Bonjour,

Récemment j'ai trouvé  ce roman dans la boite à livres de ma BM, c'est pourtant un livre récent.

J'y dépose mes livres et souvent en récupére d'autres.

J'ai trouvé récemment un livre tout neuf sur le yoga qui fera le bonheur de ma fille!!

Ma chronique du jour porte donc sur Alexis Deltour et la roman " Mad Crimes"

Je ne connaissais  pas l'auteur et j'ai donc fait un petite recherche sur le net qui m'a permis de voir qu'il avait un blog dont je vous mets l'adresse :

Alexis Deltour, écrivain

Blog de l'écrivain Alexis Deltour : son travail, sa vie, ses humeurs, ...

https://www.alexis-deltour-ecrivain.com

 Il a l'air assez jeune au vu de sa photo et est un crivain français.

L'histoire :

Un détective privé, Richard Malden, a acheté une maison qui sera sa résidence secondaire dans la  bourgade de Glendale. En attendant la fin des travaux de remise en état de son nouveau bien, il réside dans une chambre d'hôte tenue par Loretta Belmont, une vraie commère!!

Richard  a des liens avec cette charmante petite ville puisque son beau-père, Robert, y a exercé en qualité de shérif.

Richard venait régulièrement voir sa belle-famille avec son épouse, aujourd'hui décédée, et a gardé de bons rapports avec Robert et la seconde épouse de ce dernier. Avec l'aide de Robert et de sa belle-mère , il s'installe dans sa nouvelle maison.

Richard se rend chez ses beaux parents pour le premier souper de sa nouvelle vie et, alors qu'il attend  la venue de Robert parti voir le sherif Scott,  un colis est déposé sur le pas de la porte : il s'agit d'un carton à chapeau contenant la tête de Robert fraîchement coupée. Le corps est retrouvé peu après. Il porte deux marques sur le torse, l'une " Ripou" et l'autre " Mad". Le décollement semble avoir été effectué avec un sabre japonais. Robert ne s'est pas débattu en raison d'une injection qui lui a été faite de la drogue du viol.

Richard est sollicité par le shérif actuel, Scott, pour l'aider à mener l'enquête. En effet Richard a eu l'occasion de faire des enquêtes sur des crimes importants  pendant sa carrière de détective privé alors qu'à Glendale les meurtres se comptent sur les doigts d'un main et ce, sur plus de 20 ans.

L'enquête montre que Robert avait pour maîtresse Melanie Ferguson, laquelle venait de le quitter.

L'ancien légiste est à son tour assassiné et sont gravés sur lui deux mots : "Menteur" et "Mad". Il avait une liaison avec Loretta, qui est celle qui justement vient de découvrir son corps. Avant Loretta il avait eu une aventure avec Melanie, dont les initiales sont en réalité MAD.

Mélanie est une mangeuse d'hommes qui avait à son palmares Marvin Harwood, époux d'une autre commère de la ville, Lisa. Elle était également la maîtresse de la femme du maire tout en réussissant  à séduire Richard.

Mais il existe une autre MAD...

Je m'arrête là ne voulant pas déflorer le roman.

Mon avis :

L'intrigue est bien faite même si le déroulé de l'enquête est assez faiblard et, à mon avis, pas très pro.

Richard et Scott a au moins deux reprises veulent toucher au corps de la victime avant le légiste, Richard a une liaison avec une potentielle mise en cause dans l'enquête et même invente des mensonges pour éviter de mêler le maire à l'enquête... pas  top tout cela.

L'ancien sherif tenait un journal intime ( je sais, ça a un coté cucul mais admettons), les enquêteurs découvrent qu'il avait un fils caché mais il ne leur vient pas à l'esprit de lire les cahiers plus anciens pour y trouver des infos!!

Ceci étant dit, j'ai trouvé que le roman était bien écrit avec un dénouement qui vous surprend.

Si je comprends le mobile de la vengeance, une partie m'échappe car il s'agit là également d'une victime... là encore je n'en dirai pas plus.

Bref le roman se laisse lire et même plus que cela car on a du mal à s'arrêter hi hi!

C'est le premier roman de cet auteur et on en espére bien d'autres. Un livre que je recommande tout à fait.

Il est d'ailleurs reparti là où je l'ai trouvé pour qu'il fasse le bonheur d'un autre lecteur...

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Henri Loevenbruck et son roman «  les Cathédrales du vide »

C’est en fait la suite du «  Rasoir d’Ockham »

Ce roman est plus ancien que l’affaire Fulcanelli et date de 2008.

L’histoire :

Ari Mackensie et Lola se sont quittés et Ari est en pleine déprime.

Il est sollicité, alors qu’il se trouve en arrêt de travail prolongé par Willy Vlaeminck qui travaille pour la Sitcen, un service de l’Union européenne. Il lui propose de reprendre sa précédente enquête qui lui avait été confisqué par le classement en secret défense.

Ari décline.

Au même moment une jeune femme Sandrine Monney qui travaille à Genève sur un rapport commandé par l’ONU se fait assassiner par un homme d’un certain âge qui se déplace avec une canne.

Son collègue est également assassiné. Leurs autopsie révélera la présence d’une neuro toxine.

En rentrant à son domicile, Ari constate que son appartement a été visité et il en est de même de celui de sa collègue et amie Iris ainsi que de celui de Krysztov Zalevski, son ami garde du corps d’origine polonaise.

Il songe que tout cela est en lien avec les documents que le trio avait conservé lors de leur aventure précédente relatée dans le Rasoir d’Ockham.

Dans le même temps un géologue s’échappe d’une base secréte située dans la jungle.

Il ne va pas très loin et meurt à quelques mètres de la sortie.

Ari fait la connaissance de Marie Linch qui recherche désespérément des nouvelles de son père qui était géologue.

A la demande de Ari, Iris fait quelques recherches et apparemment trois géologues ont récemment disparu.

Ari se lance dans l’enquête qui le mênera sur la piste de Nicolas Flamel.

Mon avis :

C’est un roman haletant dont je vous parle aujourd’hui.

Le récit mêle le testament que laisse Nicolas Flamel et l’enquête de Ari.

On y trouve des souterrains, des fuites dans la jungle, des assassinats, un peu d’amour mais juste ce qu’il faut et puis des trahisons diverses et variées et le rôle de multinationales...

J’ai été passionnée hi hi et j’ai du résister, ne pas regarder la fin, dur dur !!

Et là on découvre qu’il manquait une septième page au fameux carnet de Villard, qui est la trame du précédent roman.

J’ai totalement adoré, heureusement j’ai d’autres romans du même auteur.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Henri Loevenbruck et son roman «  le rasoir d’Ockham "

Suite au livre de Henri Loevenbruck sur L’affaire Fulcanelli, j’ai fait un passage à la BM et emporté une série de livres du même auteur.

Il faut reconnaître que je l’avais adoré malgré de petits bémols.

Je ne vous reparle plus de l’auteur puisque ma précédente chronique l’évoque et Wikipedia peut faire le reste.

Ce roman est plus ancien que l’affaire Fulcanelli et date de 2008.

L’histoire :

Ari Mackensie reçoit un appel téléphonique, un appel au secours en réalité, d’un vieil ami de son père, Paul Cazo. Ce dernier qui a connu Ari tout gamin est un ancien architecte installé à Reims.

Ari se précipite mais hélas arrive trop tard. Ce vieux compagnon, ami de son père, est mort, ligoté et son cerveau a comme été aspiré.

Bref une mort horrible d’autant plus que la victime n’a pu se défendre, étant sous l’emprise d’une substance, le curare, le paralysant.

Ari est bouleversé et découvre que l’exécuteur testamentaire est une jeune femme, Mona Safran, dont Paul Cazo ne lui a jamais parlé malgré les liens étroits qu’ils entretenaient. Mona est une ancienne élève de la victime qui tient une galerie à Vaucelles.

Il se demande si Paul Cazo n’était pas franc maçon, après avoir vu dans son appartement,  équerre et  compas...

Un autre mort intervient deux jours plus tard, celui d’un entrepreneur basé à Chartres.

Le commisaire de police en charge du dossier Paul Cazo est dessaisi au profit de celui de Chartres. Il confie à Paul avoir découvert un autre meurtre antérieur à celui de Paul. La victime est d’âge similaire et était installé à Lausanne.

Sa hiérarchie lui demande de ne pas intervenir et de prendre des vacances.

Toutefois Ari reçoit, à son domicile, un courrier de Paul Cazo contenant une page ancienne pouvant provenir du carnet de Villard de Honnecourt.

Son domicile personnel est visité et Ari tue le cambrioleur, qui se révèle être un homme de main.

Il se réfugie chez Lola, la jeune libraire avec laquelle il a eu une liaison.

Ari poursuit son enquête et pense que Paul Cazo n’était pas franc maçon mais un compagnon ayant fait le tour de France, ce que lui confirme Iris, une de ses collègues.

Il poursuit son enquête sur Villard de Honnecourt mais une lettre anonyme lui est adressée sur son lieu de travail, cette lettre que lui remet Iris mentionne un nom et un lieu… la prochaine victime.

Ari arrive trop tard, l’homme, Pascal Lejuste, restaurateur à Figeac vient juste de mourir selon la même méthode. La presse évoque le fait que les analyses mettent en évidence le fait que le tueur en série serait une femme. Ari se demande s’il s’agit de Mona.

Je ne vais pas aller au delà dans mon rappel de l'histoire qui forme la trame de ce roman.

Mon avis :

J’aime beaucoup ces romans qui nous font découvrir des époques, des modes de vie particuliers ou d’autres pays et celui-ci en fait incontestablement parti.g

Car Villard de Honnecourt a bien existé, il est né autour de l'an 1200 près de Cambrai. Il fait son apprentissage en allant de ville en ville et de chantier en chantier. I

Les hommes de métier de l'époque voyageant beaucoup, nous connaissons, grâce à son carnet les étapes de son périple, on retrouve les villes citées dans le roman : Vaucelles, Cambrai, Reims, Chartres, Lausanne etc. Le roman repose que une base histoire dont j’ignorais tout et cela m’a poussé à faire quelques recherches. J’adore !!

Son carnet existe bel et bien et il y manque 8 pages.

Dans ce roman, on trouve amour, enlèvement, mystères, amitié puisque dans ce roman se noue le lien entre Ari et un certain garde du corps polonais...

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Henri Loevenbruck et son roman «  le mystère Fulcanelli »

L’auteur :

Henri Loevenbruck est né à Paris en 1972.

Il a fait ses études au Lycée Chaptal et à la Sorbonne.

Sa carrière s’est partagée entre le roman, le journalisme et la musique puisqu’il a composé pour son ami Renaud et fait parti d’un groupe.

Je me demande si je n’ai pas lu « L’apothicaire » qui se passe à l’époque médiévale… je ne sais plus

L’histoire :

Lola est une jeune libraire passionnée qui vient de perdre son job, la boutique va être vendue à une entreprise de téléphonie.

Jeune maman d’un petit Maxime de 14 mois, elle découvre que son compagnon la trompe et amène même sa maîtresse chez eux, enfin chez lui, puisqu’il est propriétaire de son appartement…

Dur Dur pour la jeune femme qui se prend à regretter son ancien compagnon, Ari, fidèle client de la librairie de Marcello avant qu’elle se mette en ménage avec le père de Maxime…

Elle est à la rue avec son fils et ne sait où aller. Une seule solution : demander à son ami Krystov, qui est aussi un proche d’Ari et un ancien garde du corps, de l’héberger provisoirement.

Pendant ce temps, Ari Mackenzie, un ancien des renseignements généraux en pleine dégringolade, retrouve un ancien copain policier qui lui demande de le renseigner sur un certain Fulcanelli.

Cédric Radenac est en effet chargé de la disparition d’un carnet attribué à Fulcanelli par la fille du galeriste Mazzoleni. Ce dernier est décédé, apparemment de mort naturelle mais il était détenteur d’une immense bibliothèque de livres rares dont une partie était consacrée à l’alchimie. Parmi ses livres les plus précieux à ses yeux il y avait ce fameux carnet. Ari est étonné que ce seul volume ait disparu car sa valeur était minime comparée à celles des éditions anciennes et des incunables dont le défunt avait fait collection.

Fulcanelli a écrit deux livres le « Mystère des cathédrale » et «  les Demeures philosophales » parus respectivement en 1926 et 1930, puis l’ébauche d’un troisième.

Les illustrations étaient de Julien Champagne et la préface du disciple de Fulcanelli : Eugène Canseliet. Il était décrit comme un vieil alchimiste ayant découvert le mystère de la pierre philosophale puis dans une réédition de 1952 Canseliet se présentait comme le véritable auteur des livres.

Donc un mystère existe quant à l’identité de Fulcanelli et se pose même la question de la réalité de son existence.

Détail troublant : Champagne et Canseliet de 20 ans son cadet, étaient voisins de palier. Ari estime donc qu’ils étaient co-auteurs et ont monté un stratagème pour faire parler des livres en les attribuant à un mystérieux inconnu. Le troisième livre, selon cette analyse, n’a pu paraître en raison du décès de Champagne en 1932.

Ari est missionné par la fille du galeriste décédé afin de retrouver le carnet qu’elle attribue à Fulcanelli.

Ari a des doutes sur le fait que ce carnet ait réellement appartenu au célèbre alchimiste.

Il se rend à Séville où un autre alchimiste est mort devant un tableau de Valdes Leal.

Mais, plusieurs morts plus tard, Ari met la main sur deux feuillets dudit carnet dont l’écriture lui est inconnue. Il s’agit d’une sorte de jeu de piste à partir de l’observation du tableau de Séville.

De son coté, Cédric Radenac poursuit son enquête et un ami qu’il avait missionné pour enquêter sur un plan généalogique est assassiné après lui avoir téléphoné qu’il avait identifié Fulcanelli.

Ari suit la piste Valdes Léal avec l’aide de Lola dont il est désormais proche à nouveau. Les morts se succèdent mais je n'en dirai pas plus, je ne veux pas gâcher le plaisir de la lecture.

Mon avis :

J’ai donc découvert que Fulcanelli a bien existé et aurait trouvé le secret de la vie éternelle.

Les romans cités ont également existé et Champagne et Canseliet sont des personnes bien réelles.

Fulcanelli aurait composé un troisième ouvrage, sous le titre Finis gloriae mundi, mais aurait décidé de ne pas le faire paraître, en retirant les notes à son disciple Canseliet. Le titre de l’ouvrage fait référence au tableau de Juan de Valdes Léal.

J’ai cru comprendre que des feuillets retraçant ce troisième livre serait réapparu en 1988 puis un autre texte en 1999.

L'écriture est simple et efficace et le roman très étayé, parfois un peu trop mais je n'ai pas trouvé que c'était pesant.

La romance entre Lola et Ari, un peu mièvre à mon goût mais bon... ça passe quand même.

Le final était prévisible mais je n'en dirais pas plus.

J'ai émis quelques réserves mais il n'en demeure pas moins que j'ai lu ce livre d'une traite, que je ne me suis pas ennuyée une seule seconde à sa lecture. ( ça m'arrive avec certains romans)

Je me suis demandé si je n'avais pas lu le Mystère des cathédrales pendant mon adolescence...

D’ailleurs après l’avoir lu j’ai fait une razzia à ma BM et d’autres romans du même auteur feront donc prochainement l’objet de chroniques.

J'ai trouvé que c'était un bon moment de lecture et je vous conseille ce livre paru il y a déjà un petit moment, 2013 je crois.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique de ce jour est consacrée à François Baranger et son roman " l’effet domino"

C’est un livre pris parmi d’autres qui s’est revêlé être une bonne surprise .

L’auteur :

François baranger est né en 1970 et a débuté une carrière de graphiste pour des jeux vidéo, réalisé des courts métrages d’animation, puis a réalisé des bandes dessinées ainsi que des couvertures de romans pour la jeunesse.

Il a même travaillé sur Arthur et les minimoys.

Une carrière bien remplie qu’il a poursuivi avec un roman de science fiction « Dominium mundi » que je n’ai pas lu mais que j'aimerais  trouver puisqu’il est sorti en format poche Je vais justement dans la ville des livres à Redu, je vais peut être le trouver !!

Il a poursuivi sa carrière d’auteur avec un roman policier paru en 2017 et dont je vais maintenant vous parler dans cette chronique.

L’histoire :

Nous sommes au début du XX ème siècle, en 1907 pour être plus précise, et un homme proche de la quarantaine, un policier, fait le trajet Rennes /Paris afin de se rendre à la préfecture de police de Paris.

Il doit participer à la rédaction d’un obscur rapport sur le phénomène des « Apaches ». La chose l’étonne d’autant plus qu’il n’y a pas ce genre de délinquance à Rennes… Il est reçu par plusieurs personnes dont le préfet de police Lépine et il pense à un gag tant ses compétences sont éloignées de ce dont on lui parle alors.

Une fois seul avec M.Angrault, le secrétaire général, Lépine revient discrètement et là le ton change du tout au tout. Sa tache ne sera pas du tout de participer à un rapport mais il a la charge de mener en toute discrétion l’enquête sur un tueur appelé « domino » qui laisse un domino sur certaines de ses victimes. Lacinière a été choisi car c’est un policier qui a réussi des enquêtes criminelles délicates en employant des méthodes innovantes mais c'est aussi un solitaire dépourvu de famille et d’amis…

Lépine a joué la comédie en raison du manque de confiance envers M.Lharmand son directeur de cabinet. Il souhaite une totale discrétion sur la mission qu’il confie à Lacinière. C’est d’ailleurs un échec puisqu’un journaliste attendait le policier à la gare et lui avait indiqué qu’il connaissait le réel motif de sa venue..

Domino tue en effet les proches des policiers chargés de l’enquête et ce avec sauvagerie.

L’un des policiers a vu sa femme et ses enfants être assassinés. Le second n’avait pas de famille mais s’occupait d’un ami qui a été torturé avant d’être tué.

Autant dire que l’on ne se précipite pas pour se charger de cette enquête.

Lacinière se voit adjoindre deux jeunes enquêteurs : Thomas, jeune policier qui a la passion du métier et une jeune aristocrate fortunée, Albertine, dont le passé est douloureux.

Lacinière se méfie de ses assistants. En fait il se méfie de tout le monde !

Il fait équipe avec Paul Saint Esprit, le journaliste qu’il a croisé à son arrivée à Paris dans le but d’éviter les fuites en lui promettant l’exclusivité de l’enquête.

Paul s’avère être d’une aide précieuse malgré ses soucis familiaux dus à une femme de santé précaire et un enfant ayant des difficultés psychologiques.

Lacinière est persuadé que « Double six » le bagnard en fuite soupçonné d’être l’auteur de ces crimes est totalement innocent et il l’enrôle même dans son équipe.

Mon avis :

C’est un roman foisonnant se déroulant dans le Paris du début du XX ème siècle.

L’intrigue est bien construite et les personnages intéressants en raison, je suppose, de leurs zone d’ombre et de leurs failles.

A mi lecture j’avais deviné l’implication de l’un des personnages mais je n’en dirai pas plus, je dois dire que cela ne m’a pas gênée dans la poursuite de ma lecture.

Ce qui est dommage est de ne pas comprendre pourquoi l'assassin en est arrivé à de telles extrémités…

C’est un auteur de qualité et le roman est passionnant avec l’aspect historique très bien amené et qui n’est pas du tout pesant ou trop didactique. Le petit coté «  magique, ésotérique » apporte une petite note qui épice notre lecture.

J’ai aussi apprécié le rythme un peu lent de cette enquête hors norme sur ce que le détective appelle des crimes à «  répétitions »

A bientôt pour de nouvelles fiches de lecture.

Bonjour

Ma chronique du jour est celle consacrée à Gilles Bornais et le bûcher de Saint Enoch.

J’ai lu du même auteur «  Le diable de Glasgow » .

Le Bûcher de Saint Enoch est paru pour la première fois en 2005 et est sorti en poche.

Je l'ai emprunté à la BM.

L’histoire :

Joe Hackney est un ancien petit délinquant devenu policier et qui exerce désormais à Scotland Yard.

Il est petit, maigre et boite, toutefois il est intelligent et doué dans ce qu'il fait.

Il a été envoyé par Scotland Yard en Écosse et se trouve toujours à Glasgow où il se languit de sa vie à Londres.

Il souhaite y retourner au plus vite pour retrouver sa vie auprès de sa mère et de Millie.

Cette dernière vit désormais avec Don et travaille dans un bar appartenant à Lucas qui envisage surtout de la faire travailler comme prostituée dans son établissement.

Un meurtre assez insolite a lieu : une femme élégante, mariée à un capitaine, est retrouvée morte en haut d’un terril.

Il s’avère qu’elle était la maîtresse d’un mineur respecté qui est à la tête d’un syndicat de mineurs.

Puis nous avons à connaître de toutes une série de crimes :

- un incendie dans une église protestante, les victimes étant … des morts.

- un sabotage dans une fonderie,

- le déraillement d’un train…

- le sabotage du filin d’un monte charge permettant aux mineurs d’aller au fond de la mine…

L’enquête permet de savoir que les victimes dans l’église étaient des francs maçons relevant tous de la même loge, d’anciens chefs d’industrie tombés dans la misère.

Millie l’appelle à l’aide car elle a tué Lucas...

Mon avis :

J’ai bien aimé me plonger dans le glasgow du début du XX ème ou la fin du XIX …

Joe Hackney est un enquêteur atypique et, à ce titre, il est marquant.

J’avoue cependant ne pas avoir été emballée par ce roman malgré les aspects positifs que j’ai souligné ci dessus.

L’écriture ne gène, c’est heurté et j’ai même failli lâcher le livre mais c’est un avis tout personnel qui peut tout à fait ne pas être celui de tous.

Mais comme je le dis souvent, il ne s'agit là que d'une impression personnelle et d'autres lecteurs sont susceptibles d'y trouver leur bonheur.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour porte sur : le code télémaque de Jean luc Aubarbier.

Je ne connaissais pas l’auteur et c’est par hasard que j’ai lu ce livre.

L’auteur :

Jean Luc Aubarbier est né en 1955 à Sarlat, dans le Périgord noir.

Il est resté dans sa ville natale où il est devenu libraire.

Jean-Luc Aubarbier est également conférencier et chroniqueur littéraire. Passionné par la philosophie et l’histoire des religions, il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont La France des Templiers. Il a publié plusieurs romans, dont Les Démons de sœur Philomène et L’Honneur des Hautefort.

Je crois qu'il a écrit d'autres romans avec les mêmes héros que celui-ci.

L’histoire :

Pierre Cavaignac et sa compagne Marjolaine Caradec sont archéologues. Ils viennent d’achever un chantier de fouilles à Sarlat et se rendent aux USA pour effectuer des recherches sur les terres indiennes.

Dans la perspective de ce voyage, Marjolaine s’est faite conseiller un roman par Emile Hoffé, son ami libraire qui importe des romans anglo-saxons encore inédit en France. Il lui conseille en avant première un roman à énigmes le « Da Vinci Code » écrit par un auteur alors  inconnu : Dan Brown.

Le roman se déroule à la sortie de ce livre en 2003, bien avant le succès mondial qu’il a connu.

A l’aéroport de Washington, alors que le couple attend son vol pour Denver, Pierre et Marjolaine croisent Richard Tennant, qui les avait embauché plusieurs années auparavant pour effectuer des fouilles dans le Périgord. Richard avait d’ailleurs, à cette époque, été arrêté puis finalement relâché faute de preuve.

Voyant le roman qu’avait à la main Marjolaine, Richard offre à cette dernière « Anges et démons «  du même auteur ainsi qu’une rose rouge.

Il faut préciser que si Dan Brown a eu le succès que l’on connaît avec « Da Vinci Code », il avait écrit le premier volume mettant en scène son héros Robert Langdon, deux ans auparavant. Ce roman n’avait pas eu, semble-t-il, le même succès.

Pierre et Marjolaine s’installent à leur hôtel, et le lendemain découvrent qu’un homme y a été assassiné. Il s’agit de Richard et à ses cotés se trouve un exemplaire du livre Télémaque de Fénelon, le célébre auteur français du 17e siècle.

Alors qu’ils partent dans la réserve indienne avec leur guide, ils sont victimes d’une attaque du Ku Klux Klan.

Ils découvrent également qu’une confrérie veut s’emparer d’un document secret dissimulé par Fénelon . Ce document a été remis à Fénélon par Louis XIV. Un document qui pourrait changer la face du monde.

Le couple retourne en France afin de suivre le jeu de piste laissé tant par Fénelon que par son fidèle secrétaire d'origine écossaise, tout en étant poursuivi par les illuminatis.

Mon avis :

Que dire ?

Le point positif est que c’est un roman distrayant et bien écrit.

J’ai aimé la partie historique avec la vie de Fénelon dont j’ignorais presque tout sauf le fait qu’il ait été le professeur du petit fils de Louis XIV  et lui a enseigné le comportement éclairé d'un futur roi de France.

J’ai été amusée du lien avec Dan Brown !! Justement j’ai achevé mes lectures de cet auteur il y a peu de temps...

Mais, car il y a un mais, et même plusieurs :

- Pierre et Marjolaine manquent, à mon avis, d’épaisseur. Je ne me suis pas vraiment sentie concernée par leur devenir...

- nos deux héros trouvent toujours le soutien qu’il faut au moment où il faut, un peu trop simpliste...

- L’intrigue est carrément faiblarde et la fin paraît bien peu passionnante…

J’aurais aimé plus d’explications sur le lien entre le document émanant de Louis XIV et l’époque actuelle. Bref je suis mitigée.

Je précise que les critiques sont très élogieuses.

A bientôt

Bonjour,

« Tout le monde te haïra » est un roman de Alexis Aubenque qui débute une nouvelle série consacrée aux enquêtes de Tracy Bradshaw et Nimrod Russell.

Le roman a été publié en sa version en 2016, s’agissant de la version poche que j’ai emprunté à la BM. Il est suivi de deux autres romans : « Aurore de sang » et « Affaires de familles » Je ne les ai pas lus, pas encore.

L’auteur, né en 1970, a également écrit plusieurs romans se déroulant à River Falls et qui ont fait l’objet de fiche de lecture sur ce blog. Mais je me rends compte que je ne les ai pas tous lus, il faut dire que je n’avais pas été conquise.

Je n’ai pas lu sa série ‘Nuits noires à Seattle »

L’histoire :

Alice se rend en Alaska dans la ville de White Forest afin de retrouver sa demi-sœur, Laura, dont elle a fait la connaissance 4 mois auparavant au décès de leur mère commune.

Laura Barnes est une journaliste et est mariée à Lloyd Barnes, fils du maire de la ville.

Si au commissariat Alice Lewis se fait jeter dehors, elle fait, en sortant, la connaissance de Nimrod, un lieutenant de police démissionnaire devenu détective privé. Malgré ses moyens financiers limités, elle l’engage afin de l’aider à retrouver Laura.

Nimrod a du démissionner de la police à cause de l’ancien maire. En contactant le mari de Laura, Nimrod se fait à nouveau humilier, ce qu’il n’admet pas et décide d’aider Alice. Il lui propose de l’héberger et de travailler pour elle et, en contrepartie, Alice s’occupera du ménage, de la cuisine et du chien.

Tout le monde pense que Laura, qui a laissé des lettres écrites sans l'ombre d'un doute de sa main, est partie pour suivre un homme dont elle était amoureuse, sans doute le medecin qui a fait les autopsies des hommes retrouvés prisonniers dans la glace depuis un siècle.

L’ancienne collègue de Nimrod est chargée d’une enquête pour meurtre. M.Kruger a été  éventré et pendu par les pieds dans sa grange. Sa femme le décrit comme un homme droit et aimé de tous, un homme sans histoire.

En réalité M.Kruger avait une relation sado maso avec une jeune femme inuit, Akki Tikivik.

Akki est arrêtée mais le mandat est rapidement rapporté, Tracy soupçonne que son témoin dispose de relations haut placées.

Elle demande à Nimrod de surveiller Akki afin d'identifier celui ou celle qui fait pression.

Lors de la surveillance, Nimrod se fait agresser, son arme et son appareil photo ont été pris par l’agresseur. Toutefois Nimrod a eu le temps de mémoriser le numéro de la plaque d’immatriculation du véhicule utilisé par le visiteur de Akki.

Pendant que Nimrod gît dans la neige, Alice est surveillée par quelqu’un. Mais le chien de Nimrod veille et le mord.

L’agresseur tire sur Laïka sans tuer l’animal.

L’appel téléphonique d’Alice pour prévenir le détective de cette attaque lui sauve sans doute la vie, l'obligeant à reprendre conscience.

Nimrod découvre que l’agresseur d’Alice est Zachary, le petit fils du maire et le fils de Laura.

Tracy poursuit ses investigations au domicile du propriétaire du véhicule dont Nimrod a repéré la plaque d’immatriculation. Elle est atteinte par une balle dans l’abdomen mais le tireur arrive à fuir. Dans le coffre de son véhicule, on trouve le corps de Akki.

Nimrod est arrêté pour meurtre.

Son avocat n’est autre que Seth, son père qui le maltraitait étant enfant. Ce dernier lui conseille d'arrêter toute enquête car sinon sa vie serait en péril.

Pendant que cette intrigue se déroule, on découvre le quotidien de jeunes enfants plongés dans l’enfer de la mine et on ne peut que faire le parallèle avec les enfants disparus du bateau qui a sombré à proximité en 1920 et qui avait à son bord une centaine de jeunes enfants russes. Justement Laura, avant sa disparition enquêtait sur ce bateau...

Mon avis :

Un début prometteur et une intrigue prenante même si l’incompétence du shérif de White Forest est assez frappante mais, bon sinon il n’y aurait pas de roman.

Les personnages sont bien campés avec :

Nimrod, l’ancien enfant martyrisé par Seth ( quid de sa mère) , devenu lieutenant de police mais obligé de démissionner après avoir sauvé une enfant victime de son père,

Tracy qui mène de front carrière professionnelle et vie familiale mais aidé par un mari qui pratique le télétravail, ça c’est bien utile hi hi !!

L’écriture est agréable.

Petit coup de gueule : j’en ai un peu assez de ces romans qui alternent, comme c’est la mode en ce moment, de minuscules chapitres  pour apporter de la vivacité à un roman.

A la longue, je trouve cette pratique fatigante à lire et surtout très artificielle…

L’intrigue est décoiffante mais là je vous laisse le plaisir de la lecture.

Mon premier réflexe a été de penser que c’était totalement invraisemblable mais avec tout ce qui se passe, je me dis pourquoi pas !!

Le coup de génie est de nous laisser penser que la vie de Vassily est celle qu’a vécu un des enfants russes du bateau…

Au final c’est un excellent roman d’un auteur que je n’ai pourtant pas toujours apprécié et qui me semble avoir énormément progressé.

A bientôt

Bonjour,

Mémoires effacées est un roman de Frédéric d’Onaglia, un auteur que je ne connaissais pas du tout et qui a écrit plusieurs autres ouvrages.

L’auteur :

Il est né à Lyon en 1969.

Après avoir travaillé une dizaine d’années dans l’entreprise familiale de chaussure, il se lance dans l’écriture et s’installe en Provence.

Le présent roman est paru en 2018 selon Wiki mais mon exemplaire, enfin celui de la BM indique 2019…

L’histoire :

Le capitaine Leo Sarlat de la gendarmerie est mis à pied suite à une opération policière qui a mal tournée et dont on lui impute la responsabilité. Son adjoint a été tué dans l’intervention et lui gravement blessé.

Léo n’a aucun souvenir lui permettant de se défendre.

Dans un premier temps il a navigué avec son voilier, histoire de faire un break puis est revenu en Camargue afin de faire la paix avec son père, à qui il reproche de les avoir abandonnés vingt ans auparavant.

Sa venue coïncide avec la découverte d’un corps dans les filets du capitaine «La Massue », un marin peu agréable qui pêchait ( braconnait en réalité) dans des eaux protégées.

C’est Iris, qui dirige la brigade fluviale qui a la charge de l’enquête. Lors des premières constatations, elle aperçoit, dans le public, son ancien chef, en compagnie de son père. Elle demande à Léo de l’aider dans la mesure où ce dernier était considéré comme doué d’une intuition sortant de l’ordinaire, don qui lui a valu d’ailleurs pas mal d’inimitié au sein des forces de l’ordre.

La victime semble avoir dans les 35 ans et est resté plusieurs jours dans l’eau.

Leo accepte de rester et son père l’héberge. Ce dernier lui confie être sur un « gros coup » et soupçonne le capitaine Massue d’être à la recherche des mêmes vestiges.

La victime est identifiée grâce à Léo. Il s’agit de Loop, un ancien champion de kitesurf qui a eu son heure de gloire mais était tombé dans la drogue avant de tout perdre et commencer à dealer. Après une cure de désintox, il était devenu clean et donnait des cours. Il avait cependant eu une violente dispute avec La Massue qui devient le suspect numéro 1 du meurtre et est incarcéré, l’affaire est close.

Un autre corps est découvert sur la plage par le père de Léo. Il s’agit d’un homme portant une cicatrice au visage.

Lui et Loop ont le même tatouage en forme de omega.

Le corps a en réalité été découvert par un homme déficient mental que protège Jeff et qui est en réalité son fils cadet.

Iris et Leo se rapprochent sur le plan sentimental et partagent des vacances en commun avec leur enfant respectif.

Mon avis :

L’histoire démarre bien, le livre se laisse lire. Il mêle intrigue policière, intrigue amoureuse et archéologie.

Mais à mon avis, le roman manque de corps, les personnages sont bof bof.

On ne croit pas une seule seconde au fait que Leo n’ait pas su comment s’était déroulé l’opération ayant aboutie à la mort de son second et au fait que la hiérarchie lui ait caché la réalité, je n’en dit pas plus pour ne pas déflorer une partie de l’intrigue mais cet aspect des choses est absurde. Ne serait-ce que parce qu’étant victime, Leo avait accès au dossier via son avocat.

Je trouve que les différents aspects de l’enquête sont décousus, que cela manque de corps et de liant. On ne sait pas grand chose de la personnalité des différents protagonistes.

Maintenant, comme je le répète souvent, perso je ne saurais pas faire hi hi!!

A bientôt

Bonjour,

Alec Covin et «  Les loups de Fenryder »

L’auteur :

Alec Covin est né en 1970 et a fait des études de littérature et cinéma l’amenant à travailler dans le domaine de l’airt contemporain.

Apparemment c'est un auteur français qui a fait ses études à la Sorbonne.

Ce roman est paru en France en 2005.

J'ai trouvé sur le net une interview de l'auteur :

Plume Libre

La littérature sous toutes ses formes. De l'éclectisme sans élitisme.

http://plume-libre.com

Il a écrit plusieurs autres romans, reste à les trouver car les "Loups de Fenryder" est en réalité une trilogie.

L’histoire :

Johnny Baldwin, un ancien acteur de série à succès, a abandonné Hollywood en pleine gloire pour s’installer en Louisiane dans un domaine à restaurer. Il souhaite changer de vie afin de s’occuper de son épouse Laureen et de son fils Scott.

Le couple envisage d’ ouvrir un bed ans breakfast de luxe dans le domaine du «  Grand Magnolia » à Tusitala.

Dans ce domaine a eu lieu par le passé un drame épouvantable que Rose, la grand-mère de Stanley Holder, auteur de bestsellers horrifiques a raconté à ce dernier, alors âgé de 9 ans, confidence sans doute à l’origine de sa vocation d’écrivain.

En 1933 Rose et deux de ses amis ont voulu assister à une fête magnifique donnée par Henry McNeice pour les vingt ans de son fils Charlie au Grand Magnolia . Les ados voulaient admirer les voitures et les toilettes des personnes invitées, qui étaient alors les plus fortunées de Louisiane.

Alors qu’ils se tenaient cachés à l’abri des véhicules, ils ont assisté à l’embrasement du domaine et à la mort de l’ensemble des personnes présentes à l’exception de Charlie McNeice, le fils du propriétaire des lieux. Ce dernier, selon Rose, a mystérieusement mis le feu par la seule force de sa volonté.

Rose lui a indiqué que la belle amitié des trois copains avait disparu cette nuit là, terrassée par leur peur. L’un des garçons était le médecin de la ville, le docteur Jarrett et l’autre était l’écrevisse.

De nombreuses années plus tard, Stanley Holder fait état de cette anecdote lors d’une interview.

Peu de temps après sa fille de 15 ans est assassinée avec son amie Alice, sous les yeux de Stanley, par Dorothy Fielding, une fan qui l’avait agressé par le passé… seul problème, Dorothy Fielding est décédée ainsi que l’établit l’analyse ADN de son corps.

Johnny Baldwin et sa petite famille se sont installés au Grand Magnolia et ont entrepris les travaux de restauration.

Alors qu’il se trouve dans le parc, Scott fait la connaissance d’un mystérieux enfant qui lui demande de ne pas prendre son cours de natation le lendemain car il est en danger.

Scott va cependant à la piscine mais sa mère lui donne une dispense de cours. Entrainé par un camarade, Scott tombe dans l’eau et c’est la carnage…

Plusieurs enfants meurent ou sont blessés alors que le maître nageur est paralysé par la peur à la vue de l’aileron d’un requin… mais il n’y a pas de requin et le pauvre homme se suicide.

Pour Stanley ces événements sont dus à une société secréte les loups de Fenryder, fondée par le géréral du même nom et dont Rose avait entendu le nom en 1933. L’auteur utilise les peurs enfouies au plus profond de ses victimes pour provoquer leur mort.

L’ancien médecin de la ville, Norman Jarrett, est également persuadé qu’il s’agit des loups de Fenryder. Il complète l’histoire racontée par Rose en lui confiant ses propres souvenirs et le nom du troisième larron.

Mon avis :

J’ai trouvé que le roman était tout à fait palpitant et très noir, l'histoire étant  jalonnée de nombreux morts.

J’ai trouvé dommage de ne pas savoir ce que devient Laureen et peut être Scott car celui qui raconte l’histoire ne dit peut être pas tout.

Justement à ce sujet, celui qui raconte, est Abel Walter et là j’ai été déçue de ne pas voir le lien avec les protagonistes. Je suis peut être passée au dessus de quelque chose.

Il y a deux ou trois choses qui m’ont laissées perplexes ou qui n’ont pas été totalement exploitées selon moi.

Mais une chose est sûre, j’ai passé un excellent moment de lecture, moi qui ne suis pas fan des thrillers horrifiques !!

A bientôt

Petit ajout et de taille.

En réalité ce roman est le premier d'une trilogie et mes critiques ne sont dès lors plus du tout fondées. Il faut absolument que je me procure les autres romans car l'auteur est vraiment excellent!!