Ma chronique du jour est consacrée à Alexander McCall Smith et à son roman, « les mots perdus du Kalahari » 

L'auteur :

Alexander McCall Smith, CBE, FRSE, est né en 1948.

Benjamin d'une famille de quatre enfants, il est élevé à Bulawayo en Rhodésie (aujourd'hui c'est le Zimbabwe) où son père travaille comme procureur. Après ses études au Christian Brothers College, il déménage en Écosse, à l'age de 17 ans, pour étudier à l'Université d'Édimbourg où il obtient son doctorat en droit. Il enseigne ensuite à l'Université Queen's de Belfast.

En 1981, il retourne en Afrique et devient professeur à l'Université du Botswana. Il s'installe à Édimbourg en 1984, où il est professeur de droit appliqué à la médecine à l'université.

Il devint un expert très connu de droit appliqué à la médecine et de bioéthique vers la fin du XXe siècle, et fit partie de comités britanniques et internationaux à ces sujets.


Il a écrit trente romans, entre 1980 et 1990.

Alexander McCall Smith est l’auteur de plusieurs séries de romans policiers, la plus connue est "Les enquêtes de Mma Ramotswe" (Ladies' Detective Agency) où il créé le personnage de la première femme détective du Botswana, Mma Precious Ramotswe. Le premier tome, a été publié en 1998.

Il est aussi l'auteur de la série "Le Club des philosophes amateurs" dont Isabel Dalhousie est l’héroïne.

Alexander McCall Smith a reçu de nombreux prix

Père de deux filles, il vit avec sa femme médecin à Édimbourg.

L'histoire :

Mma Ramotswe, qui vit à Gaborone, est l'unique femme détective privé du Botswana.

Elle doit faire face à une nouvelle concurrence avec l'Agence de Détectives Satisfaction Garantie, dirigée par un homme, ancien policier. Elle a pour compagnon le garagiste J L B Matekoni qui sait réparer toutes les machines et qui a adopté deux enfants dont Mma Ramotswe s'occupe également. Matekoni a souffert d'une dépression et Mma Makutsi, l'assistante de Mma Ramotswe s'est occupée de la gestion du garage, avec succès d'ailleurs, gérant notamment les deux apprentis. Mma Ramotswe, du fait du retour de Matekoni à son garage, décide de fonder une école permettant aux hommes d'apprendre la dactylographie.

Mon avis :

 C'est un roman particulier car l'enquête policière n'est qu'accessoire. C'est plus l'auteur fait surtout partager son amour pour le Botswana et son peuple. C'est doux et paisible. Mma Ramotswe a sa propre philosophie ... On passe un bon moment dans une Afrique sans doute idéalisée ...

C'est un roman que j'ai acheté il y a longtemps, c'était la collection " Grands détectives". J'ai adoré cette collection de grande qualité. Je n'ai pas lu d'autres romans de cet auteur, a priori, il faut que je me plonge dans ma bibliothèque hi hi

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Peter James et à son roman, « La mort de Lorna Belling » 

L’auteur :

Peter James est né en 1948. Sa mère était gantière pour la reine d’Angleterre. Il a été scénariste aux USA.

Il écrit à partir de 1981 et a créé le personnage du commissaire Roy Grace.

Son premier ouvrage le mettant en scène, a reçu le prix Polar international 2006 du Salon de Cognac et le prix Cœur noir 2007. En 2016, il a reçu le prestigieux Diamond Dagger Award pour l’ensemble de son œuvre.

L’histoire :

Lorna n’a pas vraiment de chance en amour. Son mari est brutal et déplaisant. Son amant, Greg, qui lui jure un amour éternel et qui envisage de quitter sa femme Belinda pour refaire sa vie avec elle lui ment. Sa femme n’est pas malade et il vient de passer de merveilleuses vacances avec elle. Lorna le découvre grâce à des photos que lui montre une de ses clientes.

Lorna est coiffeuse à domicile et élève des chiots. Ceux-ci sont pré vendus et Lorna envisage, face à ces trahisons de partir en Australie rejoindre sa sœur. Elle décide de vendre sa voiture et de mettre Greg face à ses mensonges. Elle se rend dans sa garçonnière et lui crache tout à la figure. Greg, dans un accès de colère, la tue. Il efface ses traces et fait tout pour mettre en cause de tierces personnes dont le mari violent.

Mon avis :

L’enquête passionnante finit sur une grande surprise et j’ai beaucoup aimé. On continue de suivre la vie privée de Roy qui accueille à son foyer Bruno le fils de Sandy et dont il est le père. J’ai hâte de lire le tome suivant hi hi

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Blake Pierce et à son roman, Laura Frost 4 « Déjà disparue »

L’histoire :

Véronica est attachée et baillonnée. Au cou, elle a un réveil qui marque un compte à rebours jusque 12h. La pateforme sur laquelle elle se trouve est en hauteur et elle est branlante...elle meurt étranglée lorsque la plateforme chute.

Véronica est la seconde victime en deux jours.

Laura Frost et son co-équipier Nate sont chargés de l’enquête. Ils pensent que les jeunes femmes sont visées mais la troisième victime est un homme. Laura Frost a des capacités particulières puisqu’elle a des visions lui permettant de voir des lieux ou dess personnes.

Mon avis :

J’ai bien aimé même si l’intrigue est convenue puisque ce sont les visions de Laura qui font avancer l’enquête et non les investigations

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacré à Erle Stanley Gardner ( pseudo A.A.Fair) et à son roman Une sacrée sarbacane.

L'auteur :

Il est né en 1889 et est le créateur des romans mettant en scène l'avocat Mason.

Il est en partie privé d'une éducation de base solide, puisqu'il passe une bonne partie de sa jeunesse en constants déplacements avec son père, un ingénieur de chantiers miniers.

Admis au barreau californien en 1911, il plaide pendant de nombreuses années, pour le compte du cabinet d'Oxnard, des causes se rapportant à la défense des droits de minorités ethniques. Ces Mexicains et ces Chinois, gens désargentés, peuvent rarement le payer à sa juste valeur. C'est donc pour bonifier son salaire que Gardner entreprend d'écrire, sous divers pseudonymes, plusieurs centaines de nouvelles policières, d'aventures et westerns. La série Perry Mason débute en 1933.

Puis il crée sous le pseudo A.A.Fair les enquêtes de Bertha Cool, grosse dame fort laide, mais supérieurement intelligente, qui possède sa propre agence de détective privé avec son acolyte Donald Lam.

La série Cool/Lam devient un succès qui, sans atteindre la notoriété des Perry Mason, permet à Gardner de se consacrer uniquement à l'écriture.

Jusqu'en 1970, date de sa mort, il alimente presque chaque année les séries Perry Mason et Cool/Lam, totalisant en fin de carrière la publication de quelque 130 romans.

L'histoire :

Bertha Cole est chargée par Dean Crockett de vérifier les invitations de sa soirée afin d'éviter tout resquilleur et tout vol.

Mais à cette soirée sont volés un boudha de jade et une sarbacane.

Rapidement Donald Lam retrouve les deux objets volés. Il rapporte à la charmante Madame Crockett la sarbacane. Son mari s'était isolé dans un bureau où personne ne peut le déranger et Phyllis Crockett, qui peint son amie Sylvia, essaie d'attirer son attention d'une fenêtre de son atelier mais en vain. Donald part mais apprend peu après la mort de Dean Crockett, tué par une flechette qui aurait été tiré par la fameuse sarbacane.

Mon avis :

Ici ce n'est pas vraiment un roman judiciaire, on assiste à Donald Lam qui fait preuve de son coté futé. C'est un vrai plaisir à lire même si ça a un coté un peu désuet.

Donald Lam fait des tours de passe passe mais arrive à une solution juste.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Blake Pierce et à son roman « Déjà choisie »

L’histoire :

Deux meurtres ont eu lieu, les victimes sont retrouvées enlaçant un mannequin pour l’une, une jeune femme timide et assis à coté d’un même mannequin pour l’autre, un homme dépressif.

Laura Frost et son co-équipier Nate sont chargés de l’enquête. Le seul point commun serait le psychiatre qui les suit mais il est hors de cause.

Laura n’a plus aucune vision pour l’aider et elle en est désespérée.

Un troisième homme est retrouvé chez lui, assis sur son canapé avec un mannequin.. Laura et Nat suivent la piste des mannequins et justement une déclaration de vol a été déposée. Un grand magasin a installé des mannequins plus modernes et 4 mannequins remisés ont été dérobés.

Après enquête ils procèdent à l’arrestation du vigile du magasin. Il a volé les mannequins du magasin pour les revendre à des étudiants des Beaux Arts.

Mon avis :

Médiocre est ce qui me vient à l’esprit. Intrigue "plant plant" même si les crimes sont intéressants, le problème vient du déroulé de l'enquête. Bon je l’ai lu mais sans plus. Je vous laisse vous faire votre propre opinion, après tout, tous les goûts sont dans la nature!

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacré à Erle Stanley Gardner ( pseudo A.A.Fair) et à son roman Un colt dans le corsage.

L'auteur :

Il est né en 1889 et est le créateur des romans mettant en scène l'avocat Mason.

Il est en partie privé d'une éducation de base solide, puisqu'il passe une bonne partie de sa jeunesse en constants déplacements avec son père, un ingénieur de chantiers miniers.

Admis au barreau californien en 1911, il plaide pendant de nombreuses années, pour le compte du cabinet d'Oxnard, des causes se rapportant à la défense des droits de minorités ethniques. Ces Mexicains et ces Chinois, gens désargentés, peuvent rarement le payer à sa juste valeur. C'est donc pour bonifier son salaire que Gardner entreprend d'écrire, sous divers pseudonymes, plusieurs centaines de nouvelles policières, d'aventures et westerns. La série Perry Mason débute en 1933.

Puis il crée sous le pseudo A.A.Fair les enquêtes de Bertha Cool, grosse dame fort laide, mais supérieurement intelligente, qui possède sa propre agence de détective privé avec son acolyte Donald Lam.

La série Cool/Lam devient un succès qui, sans atteindre la notoriété des Perry Mason, permet à Gardner de se consacrer uniquement à l'écriture.

Jusqu'en 1970, date de sa mort, il alimente presque chaque année les séries Perry Mason et Cool/Lam, totalisant en fin de carrière la publication de quelque 130 romans.

L'histoire :

Un homme, Ansel,  se rend au cabinet Cool /Lam afin de trouver l'adresse d'un couple dont la mari se prénomme Karl, qu'il aurait rencontré lors de vacances 6 ans auparavant mais comme le soupçonne Lam c'est un prétexte.

Lam fait des recherches et découvre que le mari est Karl Carver Endicott, lequel a été assassiné plusieurs années auparavant. Un témoin a conduit sur les lieux un homme ressemblant à Ansel. Le témoin semble être décédé...

La femme de la victime,  Elisabeth Flanders et Ansel veulent se marier compte tenu de la mort du témoin mais Ansel est arreté au moment de la cérémonie. En réalité le témoin n'est pas mort, il s'agissait d'un piège...

Mon avis :

 Le roman est partiellement un roman judiciaire puisqu'il se termine par un procès. Un procès à l'américaine bien sûr puisque la procédure n'est pas la même qu'en France. Il y a des rebondissements jusque la fin...

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Ellery Queen et à son roman, Le mystère de la rapière.

L'auteur :

Ou plutôt les auteurs puisqu'il s'agit de deux cousins écrivant sous cet unique pseudo.

Ce qui est amusant est qu'Ellery Queen est également leur héros.

Deux écrivains américains se dissimulent sous le nom d'Ellery Queen :

- Manford Lepofsky, alias Manfred Bennington Lee (1905-1971),

- Daniel Nathan, alias Frederic Dannay (1905-1982),

tous deux nés à Brooklyn.

L'histoire raconte qu'ils ont participé à un concours de roman policier et que cela a été le début d'une grande carrière.

L'histoire :

Solly Spaeth est un sale individu qui a récupéré les économies de quantité d’épargnant ainsi que celle de son ami Rhys Jardin qui est totalement ruiné et doit quitter sa grande villa. Val, la fille de Rhys Jardin, est amoureuse de Walter le fils de Solly que ce dernier a déshérité. Walter était brouillé avec son père car il voulait que celui-ci aide les épargnants floués en relançant l'entreprise qu'ils avaient financé.

Solly Spaeth, l'associé de Rhys, est retrouvé mort dans son bureau. Walter est un suspect idéal ainsi que Rhys Jardin.

Mon avis :

Toujours agréable à lire. Je relis mes vieux romans toujours avec plaisir.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Ellery Queen et à son roman Le mystère égyptien.

L’auteur :

Ou plutôt les auteurs puisqu’il s’agit de deux cousins écrivant sous cet unique pseudo.

Ce qui est amusant est qu’Ellery Queen est également leur héros.

Deux écrivains américains se dissimulent sous le nom d’Ellery Queen :

- Manford Lepofsky, alias Manfred Bennington Lee (1905-1971),

- Daniel Nathan, alias Frederic Dannay (1905-1982),

tous deux nés à Brooklyn.

L’histoire raconte qu’ils ont participé à un concours de roman policier et que cela a été le début d’une grande carrière.

L'histoire :

Ellery Queen et son père l'inspecteur Richard  Queen vont  à Arroyo, en Virginie, où un homme a été retrouvé décapité et crucifié sur un poteau indicateur.

Il s'agit d'Andrew Van, l'instituteur du village. Son employé a disparu.

On a l'impression que tout se rapporte à un T.

Un T est également inscrit sur la porte de l'instituteur.

Un mystérieux individu, qui se fait appeler Harakht, évoque un culte égyptien.

La victime assez curieusement achetait du caviar.

Ellery Queen ne résoud pas l'affaire mais six mois plus tard, à New York , a lieu  un second crucifiement. On retrouve Harakht qui vit dans un camp de nudiste à proximité de la seconde victime. En fait la seconde victime est le frère de Andrew Van. Mais Ellery Queen découvre que Andrew Van n'est pas mort, la victime était son domestique.

Mon avis :

C'est un roman génial qui m'a fait passer un excellent moment. Il y a du suspens, des morts à foison et du mystère...

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Gaston Leroux et à son roman Le mystère de la chambre jaune

L'auteur selon wikipedia :

Gaston Leroux est né en 1868 à Paris et est mort en 1927.

Il fait ses études en Normandie, à Eu puis à Caen. Il s'installe à Paris en octobre 1886, et s'inscrit à la faculté de droit. Devenu avocat en 1890, il exerce cette profession jusqu'en 1893 tout en écrivant des  comptes rendus de procès pour le journal L'écho de Paris. Il devient chroniqueur judiciaire pour un des plus grands journaux et couvre de nombreux procès. Puis il devient grand reporter et part à l'étranger.

Son roman le Mystère de la chambre jaune, chef-d'œuvre d'ingéniosité  lui vaut le succès en 1908. Il continue à écrire des romans dans la même veine, Le Fantôme de l'Opéra en 1910, La Poupée sanglante en 1923 et la série des Chéri-Bibi à partir de 1913. Son dernier roman, Mister Flow, paraît en 1927.

L'histoire :

 Rouletabille, surnom d'un  jeune journaliste, Joseph Josephin,qui a démêlé des  énigmes compliquées, se rend en compagnie de son ami l’avocat Sainclair au château du Glandier.

Le château appartient au professeur William Stangerson, physicien renommé qui y travaille avec  avec sa fille Mathilde après être revenu des USA. Cette dernière a été victime d'une agression très grave dans la chambre jaune adjacente au laboratoire où elle travaillait avec son père. La pièce était totalement close de l'intérieur et ses  volets fermés.

Rouletabille arrive à s'installer au château grâce à Robert Darzac, fiancé de Mathilde et à une phrase étrange :  Le presbytère n’a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat.

Les travaux du professeur Stangerson ont été dérobés par l'agresseur.

 Mon avis :

 Bien sûr l'énigme posée par ce roman est passionnante et le dénouement astucieux.

Je l'avais lu il y a bien longtemps et j'ai eu envie de le relire. Le seul bémol sont, à mon avis, un grand nombre de longueurs et parfois beaucoup de verbiage. Mais il faut replacer le roman dans son époque d'autant que je me demande s'il n'était pas paru en feuilleton mais je peux me tromper. J'avoue avoir mis un certain temps pour le lire!!

Le héros un un petit coté Tintin mais est moins amusant que sa "copie" hi hi!!

A bientôt