Ma chronique du jour est consacrée à Blake Pierce et à son roman « Condamné à tuer ».

 C'est un roman d'une série consacrée à Adèle Sharp.

L’histoire :

Adèle Sharp, agent du FBI, qui travaille pour Interpol se voit confier une enquête sur une jeune femme Amanda retrouvée errant en Forêt noire. Il faut dire qu’Adèle dispose de la triple nationalité américaine, française et allemande et notamment parle allemand. Elle part en mission avec John un autre agent mais français quant à lui.

Amanda a été enlevée cinq mois auparavant et souffre de fractures mal soignée et de divers hématomes dont une sévère hypothermie.

Amanda et John découvrent que de nombreux jeunes ont disparus pendant les dix dernières années.

Une battue est organisée et, au cours de celle-ci, un jeune disparaît.

Le père d’Adèle participe aux recherches. Les relations entre lui et Adèle n’ont pas l’air au beau fixe. Il faut dire qu’Adèle reprend l’enquête sur la mort de sa mère survenue dix ans auparavant.

Mon avis :

L’enquête n’est pas mal mais on a le sentiment de rester sur sa faim. Le père d’Adèle découvre les meurtriers mais ne les perçoit pas comme tels. Finalement ils sont découverts presque par hasard et ce n’est pas le fruit d’un travail d’enquête. Amanda réussit à se sauver et on se demande comment...pas de réponse. Je trouve qu’il y a une grande approximation dans ce roman.

Le point positif est, je l’ai déjà dit, l’héroïne. J’ai aimé le fait qu’elle recherche l’assassin de sa mère mais par contre sa progression est limitée...

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Giacometti et Ravenne et à leur roman « La croix des Assassins».

C’est une enquête du commissaire Marcas.

L’histoire :

On suit dans ce roman en parallèle la fin des templiers fin 13 et début 14 ème siècle et l’époque actuelle.

Marcas est sollicité pour enquêter discrètement sur une loge « sauvage » mettant à l’ordre du jour un rite secret attribué aux templiers. Cette demande émane à la fois d’un responsable franc maçon soucieux de ne pas voir les francs maçons être mêlés à des manœuvres troubles mais aussi d’un secrétaire d’état affecté à l’intérieur.

Un chef d’entreprise à l’avenir prometteur suit un enseignement de nature à lui assurer la réussite même si celle-ci repose sur des pratiques délictueuses.

Marcas s’infiltre au sein de cette loge secrète qui semble utiliser le secret des Assassins et met sa vie en péril

La fin me rappelle des choses...

Mon avis :

J’avoue avoir eu du mal à entrer dans ce roman. La partie «  templier » m’a plu, contre toute attente mais l’enquête de Marcas , je l’ai trouvée longue, longue…

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Giacometti et Ravenne et à leur roman « Conjuration Casanova».

C’est une enquête du commissaire Marcas qui date de 2011 me semble-t-il.

L’histoire :

En Sicile plusieurs couples se forment dans le cadre d’une sorte de séminaire érotique organisé par un certain Dionysos. Lors du dernier repas les participants : 5 hommes et 5 femmes sont drogués et immolés dans un gigantesque brasier. Mais l’une des femmes, Anaïs se réveille et arrive à prendre la fuite. Elle est recueilli par une famille sicilienne qui la prenne initialement pour une prostituée avant d’apprendre le drame. Elle arrive à regagner la France et se réfugie chez son oncle, Anselme. Il s’agit d’un franc maçon ami de Marcas et décédé dix jours plus tôt.

Pendant ce temps un fascicule émanant de Casanova trouve preneur pour une somme astronomique.

Pendant ce temps également un ministre est retrouvé presqu’inconscient à coté de sa maîtresse morte. Il est interné et Marcas est chargé de l’enquête. La jeune femme serait morte pendant l’acte d’une faiblesse cardiaque. Marcas arrive à voir le ministre dans sa clinique chic mais il se taillade les veines et macule l’un des murs de sa chambre. Marcas y retrouve un motif qui lui rappelle quelque chose : une étoile d’un jeu de tarot.

Une actrice célèbre et un peu has been, Manuela Real est également retrouvée délirante à coté de son jeune mari mort pendant l’amour…

Marcas trouve d’étranges similitudes dans les deux faits mais se voit retirer l’enquête.

Il rencontre Anaïs au domicile d’Anselme dont il a la clef. Il va protéger la jeune femme toujours poursuivie par Dionysos . Le manuscrit Casanova semble jouer un rôle majeur dans cette affaire.

Mon avis :

Le roman est tout à fait passionnant, j’ai beaucoup apprécié. Il y a du suspens, des courses poursuites et un étrange manuscrit. J’ai aimé !! Marcas est un curieux personnage solitaire et franc maçon.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à James Lee Burke et à son roman « The new Iberia Blues ».

J’ai un faible pour James Lee Burke, un gros faible même, ce n'est un secret pour personne car j'en ai souvent parlé ici même.

J’ai lu tous les romans de la série consacrée à Dave Robicheaux, surnommé «  belle mèche »

Enfin presque tous les romans car il y en a pas mal et il se peut que j’ai passé certains.

Je pense ne pas avoir lu «  Une tâche sur l’éternité » car il ne se trouvait pas à ma bibli.

Ce roman est récent et date de 2019, je suis tombée dessus par hasard et ne l’ai pas laissé passer…

L’histoire :

Dave Robicheaux a connu Desmond alors que ce dernier n’était pas encore le cinéaste célèbre qu’il est devenu 25 ans plus tard.

Dave, lui, est toujours dans la police et patrouille avec un jeune adjoint Sean McClain.

Alors qu’il va le voir, il regarde dans son télescope et voit un femme crucifiée dans le bayou. Desmond indique qu’il ne le voit pas et il en est de même de son ami. Tous deux s’occupent du tournage d’un film.

La victime est une jeune noire, Lucinda Arceneaux, fille d’un pasteur d’un âge certain. Elle s’occupait bénévolement d’une association d’aide aux détenus. Au moment de sa mort elle travaillait chez un traiteur qui fournissait les repas à l’équipe de tournage. Sa position sur la croix fait penser à une carte de tarot.

Un autre assassinat a lieu, Joe Molinari, un homme sans histoire. La mise en scène de son meurtre évoque également un personnage de tarot.

Puis Travis Leveau est également assassiné. Il avait prétendu avoir des infos.

Clete, un ami de Dave, lui avoue avoir vu, sans le signaler, un détenu s’évader d’un train. Il s’agit de Hugo Tillinger, qui avait été condamné pour un double meurtre, celui de sa femme et de sa fille. Tillinger connaissait Lucinda et Travis.

Dave arrête l’ami de Desmond mais il n’a pas vraiment de preuve et il est libéré sous caution.

Plusieurs mois se passent sans avancée notable.

Dave rencontre une chanteuse de blues, Bella, qui porte une croix de Malte. Il a une liaison avec elle. Un soir, il a un pressentiment et va chez elle avec Sean, un jeune policier. Elle s’est faite tuer et la mise en scène est également évocatricee d'une carte de tarot. Sean aperçoit à proximité de la caravane de Bella un homme armé et fait feu. Il s’agit de Hugo Tillinger qui meurt à l’hôpital.

Dave pense que Desmond en sait plus qu’il ne le dit et obtient de perquisitionner chez lui, on y découvre la seconde basket de Lucinda ainsi que ses vêtements. Lucinda était en réalité la demi-sœur de Desmond.

Mon avis :

Finalement on dirait un roman d’errance, j’allais écrire un film d’errance… Le roman est très visuel et l’intrigue se déroule lentement mais c’est loin, très loin d’être gênant. J'aime beaucoup ce genre de roman...

Dave est veuf pour la troisième fois et il est amoureux de sa jeune collègue Bailey qui lui dit que l’âge n’est pas l’essentiel. Il se demande s’il ne cherche pas à retrouver sa jeunesse.

L’enquête est complexe et mon résumé n’est que parcellaire. Ce roman, c’est une ambiance…

Il y a une histoire et des histoires dans l’histoire, des digressions, des réflexions sur la vie et la mort. Ça a le souffle d’une épopée !!

La fin est haletante et cela contraste avec la lenteur de l’enquête. Un chef d’oeuvre mais je suis partiale.Pour moi, James Lee Burke est un grand auteur américain.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Anne Perry et à son roman « Le brasier de Tooley Street ».

L’histoire :

Nous sommes en 1910.

Daniel Pitt accepte de défendre un jeune homme, Rob Adwell, accusé de meurtre pour avoir incendié un entrepot et provoqué la mort d’un homme, Jackson, qui était un voyou .

Il a accepté le dossier à la demande de Jessie Beale, la petite amie de Rob.

Le dossier semble perdu d’avance car la victime porte un coup à la tête mais Barnabas Saltram, un expert médico légal d’une grande notoriété, arrive à prouver qu’il est possible que la forte chaleur de l’incendie ait provoquer la fracture du crane.

Deux mois plus tard Rob Adwell est découvert mort dans des circonstances totalement identiques et Jessie est arrêtée. Elle avoue à mots couverts être l’auteur des deux assassinats et souhaite être défendue par Daniel Pitt et Saltram. Mais l’accusation fait appel au docteur Evelyn Hall et Jessie est reconnue coupable…

Saltram doit sa notoriété à une affaire similaire survenue 20 ans auparavant et un jeune homme a été pendu pour incendie volontaire ayant entraîné la mort d’une jeune femme.

Adria Leigh demande à Daniel d’obtenir la révision du procès de son mari afin d’aider son fils.

Mon avis :

L’intrigue est passionnante même si on reste un peu sur sa fin sur l’auteur réel du meurtre de Marguerite ( on suppose que c’est son mari) et sur ce que faisait sur les lieux celui qui a été condamné.

Daniel est toujours aidé par la fille de son mentor Miriam Fford Croft qui aurait souhaité être médecin légiste. Un personnage intéressant à mon avis.

Par contre, j’ai trouvé qu’il y avait particulièrement de verbiage et cela m’a un peu contrarié, même si le roman, il faut lui reconnaître cette qualité,  reste d’un excellent niveau. La fin est un peu abrupt et je me suis dit que pour quelqu’un qui était si menaçant au point de tenter de tuer ou à tout le moins de blesser son adversaire, il était vite mis à terre !!

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Dean Koontz et à son roman « Les yeux des ténébres ».

Je mets comme auteur Dean Koontz, le véritable nom de Leigh Nicols, pseudo utilisé par l’auteur.

Le roman est carrément ancien : 1998.

J’ai lu ce roman que j'avais dans mes stocks et j'en avais un autre mais je ne me souviens plus de son nom…

L’histoire :

Danny, âgé de 12 ans meurt dans un accident de car laissant sa mère désespérée.

Le couple était divorcé et Tina, une ancienne « girl » qui s’est reconverti comme chorégraphe se lance à corps perdu dans le travail. Elle monte, un an plus tard, une superbe revue à Las Végas.

Le soir de la première, elle rencontre Elliot un avocat et tous deux se plaisent.

Mais Tina croit devenir folle car elle découvre des mots sur le tableau noir de son fils disparu «  pas mort »

Puis des manifestations troublantes…

Attribuant ça au fait d’avoir refusé de voir son enfant au funérarium comme on lui avait d’ailleurs conseillé, elle demande à Elliot d’envisager une exhumation. C’est alors que l’on tente de tuer Elliot et que sa maison explose. Le couple arrive à se sauver et part à Réno afin de contacter le directeur du funérarium où a été installée la dépouille de l’enfant. A leur arrivée l’homme est mort.

Danny semble être utilisé pour réaliser des expériences...Il possède des anticorps permettant de lutter contre un virus.

Mon avis :

L’intrigue m’a plu malgré le bling bling du spectacle monté à Las Vegas et les scènes d’amour hi hi.Mais il ne vaut pas et de loin  la saga de Jane!!

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Dean Koontz et à son roman « La chambre des murmures ».

L’histoire :

Jane Hawk poursuit son combat.

Elle s’installe dans une maison vide qui doit être vendue et cette maison se trouve en face de celle d’un journaliste, Hannafin, qui est veuf depuis un an. Jane pense qu’il pourrait lui être utile dans son combat mais, prudente, elle place des micros dans les téléphones fixes de la maison. Lorsque Hannafin arrive à se libérer, il appelle un complice et apparemment il fait parti du complot…

Pendant ce temps, Cora Gundersun, qui est en arrêt de travail, s’occupe de son chien adoré mais se languit de son travail. Elle a cependant des maux de tête et fait des cauchemars selon lesquels elle brûle. Elle est l’auteur d’un terrible attentat.

Le shérif Luther Tillman n’arrive pas à croire que Cora, qu’il connaissait bien et appréciait, avait pu fomenter l’attentat. Il se rend avec son équipe à son domicile mais des hommes du FBI l’ont précédé. Luther prend des cahiers que Cora remplissait de sa fine écriture.

Pendant la nuit la maison brûle. Luther analyse les derniers écrits de Cora et décide d’aller voir sur place à Haut-Fourneau-Le-Lac.

Pendant ce temps, Travis, le fils de Jane est accueilli au domicile de Jessica et Gavin. Ce sont des amis rencontrés lors de réunions informelles d’anciens militaires et rien ne les relie à Jane. Travis y est donc en sécurité.

Jane apprend que sa cible suivant vit à Haut-Fourneau et décide de s’y rendre. Elle est méfiante et se renseigne. C’est là qu’elle fait la connaissance de Luther. Le domicile de D.J.Michael mais le château est apparemment transformé en école.

Mon avis :

C’est le tome 2 des aventures de Jane. Elle fait des rencontres et mène son enquête.

J’ai trouvé que c’était palpitant et j’ai hâte de lire la suite pour tout dire. J’ignore combien il y a de volumes.

Le roman se termine pas trop bien pour le shérif, en tout cas pour sa famille et Jane commence à être cernée de toutes parts…

Bref on passe un bon moment à lire ses aventures !!

Ma chronique du jour est consacrée à Dean Koontz et à son roman « Dark web ».

L’histoire :

Jane Hawk est un agent du FBI en disponibilité. Elle a du mal à se remettre du suicide de son mari Nick qui l’a laissée seule avec leur fils Travis.

Elle a des doutes même s’il est incontestable que son mari s’est suicidé dans leur salle de bains.

Elle commence à enquêter et découvre un nombre grandissant de suicides touchant une population en bonne santé et n’ayant jamais manifesté de troubles particulier.

Ainsi Nick était un brillant militaire à l’aube d’une belle carrière et dont la vie familiale était heureuse.

Jane enquête et un homme arrive chez elle menaçant Travis. Elle décide alors de mettre l’enfant à l’abri, vend sa maison et disparaît.

En fait Jane passe sous les radars pour essayer de comprendre.

Elle contacte des conjoints survivants dans la même situation qu’elle, des personnes qui se sont suicidés sans vraiment de raison et découvre que plusieurs d’entre eux ont souffert de maux de tête avant le suicide. Certains ont laissé des écrits cutieux.

Elle remonte jusqu’à un savant spécialisé dans la

nano-technologie. Pendant son enquête elle trouve un avocat qui aime se rendre dans un lupanar où toutes les femmes semblent dépourvues de volonté propre...Je ne vais pas dévoiler tout le roman car il se passe beaucoup de choses, mais j'ai beaucoup aimé hi hi!!

Mon avis :

J’ai bien aimé ce roman, comme je l'ai indiqué plus haut, l’héroïne est débrouillarde et drôlement fortiche !! C'est une mère prête à tout pour défendre son fils. Bien sûr il y a de grosses ficelles, notamment le fait de découvrir un SDF milliardaire susceptible de l'aider mais bon, c'est un roman!!

Elle n’hésite pas à tuer mais de toute façon ce ne sont que de sale type hi hi !!

J’ai trouvé que l’on pouvait passer un agréable moment et j’ai honte, j’ai envie de lire la suite !! J'ai vu que l'auteur n'était pas toujours très apprécié et j'ai trouvé que c'était injuste car perso j'ai passé un bon moment et j'espère continuer...

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Alexis Aubenque et à son roman " Nuits noires à Seatle" tome 1 "Charité bien ordonnée".

L'histoire :

Un étudiant Brandon est assassiné à son domicile. Il y a peu de pistes mais il se trouve qu'il avait une liaison avec Sandy la fille  cadette de Charles Winedrove, un richissime homme d'affaire. Logan, désormais chef du service des homicides confie l'affaire aux lieutenants Rivera et Nelson. Nelson est lui même très fortuné et vit avec sa jeune soeur sur un yacht de rêve. L'enquête s'oriente vers Sandy lorsque l'on découvre qu'elle avait versé 100.000$ à Brandon.

Mon avis :

en fait j'ai arrêté le roman à ce niveau, je n'en pouvais plus. C'est un auteur avec lequel je n'ai aucun atome crochu. Je vous laisse vous faire votre propre opinion. Les avis sont vraiment élogieux mais je ne partage pas du tout cette analyse.

Sa nouvelle équipe d'enquêteur n'est pas trop mal mais je suis saoulée par l'incohérence du récit, on est arrêté pour de vagues suspicions et ça m'agace et le devenir de cette famille ne m'interesse pas vraiment.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Eric Giacometti et Jacques Ravenne et à leur roman «  La nuit du mal ».

Ce roman est le second d’une série appelée le cycle du soleil noir.

J’ai voulu acheter le troisième volume sorti cet été mais il n’est pas en livre de poche et j’ai reculé face au prix de 22 €, cela attendra un peu, peut être un cadeau ou un emprunt hi hi !!

J'en profite pour souhaiter à tous une bonne année nouvelle!

L’histoire :

Le roman fait suite au précédent au cours duquel la deuxième Swastika a été récupérée par les anglais. Elle a été envoyée, non sans mal aux USA. Le bateau le Cornwallis a failli être empéché par des bombardements.

Hitler ouvre le front de l’est au lieu de marcher sur l’Angleterre…

Pendant ce temps l’équipe d’archéologue de l’Ahnenerbe arrive en Crête sur le site de Cnossos. Un des chercheurs trouve une swastika qui était fait pour être un pendentif. Mais sur le chantier de fouille il y a des morts étonnants…

En Angleterre, Laure se prépare à être envoyée en France. Mais cette fois ce ne sera pas avec Malorley mais avec Ian Fleming, clin d’oeil amusant à l’auteur de 007… Malorley recrute un mage un peu douteux Aleister Crowley qui, suite à un chantage, servira d’agent double

Laure espère revoir Tristan.

Ce dernier et Erika arrivent en Crête. Sur le site, à l’arrière d’une chapelle en ruine, on trouve les restes d’une porte.

Ils découvrent une pièce et un sarcophage qui contient… juste une épée dépourvue de tout signe distinctif.

L’alliage de l’épée montre qu’elle provient du sud de l’Allemagne médiévale soit entre Munich et Vienne.

Le porteur de l’épée était un croisé. Tristan est ainsi à la recherche d’un gisant dans une abbaye ou un monastère.

Puis cela le mène à Venise… mais je n’en dirai pas plus.

Le voyage de Laure se passe mal et les seuls survivants sont Ian et elle.

On découvre aussi le passé de Hitler à qui on fait découvrir la swastika, ancien symbole des ariens. Il fait la connaissance de Weistort, qui sera avec Hess, son plus ancien ami.

Quel sera l’impact de la Swastika sur la guerre ?

Mon avis :

C’est passionnant et j’ai adoré.

Il y a de l’action, du suspens et même de l’amour.

Comme je l’ai déjà dit, je n’apprécie pas les romans qui se déroulent sous l’occupation. Mais là c’est passionnant, pas toujours réaliste mais passionnant !

Je voudrais me procurer la suite mais cela attendra hélas !!

Je vais peut être lire des romans plus anciens, à voir

A bientôt