Ma chronique du jour est consacrée à Tana French et à son roman « L’arbre du mal ».

L’auteur :

Tana French est née en 1973 dans le Vermont.Son père est un économiste qui travaille sur la gestion des ressources dans les pays en développement, et la famille a donc beaucoup voyagé. Tana French vit à Dublin depuis de nombreuses années avec son mari et sa fille.

Elle débute sa carrière littéraire en 2007 avec la publication de La Mort dans les bois (In the Woods), aussi intitulée en français Écorces de sang, qui, outre un grand succès public, a remporté plusieurs prix.

L’histoire :

L’histoire commence d’une façon presque banale. Tony un jeune est agressé dans son appartement de Dublin, alors qu’il dort tranquillement la nuit. Un bruit le réveille et il surprend deux cambrioleurs qui le tabassent.

Il se réveille à l’hôpital avec des séquelles neurologiques pas dramatiques mais invalidantes. Jusqu’alors sa vie avait été confortable avec une famille aimante, une petite amie charmante et des copains fidèles. Son travail lui plaît et tout semblait lui sourire.

Depuis l’agression, il a des pertes de mémoire, sa jambe et son bras gauche sont à la traîne et tremblent.

Dans le même temps, son oncle Hugo est malade, on lui a trouvé une tumeur au cerveau inopérable .

Tony, qui a du mal à se remettre de l’agression, vient cependant s’installer chez Hugo avec sa petite amie Mélissa. Les jours passent, Mélissa va en bus à son travail et Tony et Hugo vaquent à des recherches généalogiques paisiblement. Jusqu’à ce jour où les deux jeunes enfants de sa couine Suzanne trouvent un crane dans le creux d’un arbre. La police intervient, tronçonne l’orme blanc, retourne le jardin et tout un squelette est mis au jour. Il s’agit d’un vague ami de Tony, Dominic, ami que Tony pensait s’être suicidé. Il le connaissait et Dominic était déjà venu à la maison au lierre ainsi que tout le monde appelle la maison de Hugo, maison achetée par les arrières grands parents de Tony et dont Hugo avait hérité à la mort de ses propres parents.

Tony est assez indifférent à toute cette agitation, l’état de son oncle s’aggrave doucement et cela le préoccupe. Jusqu’à ce jour où l’inspecteur Martin, chargé de son cambriolage, lui sous-entend que l’affaire du crane et son cambriolage pourraient être liés et qu’il serait un suspect tout désigné par le réel auteur du meurtre. Tony décide d’enquêter par lui-même car, si c’est le cas, le véritable auteur avait accès à la maison et se trouve dans son proche environnement. Une clef du jardin a disparu à peu près au moment du meurtre. L’inspecteur chargé de l’enquête met la pression sur Tony qu’il estime être diminué et susceptible de craquer plus facilement.

Mon avis :

Le roman peut sembler tarder à démarrer mais j’ai beaucoup aimé l’ambiance qui a été ainsi créée, par petites touches. Les difficultés qu’a Tony à se reconstruire et ses séquelles me parlent. Son amnésie est quand même limitée et puis les faits remontent à plus de 10 ans. Son oncle qui décline rapidement me touche.

L’enquête me plaît jusqu’à la presque fin où là je n’adhère plus. Mais je n’en dirai pas plus pour vous laisser le plaisir de la découverte.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Viveca Sten et à son roman « Dans l’ombre du paradis ».

L’auteur :

Viveca Sten est née en Suède en 1959. Plusieurs de ses romans se déroulent sur l’île de Sandham et ont été adaptés en mini série, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai connu cette romancière.

Elle a fait des études de droit et a travaillé comme juriste. Elle a commencé à écrire en 2005.

L’histoire :

Plusieurs années ont passé et Nora travaille désormais pour l’état dans la lutte contre la criminalité financière. Elle a une fille de 4 ans avec Jonas. Elle passe ses vacances à Sandhamn. Elle se rend à une pendaison de crémaillère organisée par Carsten Larsson et son épouse anglaise Célia. Carsten a fait construire une magnifique maison sur la cote de Sandhamn. Son épouse ne désirait pas s’y installer l’été mais elle se résigne.

Lors de cette festivité, la maison d’amie est incendiée et le corps d’un homme est retrouvé carbonisé. On ignore son identité. Carsten a fait l’objet de menaces. Est-ce les insulaires mécontents de sa construction, les ouvriers polonais qu’il malmenait ou encore en lien avec ses affaires en Russie qui ont l’air de tourner mal... Thomas ne se plaît plus dans son travail qu’il estime dénué de toutes perspectives d’évolution.

Mon avis :

Ce roman m’est apparu un peu long à se mettre en place. Carsten est bien sûr déplaisant mais surtout pour un requin des affaires d’une médiocrité rare.

Ma chronique du jour est consacrée à Viveca Sten et à son roman « Retour sur l’île ».

L’auteur :

Viveca Sten est née en Suède en 1959. Plusieurs de ses romans se déroulent sur l’île de Sandham et ont été adaptés en mini série, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai connu cette romancière.

Elle a fait des études de droit et a travaillé comme juriste. Elle a commencé à écrire en 2005.

L’histoire :

Cette fois l’intrigue se déroule à Noël, toujours sur l’ile de Sandhamn.

Nora y fête Noël avec ses enfants et son ex. Henrik est charmant, fait à Nora un somptueux cadeau et tous deux manquent….

Jonas, de son coté, est en déplacement. Les choses ont l’air de s’arranger avec Wilma qui se remet doucement de l’agression de l’année précédente.

Jeanette Thiels, une journaliste connue, se réfugie, après avoir été menacée sur l’Île de Sandhamn où vivait sa grand-mère. Elle est logée dans une annexe de l’hôtel et en voulant aller au buffet est prise de malaise et meurt.

Elle est seule dans cette partie de l’hôtel peu éclairé et n’est retrouvée que le sur- lendemain. Thomas est chargé de l’enquête.

Son appartement a été fouillé et un de ses voisins, un vieil homme handicapé est retrouvé blessé. Avant que la police ne puisse l’entendre, il est assassiné...

Son mari semble avoir une personnalité trouble. Elle a une fille adolescente, Alice. Mais sa documentation, à son domicile, fait penser qu’elle enquêtait sur le parti Suède Nouvelle classé à l’extrême droite.

Deux pistes pour ce meurtre :

- le mari car un conflit violent opposait les ex-époux pour la garde d’Alice,

- le parti d’extrême droite dont les responsables pourraient être violents.

La banque de Nora doit fusionner avec une banque finlandaise ( enfin je crois). Nora se voit confier l'étude d'un projet de vente d'agence mais tout ne semble pas très clair...

Mon avis :

Je suis moyennement convaincue par ce roman même si l'intrigue reste d'un bon niveau. Il me semble qu'il y a des raccourcis un peu caricaturaux...

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Viveca Sten et à son roman « Au coeur de l’été ».

L’auteur :

Viveca Sten est née en Suède en 1959. Plusieurs de ses romans se déroulent sur l’île de Sandham et ont été adaptés en mini série, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai connu cette romancière.

Elle a fait des études de droit et a travaillé comme juriste. Elle a commencé à écrire en 2005.

L’histoire :

C’est la Saint Jean et Sandhamn est envahi de groupes de jeunes qui s’alcoolisent.

On suit la situation de Wilma, la fille de Jonas qui veut faire la fête, elle doit rentrer à 1 h du matin car elle n’a que 14 ans. Mais elle est amoureuse de Matthias, le frère d’une amie.

On suit également la vie de Tobbe et de ses copines mais aussi celle de Victor, le fils d’un industriel important qui lui prête son bateau .

Victor est retrouvé mort sur une plage un peu à l’écart…

Mon avis :

J’ai trouvé que ce roman était le moins bon de la série et j’ai eu du mal à m’interesser à cette jeunesse dorée de Suède,  plein de fric et alcoolisés.

Peut être une question de culture, je ne sais pas…

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Viveca Sten et à son roman « Les secrets de l’île ».

L’auteur :

Viveca Sten est née en Suéde en 1959. Plusieurs de ses romans se déroulent sur l’île de Sandham et ont été adaptés en mini série, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai connu cette romancière.

Elle a fait des études de droit et a travaillé comme juriste. Elle a commencé à écrire en 2005.

L’histoire :

Un jeune étudiant, Marcus Nielsen, est retrouvé pendu dans sa chambre sur le campus par une jeune fille qui devait réviser avec lui. L’affaire est quasiment classée comme suicide mais d’une part la mère de Marcus estime que le suicide est exclu ainsi qu’elle l’indique à Thomas et d’autre part l’ordinateur du jeune homme est introuvable. Thomas Andreasson demande à reprendre l’enquête.

Le téléphone de Marcus, oublié chez ses parents montre qu’il a téléphoné à deux personnes avant sa mort. Il est venu chez lui parler de sa formation en tant que chasseur-cotier sur l’île de Korsô au large de Sandhamn. Fredel est désormais très diminué car il est atteint de sclérose en plaque.

Peu après cette visite il est retrouvé mort, tout habillé dans sa baignoire par son épouse revenue de courses. Il avait bu de l’alcool mais aussi un détergent. Des traces à l’arrière du cou montrent qu’il a été maintenu sous l’eau.

Un autre ancien militaire désormais à la dérive et entendu par Thomas, Bo Kaufman, est retrouvé étouffé par un oreiller. Thomas apprend que deux semaines auparavant un autre membre de l’équipe avait été noyé dans sa baignoire.

Il faut préciser que Bo n’avait pas de baignoire chez lui d’où un changement de mode opératoire. Il avait beaucoup bu, du whisky mais on retrouve du détergent.

Thomas et Margit découvrent que Pär Anderson s’est suicidé à la fin de la formation. Il a été retrouvé par le sergent Cronwall qui se comportait comme un tortionnaire.

Le roman comporte aussi l’histoire de la formation des chasseurs-côtiers racontée par l’un de ses membres.

Coté vie privée :

- La femme de Thomas est enceinte,

- Nora rencontre son locataire, Jonas et elle s’attache à lui.

Mon avis :

Le roman est passionnant, je n’ai pas pu le lâcher avant la fin... La formation des militaires est vraiment très dure et chacun en a gardé des séquelles.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Blake Pierce et à son roman « Condamné au meurtre ».

Ce roman fait parti de la série " Adèle Sharp".

L’histoire :

Une jeune sommelière se fait assassinée par un homme fort séduisant qui était arrivé à l’heure de le fermeture. Ce meurtre fait suite à l’assassinat d’un homme plus âgé en Allemagne.

C’est ainsi que Adèle Sharp et john Renée , l’agent français, sont envoyés à Bordeaux pour mener l’enquête au nom d’Interpol. Les deux victimes sont liées au milieu du vin.

Alors que l’enquête piètine, on appelle Adèle pour leur ordonner de venir en Californie où un autre meurtre a eu lieu. Il s’agit d’une femme rondelette d’une quarantaine d’année, apprentie viticultrice.Après quelques fausses pistes Adèle trouve caméra qui a filmé la camionnette ayant servi pour le troisième meurtre.

Mon avis :

Là encore il y a un bon point de départ mais je trouve que ce n’est pas excellemment exploité.La solution arrive un peu trop facilement.

Quant à l’enquête sur la mort de la mère d’Adèle, elle n’avance pas vraiment et on se lasse. C'est un roman pas trop top à mon avis mais je vous laisse vous faire votre propre opinion.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Robert Ludlum et à son roman « La mémoire dans la peau ».

L’auteur :

Robert Ludlum est né en 1927 à New York. Il est mort en 2001. Il est surtout connu pour ses romans d’espionnage. Il a aussi écrit sous les pseudonymes de Jonathan Ryder et de Michel Shepherd. Son premier suspense, "L'Héritage Scarlatti" (The Scarlatti Inheritance), publié en 1971, est immédiatement un succès et l'impose comme le maître du genre. Je me souviens l'avoir lu il y a pas mal de temps!

Depuis, il a publié une série de romans qui sont autant de chefs-d'œuvre du genre. Il a eu beaucoup de succès et au moment de sa mort il avait de nombreux romans ébauchés. C’est ainsi que la série «  Jason Bourne » a été confiée à Eric Van Lustbader pour qu'il la poursuive. J’ai été presque déçue de le découvrir…

En fait j’ai lu sur le net que les premiers romans étaient bien de Robert Ludlum mais que le volume 4 n’est plus de lui...ouf Celui- ci est paru en 1980 et Robert Ludlum était bien vivant !!

L’histoire :

Un homme est repêché par des pêcheurs au large d’une ile méditerranéenne. Il a reçu plusieurs balles. Les pêcheurs le confie à un médecin anglais carrément alcoolo mais celui-ci prend du temps, le soigne et le remet sur pied. Petit problème, sa mémoire semble avoir sombré avec lui.

Le médecin a découvert sous sa peau des numéros et le nom d’une banque à Zurich.

Plusieurs semaines après avoir été repêché, l’homme se rend à Zurich, découvre que le compte numéroté possède plusieurs millions et il fait transférer un million au médecin en remerciement. Il récupére de l’argent et transfère une autre partie à Paris. Pourquoi Paris, en fait il l’ignore.

Il apprend que son nom est Jason Bourne.

Sa sortie de la banque sera difficile mais il arrive à son hôtel. Là il est victime d’une nouvelle embuscade car il avait indiqué que sa chambre donnait sur le lac. Il arrive à s’échapper en prenant une otage : le docteur en économie canadienne Marie Saint- Jacques.

Elle arrive à s’enfuir et prévient la police mais il s’agit en fait de tueurs qui ne veulent pas laisser de témoin. Quoique blessé Jason la retrouve et lui évite d’être violée et tuée. Marie décide de l’aider.

Tous deux vont à Paris récupérer l’argent à la banque.

Parallèlement Marie demande à Peter, un ami américain, de se renseigner sur Greystone, une appellation que Jason a trouvé à la banque et qu’il n’arrive pas à identifier. Apparemment la quête de Jason Bourne est en lien avec le terroriste Carlos et tous deux font des recherches.

A la banque, Jason téléphone en annonçant sa venue. Comme il le prévoyait des tueurs sont alertés.

Marie apprend que son ami Peter a été tué d’une balle dans la gorge, signature de Carlos. Jason semble être un tueur concurrent de Carlos...

Mon avis :

Comme tout le monde j’ai vu au cinéma puis à la télé les films «  Jason Bourne » avec Matt Damon mais je n’avais jamais lu les romans.

En réalité l’histoire du film est à la fois proche du roman dans la façon dont Jason Bourne est retrouvé et son périple en Suisse puis à Paris et assez éloignée du roman qui se place dans l'optique des moyens déployés pour traquer Carlos. Au fait je crois que ce dernier est toujours détenu en France.

Ce premier volet est vraiment passionnant, quoique parfois un peu long,  et j’ai beaucoup apprécié, même si ce n'est pas ma littérature favorite.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Jorn Lier Horst et à son roman « L’usurpateur ».

C’est le troisième roman de cet auteur qui met en scène Wisting, un policier têtu …. Vous trouverez la critique des deux autres romans sur ce blog, il suffit, pour les trouver, de clicquer sur la catégorie "Jorn Lier Horst".

L'auteur :

Il est né le 27 février 1970 en Norvège et est auteur de romans policiers, ça OK, mais aussi de livres pour enfant et jeunesse et ça c'est plus insolite!!

Il a écrit une série consacrée aux enquêtes du détective William Wisting de la police du comté de Vestfold. Son septième roman " Fermé pour l'hiver" est le premier traduit en français. Je me souviens l'avoir beaucoup apprécié.

L’histoire :

Line, journaliste chez VG,  propose de faire un reportage sur Viggo Hansen, un homme mort devant sa TV et que l’on n’a retrouvé que 4 mois plus tard. C’est Noël et l’article est censé être un contre-point aux abus des réveillons.

De plus Hansen était un voisin de Wisting, et Line se sent concernée.

Le corps de ce que l’on pense être un homme est découvert proche d’une ferme où l’on vend des sapins de Noël. Il s’y trouve sans doute depuis l’été précédent.

On trouve sur lui une pochette plastique contenant une publicité pour une croisière chrétienne datée du 9 août. Les empreintes montrent qu’elles appartiennent à une criminel recherché aux USA, l’étrangleur des autoroutes.

La victime est en fait Robert Grabb, qui enquêtait sur la mort de l’une de ses anciennes élèves et qui a remonté la piste de Robert Godwin, l’étrangleur des autoroutes.

De son coté, Line se pose des questions sur les raisons de la mort de Viggo Hansen et elle commence à soupçonner un crime, mais qui voudrait tuer un homme solitaire.

Wisting poursuit son enquête avec des membres du FBI venus sur place.

Dans l’appareil photo de Grabb, découvert chez sa logeuse, Wisting voit des clichés de fermes anciennes. Le FBI est frappé par l’existence de puits où des victimes pourraient avoir été jetées.

Bingo, on trouve dans l’un de ces puits des restes humains.

On a le sentiment en lisant le roman que les enquêtes du père et de la fille convergent mais Wisting veut garder le silence sur la mort de Grabb afin de ne pas faire fuir le tueur en série. Mais, ce faisant, il met en péril la vie de sa fille!!

Line rencontre un homme séduisant, un américain qui se dit analyste. Elle découvre qu’il travaille au FBI et se dit que son père, qui est préoccupé depuis qq temps doit être sur une grosse, très grosse affaire.

Les restes humains de l’un des puits est un homme, sans doute le corps de celui dont Godwin a pris l’identité. Mais il faut l’identifier ...

Puis dans un autre puit, celui de la sapinière, on découvre plusieurs corps de filles disparues. Les journalistes s’en mèlent…

Line se fait enlever à l’issue de sa nuit avec l’agent du FBI.

Mon avis :

Une intrigue passionnante! J'ai voulu un peu changer de ma lecture de Viveca Sten et je dois dire que là on se trouve un cran au dessus!

On a d’une part une investigation paisible, celle de Line pour son journal et d’autre part une enquête policière hors norme et les deux finissent par se rejoindre pour notre plus grand bonheur. J’ai adoré, je ne pouvais plus lâcher mon livre hi hi !!

On aimerait savoir ce que devient la relation de Wisting et Suzanne...

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Viveca Sten et à son roman « Les nuits de la Saint Jean ».

L’auteur :

Viveca Sten est née en Suéde en 1959. Plusieurs de ses romans se déroulent sur l’île de Sandhamn et ont été adaptés en mini série, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai connu cette romancière.

Elle a fait des études de droit et a travaillé comme juriste. Elle a commencé à écrire en 2005.

L’histoire :

Une jeune fille part de chez son amie et doit rentrer chez elle mais elle n’arrive jamais. L‘enquête n’aboutit à rien et le mystère de cette disparition reste entier.

A l’automne, à la toussaint je crois, Nora passe quelques jours de vacances sur l’île de Sandhamn car elle s’est disputée avec son mari dont elle a appris l’infidélité. Il la trompe avec une jeune infirmière.

Simon et Adam, les jeunes fils de Nora, découvrent à Sandhamn, dans un sac éventré, un bras décomposé. Il s’agit de Léna, la jeune fille disparue quelques mois plus tôt. l'enquête reprend.

Louise, sa meilleure amie de chez laquelle elle venait, pensait qu’elle s’était peut être suicidée suite au décès de l’un de ses amis, Sébastian. Elle s’en voulait en effet de lui avoir demandé de conduire son bateau et c’est ce qui avait provoqué son décès accidentel.

Les parents de Sébastian, Ingrid et Bengt Österman sont désespérés depuis la mort de leur fils unique et Bengt s'alcoolise.

De son coté Thomas apprend que son ex-femme est revenue et tous deux mangent ensemble. Thomas est heureux de la revoir car finalement il y est toujours attaché.

Le roman est entre lardé de l’histoire ( triste) de Thorwald Österman, mal aimé et battu par son père, obligé de partir et quitter celle qu’il aime et dont le destin sera triste.

Mon avis :

J’ai aimé ce roman qui a un aspect doux / amer.

Thomas retrouve son ex-épouse et Nora est sur la voie du divorce. Le trame du roman trouve ses racines dans le passé des protagonistes.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Viveca Sten et à son roman « Du sang sur la Baltique ».

J’ai eu envie de relire les romans de Viveca Sten mais, en réalité, celui-ci je ne l’avais jamais lu.

L’auteur :

Viveca Sten est née en Suéde en 1959. Plusieurs de ses romans se déroulent sur l’île de Sandham et ont été adaptés en mini série, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai connu cette romancière.

Elle a fait des études de droit et a travaillé comme juriste. Elle a commencé à écrire en 2005.

L’histoire :

Thomas assiste au départ d’une régate à Sandhamn. L’un des capitaines se fait tuer par arme à feu, juste au moment où le coup d’envoi est tiré.

La victime est l’avocat Oscar Juliander. Il faisait parti d’un cabinet d’avocats réputé et voulait que sa part des bénéfices tiennent compte de son activité réelle.

De plus il avait plusieurs maîtresses dont sa secrétaire et Diana Söder qui tient une galerie d’art et pour laquelle il envisageait de se séparer de son épouse Sylvia.

Pendant ce temps Nora se débat dans ses problèmes conjugaux. Elle a renoncé à un poste important car son mari ne voulait pas déménager. Suite au précédent roman, elle a hérité de la somptueuse maison de tante Signe. Son mari veut la mettre en vente et a même contacté un agent immobilier et ce dernier a trouvé un acquéreur pour une véritable petite fortune. Mais Nora répugne à vendre cette maison que Signe aimait tant.

Thomas entretient une liaison avec Carina, la fille de son chef.

Mon avis :

Je le répète, c’est un roman intéressant qui se déroule dans l’Île de Sandhamn. On a envie de connaître l’auteur de ces meurtres, j’avoue avoir deviné vers la fin, pas la toute fin et j’avais trouvé le ressort de l’intrigue.

Le roman nous fait partager la vie de plusieurs personnages et j’avoue que c’est ça qui me plaît le plus.

Thomas, marqué par la perte de son bébé et la faillite de son mariage, qui retrouve goût à la vie dans les bras de Carina mais dont la jeunesse le fait finalement se sentir bien vieux !!

Nora qui souhaite garder la maison de Signe et commence à ne plus reconnaître son mari dans l’homme qui partage sa vie... Ce n'est pas un grand auteur comme certains écrivains du Grand Nord, je pense là à Mankell, Indridason mais Viveca Sten est plaisante à lire, c'est plus de la détente et cela ne se refuse pas hi hi!! J'ai envie de lire tous ses romans!!

A bientôt