, la première victime. Florence Ivory est hébergée par une amie, Africa Gunne et sa tante, qui est une amie de la tante Vespasia de Charlotte Pitt, demande l’aide de Vespasia car elle craint qu’Africa soit poursuivie pour meurtre.

Charlotte mène l’enquête mais n’engrange que peu d’informations.

Un troisième député se fait assassiner

Mon avis :

J’ai trouvé qu’il y avait du suspens et j’ai (re)lu le roman avec beaucoup de plaisir. Le livre est ancien, il me semble être paru en 2002, en tout cas mon édition. Pitt n’est pas encore promu et Charlotte mène toujours une existence modeste avec sa petite bonne Gracie.On suit avec plaisir la lutte des femmes pour le droit de vote et l'égalité des droits avec les hommes. J'ai apprécié le fait que le rôle de Pitt soit plus substantiel par rapport à celui de Charlotte. C'est un roman que j'avais lu il y a longtemps, j'avoue avoir plaisir à relire de temps en temps des livres déjà parcourus car on y découvre d'autres attraits...

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à M.C.Beaton et à son roman «  La paix des ménages »

L'hiver arrive et l'on a envie de lire au coin du feu. Je suis en train de lire le tome deux du roman de Peter Hamilton, Salvation et l'envie m'est venue de lire quelque chose de plus léger ! C'est chose faite avec les volumes  11 et 12 de cette série écossaise.

L'auteur :

M.C.Beaton est l’auteur des romans mettant en scène Agatha Raisin.

L’histoire :

Hamish Macbeth, officier de police de son petit village, est un peu mis au ban de celui-ci après sa rupture avec sa fiancée Piscilla Hallburton-Smythe, fille d’un seigneur local. En plus il a été rétrogradé...

Il décide de prendre quelques jours de vacances avec son chien Towser.

C’est ainsi qu’il s’installe dans une pension de famille. La nourriture y est déplorable et les personnes qui y résident disparates. Un couple se démarque. Bob est totalement infect avec sa femme Doris. Cette dernière a une liaison avec Andrew. Hamish est inquiet, il a un pressentiment. A juste titre car Bob est assassiné.

Mon avis :

Un roman distrayant et sans prétention marqué par la mort du chien de Hamish.

Nous ne sommes plus dans le village de Hamish mais au bord de la mer dans une station balnéaire un peu pathétique. Hamish s’acharne à distraire le groupe de vacanciers en résolvant le pourquoi de la nourriture si infecte mais aussi les meurtres...