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fan de romans policiers
31 janvier 2020

78 année 3/ Alex Berg et " Ta fille morte"

Bonjour,

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Ma chronique du jour est consacrée à Alex Berg et au roman " Ta fille morte".

J'ai pris ce roman à la BM.

L'auteur :

Alex Berg est le pseudo d'un écrivain allemand, Stéphanie Baumm, née en 1963.

Elle a fait des études de droit et est devenue journaliste avant de se consacrer totalement à l'écriture. Sous son nom elle a ainsi écrit des romans mettant en scène le commissaire Armin Stahl et sous son pseudo a écrit des romans d'espionnage ayant une avocate comme héroïne.

Le présent roman a été écrit en 2012 et traduit en 2016

L'histoire :

Caroline, partie trente ans auparavant de sa Suede natale, revient dans la maison de sa tante décédée après avoir perdu sa fille décédée dans un accident de voiture.

Son ancien petit ami Ulf et père de Lianne la jeune femme décédée revient la voir et constate qu'il en est toujours amoureux.

Il ne comprend pas son départ précipité trente ans auparavant.

Caroline avait perdu ses parents dans un accident de voiture. Elle était au volant et avait pris de la drogue.

Le grand père de Ulf avait  provoqué l'accident afin de se venger de la perte d'une élection contre le père de Caroline. Il avait réussi à persuader cette dernière qu'elle était à l'origine de la mort de ses parents et avait fait en sorte d'entraver le mariage de Caroline et Ulf...

Mon avis :

Je n'ai pas accroché du tout. Le roman est d'une extrême lenteur et les personnages peu sympathiques.

On a envie de tous les secouer...

Je n'avais rien lu de cet auteur et j'ai trouvé le livre peu attrayant, je ne m'y suis pas attardée..

A bientôt

 

 

 

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28 janvier 2020

77 année 3/ Dmitri Ghoukhovski et metro 2035

Bonjour,

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Comme je l'avais indiqué lors de ma chronique sur métro 2034, j'ai acheté la suite du premier roman " Métro 2033" que j'avais adoré. Mes deux livres sont en version "poche", histoire de limiter mon budget lecture et la place qu'occupent les livres chez moi.

J'ai un peu attendu avant de lire ce roman, histoire de faire durer mon attente et mon plaisir...

Voici donc venu le temps de m'attaquer à ce roman, plus volumineux que les précédents et j'ai apprécié d'avoir à portée de main le plan du métro de Moscou.

 

L'histoire :

 

Nous sommes désormais en 2035.

Artyom est retourné vivre à la station VDNKh où il était installé initialement avec son père adoptif.

Mais Artyom n'est plus le même homme.

D'une part il est hanté par le fait d'avoir contribué à anéantir les " noirs" qui s'infiltraient dans la station alors qu'il pense désormais que ces personnes étaient l'avenir de l'humanité et n'avaient aucune intention belliqueuse mais voulaient au contraire les sauver.

D'autre part, Artyom est persuadé avoir entendu des appels radio alors qu'il était monté en haut d'une tour avec les stalkers, ces hommes qui montent à la surface.

 

Accueilli en héros, Artyom estime n'avoir aucun droit à ce statut.

Il va chaque jour à la surface malgré les risques d'irradiation afin de tenter de contacter des populations ayant survecues, mais en vain.

Toutefois il retrouve Homère, un vieil homme qui écrit le roman du métro et apprend qu'un individu dans la métro a entendu des appels à la radio dont il dispose.

Artyom et Homère se mettent en route pour retrouver cet Igor. Il s'ensuit une épopée à travers les tunnels et les stations...

On trouve des stations où les gens meurent de faim, la Hanse, conglomérat de stations riches et puisamment éclairées, le quatrième Reich, la ligne rouge des communistes, bref tout un monde.

Igor est tué, Artyom ne peut l'interroger mais il comprend cependant que sa mort n'est pas un hasard et il commence à se poser des questions. Son matériel radio est confisqué au gré de ses pérégrinations et à plusieurs reprises manque de mourir.

Il trouve Sasha, l'amie de Homère...mais il est aussi gravement irradié et il lui reste trois semaines à vivre.

Et la vérité...

Vers la fin du roman on découvre les mensonges presque d'état... mais là je vous les laisse découvrir hi hi!!

Mon avis :

De prime abord j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs et cela m'a contrariée... puis j'ai été fascinée par l'aspect épique de ce roman, cette grande fresque du métro est passionnante.

Le roman est quand même très noir et montre que la nature humaine est pitoyable mais ça, finalement, on le sait déjà.

Artyom est une sorte de Don Quichotte.

Le surnom de " Homère" n'a pas été choisi au hasard et cette épopée est purement fascinante.

Le plan du métro est un ajout bien utile mais finalement on se laisse porter par le roman...

Vous avez compris, j'ai adoré ce livre et si vous pensez ne pas être rebuter par les noms russes n'hésitez pas, lisez le.

Je termine ce post en remerciant mes visiteurs qui sont de plus en plus nombreux, à ma grande surprise d'ailleurs.

A bientôt

 

 

25 janvier 2020

76 année 3/ Ragnar Jonasson et " Sott"

Ma chronique du jour est consacrée à Ragnar Jonasson et son roman «  Sott ».

 

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J’ai déjà plusieurs romans de cet auteur dont les chroniques sont parues sur ce blog.

Lors d’un séjour à Rennes, j’ai découvert une superbe librairie, un vrai bonheur pour le lecteur que je suis, j’ai craqué pour ce roman que j’ai dévoré...

Il date de septembre 2019 dans ma version poche mais est paru en France en 2018 dans la version " luxe" hi hi!!

 

L’histoire :

 

Il s’agit de la suite des enquêtes menées à Siglufjördur, une ville du nord de l’Islande où s’est installé depuis deux ou trois ans, un jeune inspecteur Ari Thor.

Ce dernier a connu des hauts et des bas avec son amie Kristin et c’est l’un des fils rouges de la série de romans le mettant en scène.

L’autre fil rouge est son adaptation plus ou moins bonne à l’environnement de ce lieu parfois coupé du monde par la neige et supportant des conditions climatiques particulières.

Ari travaille avec Tomas, son supérieur qui rencontre lui aussi des problèmes de couple.

L’histoire débute avec une épidémie de fièvre hémoragiques qui a atteint Siglufjördur et a placé la ville an quarantaine.

Pour s’occuper Ari se voit confier un cold case remontant à 50 ans environ : la mort d’une jeune femme âgée de 25 ans suite à l’ingestion de mort aux rats dans son café.

Accident, suicide, meurtre ?

Deux couples et un bébé vivaient dans cette ferme isolée au moment du drame. C’est l’enfant, désormais âgé de 55 ans, qui souhaite savoir les circonstances du drame suite à la découverte d’une photo montrant qu’il y avait sur place un jeune homme d’environ 15 ans qui lui est inconnu.

Parallèlement à ce dossier le fils d’un homme politique désormais à la retraite meurt, percuté par un véhicule non identifié. Il semble s’agir d’un meurtre.

Puis l’enfant de la compagne de Robert, un ancien toxico est enlevé…Une journaliste mène l’enquête qui l’aménera au coeur du pouvoir.

Je vais m’arrêter là afin, comme toujours, d’éviter de déflorer cette intrigue tout à fait passionnante.

 

Mon avis :

 

Le roman qui se passe au nord de l’Islande permet de découvrir un autre univers.

Plusieurs intrigues policières s’entre-mêlent :

- le cold case,

- la mort d’un jeune musicien, fils d’un homme politique à la retraite,

- l’enlèvement d’un bébé, précédé de faits troublants.

Puis la vie de plusieurs personnages s’avére compliquée :

- le journaliste au prise avec ses soucis de santé et les problèmes conjugaux de ses parents,

- Ari qui renoue avec Kristin mais craint d’être devenu père au gré d’une liaison éphémére,

- Tomas, dont la femme est partie reprendre des études à l’extérieur à la cinquantaine, qui craint pour son couple,

- les angoisses de Robert et de Snorri.

 

Un roman très riche que j’ai adoré et que je vous recommande.

Apparemment Ragnar Jonasson a écrit une trilogie «  La dame de Reykjavik »

Mais dans l'immédiat je vais lire Métro 2035 que je m'étais gardé en réserve...j'ai hâte de le lire.

 

A bientôt

23 janvier 2020

75 année 3/ Martin Walker et " Meurtre en Périgord"

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Martin Walker et " meurtre en Périgord"

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L'auteur :

Martin Walker est un journaliste anglais qui revient en vacances chaque année en Dordogne.

Après des études à Oxford et Harvard, Martin Walker a travaillé pendant 25 ans pour le quotidien britannique The Guardian à Moscou, puis à Washington, et comme rédacteur en chef des pages européennes. Il est l auteur de plusieurs essais (notamment d une Histoire de la guerre froide) unanimement salués par le public et la critique. Martin Walker vit actuellement à Washington où il dirige le Global Business Policy Council, une Think tank pour décideurs.

L'histoire :

Bruno Courreges est policier municipal dans la petite ville de Saint Denis, 2000 ha environ.

Il protège les habitants notamment les petits producteurs sur les marchés des affreux inspecteurs missionnés pour faire respecter les directives européennes.

Tout est d'un grand calme jusqu'à ce que se produit un meurtre abominable. Le grand père de Karim, le tenancier du bar local, est assassiné et une croix gammée lui est gravée sur le torse.

Une photo d'une équipe de foot a disparu ainsi que sa décoration militaire puisque la victime était un harki.

Son petit fils Karim, qui a découvert le corps, est arrêté mais les choses ne semblent pas être si simples et Courreges va devoir investiguer dans le passé de la victime.

Mon avis:

L'intrigue n'est pas trop mal avec le contraste entre la bourgade paisible et le passé qui ressurgit.

Le livre se lit facilement et c'est assez agréable de se plonger dans l'histoire de ce gros village.

Mais, car il y a un mais, le vie de ce village est trop idyllique. On croirait une image d'épinal et cela m'a vraiment amusée.

Irréaliste est ce qui me vient à l'esprit avec ce policier municipal aimé de tous, jouant au rugby et la population si attachante... on a l'impression d'un inspecteur Barnaby français, quoique non, l'inspecteur Barnaby au contraire trouve que les villages cachent des choses terrifiantes alors qu'ici il y a une avalanche de bons sentiments.

Bon c'est quand même plaisant à lire mais c'est tout ce que je peux en dire.

A bientôt

21 janvier 2020

74 année 3/ Martha Wells et " Defaillances systemes"

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Martha Wells et « Défaillances systèmes ». C’est le premier volume d’une série « chronique d’un AssaSynth ».

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Je ne connaissais pas cet auteur qui écrit de la science fiction et de la Fantasy.

Le livre m’a été passé par une amie qui n’avait que moyennement apprécié.

 

L’auteur :

Martha Wells est née en 1964 aux USA.

Elle a reçu plusieurs prix pour ses œuvres et a notamment ecrit pour l’univers Star Wars et StarGate ( j’avais adoré cette série hi hi)

 

 

L’histoire :

 

C’est un roman court qui est une sorte de journal intime d’un être mi homme mi cybernétique dont le rôle, au sein d’une mission, est de protéger ses clients à tout prix voire d’assassiner.

Il est embauché par une équipe de chercheurs dirigée par le docteur Mensah et sa mission semble se dérouler paisiblement jusqu’à ce qu’un animal, enfin quelque chose, agresse deux savants et que notre AssaSinth arrive à les sauver.

Étrange, rien n’était précisé sur leur manifeste sur cette planète.

Gravement blessé, AssaSinth peut cependant se régénérer dans sa capsule et regarder son pecher mignon : des séries, qu’il capte sans problème puisqu’il a piraté son serveur.

 

Des erreurs de cartographie inquiètent également notre homme, enfin si l’on peut dire.

Puis nouvelle difficulté : une mission similaire installée de l’autre coté de la planète et dotée de 3 Sec Units, ne répond plus… pour notre homme tout le monde est mort mais l’équipe décide de se porter au secours de DelltFall, qui est pourtant de taille plus importante.

AssaSinth n’est pas un androïde de combat, son rôle est la protection de ses clients.

Il entre seul dans la station et découvre une première Sec Unit morte, un trou énorme dans le plastron, puis 11 corps qui se décomposent et d’autres cadavres ici et là.

 

Il en arrive à la conclusion que les sec units ont attaqué les humains, ce qui ne lui est pas totalement étranger puisque, par le passé, il a lui aussi été piraté et eu un comportement qu’il se reproche toujours.

Mais comme il a court-circuité le serveur principal pour agir à sa guise, c’est semble-t-il ce piratage du serveur censé le contrôler qui a sauvé l’équipe. D’une part, il n’a pas obéi aux ordres qui lui étaient donnés d’abandonner la mission lors de l’attaque d’un animal et d’autre part, il n’a pas fait la mise à jour qui lui était demandée, mise à jour comprenant un virus.

Il finit par faire équipe avec les chercheurs…

 

 

 

Mon avis :

 

J’ai été surprise par ce roman.

Il est court pour un roman de science fiction, il adopte le point de vue d’un non-humain. De plus le roman a un coté humoristique qui m’a bien plu.

Le docteur Mensah le prend un peu sous son aile, ce qui met mal à l’aise notre héros plutôt habitué à se dissimuler derrière la visière de son casque et à voyager dans la soute comme un objet.

J’ai regardé sur le net et apparemment d’autres romans ont été publiés dans la série mettant en scène notre assaSynth, jeu de mot je suppose entre synthétique et assassin.Il faut savoir que notre synthétique est un vraie psychopathe tout à fait plaisant par ailleurs.

Une lecture agréable, une intrigue qui vous accroche bien, bref un très bon moment…Le seul bémol est quand même le prix du livre vu sa taille…

J’avoue que j’aimerais bien lire les autres livres mais je recule face au prix quand même presque 11 € multiplié par 4 romans ( je ne sais pas le prix et la taille des autres livres) et peut être d’autres encore, je recule un peu. Comme ils sont vraiment récents, je doute de les trouver à ma BM même s’il y a d’autres romans de cet auteur...

 

A bientôt

 

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19 janvier 2020

73 année 3/ Lee Child et " Du fond de l'abime"

Bonjour,

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Ma chronique du jour est consacrée à Lee Child et son roman «  Du fond de l’abime».

J’ai lu plusieurs romans de cet auteur mais pas le premier de la série «  Jack Reacher », je ne l’avais sans doute pas trouvé.

Mes publications risquent de ralentir car j'ai du mal à tenir le rythme d'un post tous les deux jours hi hi!! Mais je vais essayer de tenir !!

 

L’histoire :

Jack Reacher est un ancien de la police militaire. Il a dans les 35 ans et parcoure les USA, histoire d’apprécier sa nouvelle vie.

Il arrive par hasard dans la ville de Margrave où a vécu un guitariste mort 60 ans plus tôt et dont son frère aîné lui avait parlé.

A peine arrivé après une bonne marche à la descente du bus qu’il avait emprunté, il se fait arrêter pour meurtre.

Un homme, Hubble, dont les coordonnées téléphoniques se trouvaient sur un papier dans la chaussure de la victime est arrêté en même temps.

Transférés à la prison du lieu, on les met dans le quartier des condamnés à perpet… Ils échappent de peu à la mort… grâce au fait que Jack ne s’en laisse pas compter…Hubble avoue à Jack qu’il participe contre son gré à une vaste entreprise criminelle et que c’est lui qui a fait appel à l’enquêteur retrouvé mort et encore non identifié.

Aidé d’une jeune policière, Roscoe, qui vérifie son alibi et de Finlay, l’inspecteur chef du lieu, Jack est libéré.

Il demande que Finlay envoie à nouveau les empreintes du mort.

Une seconde victime est retrouvée à proximité du premier lieu du crime.

Puis c’est le commissaire Morisson, manifestement un ripou, et son épouse qui sont assassinés.

A la morgue où il avait accompagné Finlay, Jack découvre que le mort est en réalité son frère Joe qui dirigeait la lutte contre la fausse monnaie.

La seconde victime est un camionneur Sherman Stoller qui devait tremper dans la combine au vue de la maison qu’il s’était acheté.

Sa compagne se doutait de l’origine frauduleuse de son argent. Elle précise qu’avant d’être au chomage il transportait des climatiseurs pour l’entreprise Island et que, de temps en temps, il en volait.

Une photo le montre en compagnie de Hubble devant les entrepôt de Kliner, un des pontes de Margrave.

Le maire Teale fait l’intérim du commissaire de police afin de garder la main sur les investigations.

Afin de se protéger, Jack récupère, grâce à Roscoe, l’arme de Gray, l’inspecteur chef qui a précédé Finlay à Margrave.

Gray s’est suicidé quelques mois auparavant et Finlay a été embauché alors qu’il traversait une mauvaise passe après que son épouse l’ait abandonné.

Jack s'interroge sur la réalité du suicide de Gray qui était un excellent flic. Il semble avoir enquêté sur la situation de sa ville et s'être approché trop prés de la vérité.

 

 Mon avis :

 

Une lecture agréable, une intrigue qui vous accroche bien, bref un très bon moment…

C’est le premier roman de la série et franchement il m’a bien plu.

Jack Reacher est une sorte d’anti héros, un vagabond qui va où ses pieds le mènent. Il a peu d’argent sur lui mais dispose d’une solide expérience de tous les aspects sordides de l’activité humaine. C’est un solitaire.

On découvre les spécificités du trafic de fausse monnaie. Jack enquête, se trompe aussi jusqu'au dénouement final.

Il y a également beaucoup de morts...

Mais il y a de l’action, de la violence et aussi des rencontres amoureuses… une sorte de polar presque à l’ancienne quelque part.

 

A bientôt

 

17 janvier 2020

72 année 3/ Jonathan Kellerman et " Crime et délice"

Bonjour

Ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et son roman «  Crime et Délice» , bref tout un programme.

 

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Lorsque je tombe sur un roman de cet auteur, en général je le prends.J'avoue que j'aime bien le lire, je sais qu'en général je passe un moment agréable de lecture.

D’autant qu’il s’agit ici d’un roman récent puisque paru courant 2019...chic !!

 

L’histoire :

Il s’agit d’une enquête de Milo Sturgis, l'inspecteur de la crim aidé du psychologue Alex Delaware.

Un premier meurtre a eu lieu dont la victime est une jeune femme d’une trentaine d’années, Katherine Hennepin.

Une jeune femme décrite comme étant timide par ses proches.

Le corps est à son domicile où a été préparé un repas pour deux.

Comme son ex-petit ami est cuisinier, Katherine semble avoir été assassinée par celui-ci, qui en outre est introuvable. Ceci explique que Milo Sturgis ne fait pas appel à son acolyte habituel. La scène de crime fait, en outre, penser à un crime passionnel, commis par un proche.

Plusieurs semaines se passent et le coupable présumé refait son apparition.

Il participait à un jeu culinaire genre «  le meilleur pâtissier » chez nous. Et, incontestablement, il ne peut pas être l’auteur de ce meurtre.

Milo ne trouve aucun point de départ expliquant le meurtre de cette femme, qui était une comptable sans histoire particulière.

Milo est affecté à d’autres affaires dont la mort de Ursula Corey dans le parking souterrain de l’immeuble occupé par son avocat.

Rien ne lui a été volé.

Une heure plus tôt elle était reçu par son conseil afin de partager entre ses deux filles ses bijoux de valeur. Elle était divorcée mais le couple gérait ensemble une société florissante d’importation d’objets venant de Chine, de la camelote comme l’affirmait Ursula, mais qui faisait leur fortune.

Ursula, qui avait des liens avec ce pays, était la tête pensante de la société et son mari était le gestionnaire. Le couple se disputait l’évaluation des parts de la société en cas de vente de celle-ci.

Son mari est le premier suspecté mais il semble être hors de cause, sauf à avoir payé quelqu’un pour assassiner son ex-épouse.

Les deux filles du couple âgées d’une vingtaine d’années n'ont pas avoir la carrure pour commettre un tel crime.

 

Le mari, voulant vendre la maison attribuée à Ursula lors de son divorce, missionne un agent immobilier qui se rend sur les lieux afin de prévoir une sorte de mise en scène destinée à mieux vendre le bien. Un peu le Stéphane Plazza américain….

Il découvre sur place un repas entièrement scénarisé. L’une des filles du couple assure que le veille encore rien n’avait été installé et elle fait appel à Milo.

Ce dernier fait immédiatement le rapprochement avec le meurtre de Katherine Hennepin. Il y a manifestement un lien entre les deux meurtres, mais lequel...

 

 

Mon avis :

 

Le roman démarre vraiment bien. J’ai tout de suite accroché et été prise par l’intrigue me demandant quel pouvait bien être l’auteur de ces meurtres.

Le mari de Ursula, effondré mais aussi étrangement froid à certains moments ?

L’avocat qui semble avoir couché sans scrupule avec sa cliente.

L’avocat adverse qui a lui aussi couché avec Ursula selon le mari…La mari précise qu’elle ne portait aucune culotte au cas où… la grande classe !!

La maîtresse éphémère du mari…

Bref les suspects ne manquent pas, en tout cas pour Ursula car, pour Katherine, Milo ne dispose que de peu d'élèment jusqu'à ce que le point commun semble apparaître.

Je n'en dirai pas plus pour ne pas dévoiler l'intrigue, d'autant que le roman est récent.

L'histoire m'a plu, c'est bien écrit et distrayant.

A bientôt

 

15 janvier 2020

71 année 3/ Henri Loevenbruck et " L'apothicaire"

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Henri Loevenbruck et son roman «  L’Apothicaire »

 

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 Ce roman est paru en 2013.

L’histoire :

Le roman se déroule au début du 14 ème siècle.

Le premier livre permet de suivre, séparément, l’existence de plusieurs individus.

On suit ainsi l’histoire d’Andréa Saint Loup, enfant trouvé, élevé par un religieux, qui arrête ses études classiques, part en Espagne par le chemin de Compostelle où il devient un apothicaire reconnu avant de revenir à Paris 9 ans plus tard. Il s'installe dans la rue Saint Denis où il exerce sa profession, après avoir acquis sa demeure, qui est aussi son laboratoire et son échoppe.

Au moment où l’histoire débute Andreas vient d’achever la formation de son apprenti.

Il en découvre un autre en la personne de Robin, un jeune garçon venu de la campagne et qui se révèle intelligent et doué malgré son manque de culture.

Il décide de le former avec l'accord de ses parents, mais, hélas, deux mois plus tard, il est emprisonné, sa maison est incendiée, ses deux domestiques assassinés…

Andreas prend la route de Compostelle afin de comprendre les mystères de sa vie et notamment pour quelle raison il avait oublié l’existence d’une pièce se trouvant dans son habitation et pourquoi une partie d'un  tableau  le représentant, s'est effacée. Il devine à l'aide de son microscope, qu'il y avait un personnage qui était peint à ses cotés.

Robin, son apprenti, le rejoint dans son périple, ainsi que Magdala une prostituée de la rue Saint Denis.

L’autre partie de ce roman retrace l’histoire d’une jeune fille de 15 ans dont les parents sont drapiers à Bézier.

Elle entretient une amitié avec un vieil homme dont le seul tort est d’être juif. Il finit d’ailleurs par être assassiné mais il a fait promettre à sa jeune amie de remettre son unique possession à son fils qui vit à Bayonne.

Aalis accuse son père du meurtre du vieil homme. Elle découvre  que le fils du prévôt avait tout manigancé pour la punir de ne pas vouloir de lui. Aalis est violemment frappée par son père et la nuit elle met le feu à la demeure de ses parents et à celle du prévôt, avant de se mettre en route pour accomplir sa promesse.

Mal en point, elle finit par trouver un refuge chez des bergers et, auprès de ses nouveaux amis découvre qu’elle a un don pour la sculpture du bois.

Ces personnages vont se retrouver mais je ne veux pas trop déflorer cette intrigue qui est passionnante.

 

Mon avis :

 

C’est un roman très particulier à mon avis, une sorte de quête pour les différents personnages qui finiront pas se réaliser.

On trouve également des poursuites, des situations presque désespérée mêlées à une sorte d’humour.

On est pris par ce récit et on n’arrive pas à lâcher le roman qui pourtant est d’une certaine longueur. J'ai bien aimé le fait qu'il y ait un narrateur qui prend de la distance avec le roman et y apporte une touche de fantaisie tout à fait décalée avec l'histoire.

J'ai été également impressionnée par les recherches que ce roman a demandé.

J'aime aussi l'aspect foisonnant de ce récit avec de multiples personnages et des digressions dans de nombreux domaines. On pourrait en déduire que la lecture doit en  être ralentie et peut même être pénible. C'est totalement faux car, et c'est là la qualité  de l'écriture et l'habileté de l'écrivain, on s'y retrouve sans aucune difficulté et les digressions ou explications ne sont jamais pesantes et même on y retrouve beaucoup d'humour.

J’ai adoré cette lecture qui est d’une grande qualité.

A lire absolument. C’est un contexte historique et c’est divertissant, que vouloir de mieux !!

A bientôt

 

13 janvier 2020

70 année 3. Nicci French et " Le jour des saints"

Ma chronique est consacrée à un roman que j'espérais lire depuis un petit moment : il s'agit de Nicci French et «  le jour des Saints »

 

 

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L’auteur :

J’ai déjà parlé de ce couple d’auteurs lors de fiches de lecture antérieures et je vous invite à vous y reporter ou à regarder tout simplement sur le net.

 

L’histoire :

 

Une jeune étudiante doit rédiger un mémoire et elle n’a pas vraiment d’idée.

Son professeur lui conseille in fine de rédiger son mémoire de criminologie sur Frieda Klein, une psychothérapeute controversée.

Elle lit les nombreux articles parus sur Frieda et cherche à entrer en contact avec elle.

Mais Frieda a disparu car elle était ménacée par Dean Reeves que tout le monde pense mort.

Les proches de Frieda n’ont aucune idée de l’endroit où elle se trouve.

Lola décide de mettre ses pas dans ceux de Frieda, mettant tout le monde en danger.

 

Le roman débute avec un terrible accident puisqu’une voiture dévale une rue en pente avant de s’encastrer dans une boutique de vêtements pour enfant, faisant plusieurs blessés. Le conducteur , Geoffrey Udo Kerman, décède dans l’accident.

L’autopsie établit que le conducteur était déjà mort, sans doute depuis plusieurs jours.

Un autre individu est également découvert mort depuis plusieurs jours sur un bucher édifié pour une fête.

Frieda fait le lien entre les prénoms de ces morts, le jour de leur mort qui est leur fête et les rivières qui circulent sous les routes. De cette façon elle découvre qu’il existe une autre victime.

 

 

Mon avis :

J’ai trouvé que le roman était tout à fait palpitant et très noir, jalonné de nombreux morts.

J’ai trouvé dommage de ne pas savoir ce que devient Laureen et peut être Scott car celui qui raconte l’histoire ne dit peut être pas tout.

Justement à ce sujet, celui qui raconte, est Abel Walter et là j’ai été déçue de ne pas voir le lien avec les protagonistes. Je suis peut être passée au dessus de quelque chose.

Il y a deux ou trois choses qui m’ont laissées perplexes ou qui n’ont pas été totalement exploitées selon moi.

Je pense le relire j'ai peut être manqué des choses dan ma hâte de parcourir ce roman que j'attendais tant.

Mais une chose est sûre, j’ai passé un excellent moment de lecture, moi qui ne suis pas fan des thrillers horrifiques !!

A bientôt

 

11 janvier 2020

69 année 3/ James Patterson et

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à James Patterson ( et Maxine Paetro) et à son roman «  16 eme séduction »

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J’avais pris à la BM ce roman avec le précédent, le numéro 15 de la série du Women‘s murder club.

Je l’ai déjà précisé je ne suis plus trop fan de James Patterson et de cette série.

Le roman date de novembre 2018 en ce qui concerne sa version française en tout cas.

 

 

L’histoire :

 

Lindsay Boxer est désormais séparée depuis six mois de son mari Joe, qu’elle voit régulièrement néanmoins.

Alors qu’elle mange en sa compagnie dans un bon restaurant à coté du musée des sciences, un attentat à lieu dans le musée. Joe se précipite pour porter secours aux victimes alors de Lindsay appelle les secours.

Elle voit un homme, un certain Grant, qui a une attitude étrange et il lui avoue être l’auteur de ce qu’il appelle «  un spectacle magnifique ».

Une fois arrêté il nie toute implication. Le procés commence !!

Joe est gravement blessé...

La médecin légiste découvre que plusieurs personnes décédées portent une étrange injection

 

 

Mon avis :

 

Je n’ai pas accroché du tout et le livre m’est, à plusieurs reprises tombé des mains et d’ailleurs j’ai fini par abandonné cette lecture.

j’ai beaucoup de mal avec la série de Murder Women club, d’ailleurs je ne suis pas allée au bout de ma lecture de ce roman qui m'a lassé et même ennuyé.

A bientôt

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