fan de romans policiers

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Dario Correnti et «  La nostalgie du sang »

L’auteur :

… ou plutôt les auteurs car ce pseudo dissimule deux écrivains. Je ne peux vous en dire plus car leur identité est là aussi un mystère.

L’histoire :

Un journaliste aux affaires criminelles réputé mais au bord d’une retraite forcée, Marco Besana, se voit confier un reportage sur un meurtre particulièrement horrible : une jeune femme est assassinée et les enquêteurs suivent la piste satanique.

Une stagiaire journaliste dont le stage médiocre est sur le point de prendre fin, Ilaria Piatti, contacte Besana afin de l’informer que le meurtre a l’air de ressembler à un autre beaucoup plus ancien. Elle lui demande, avant de se faire raccrocher au nez si on a retrouvé sur les lieux des épingles et si la victime a de la terre dans la bouche.

Il faut dire que cette jeune stagiaire n’est guère appréciée : maladroite, mal fagotée, les quolibets pleuvent sur elle dés qu’elle a le dos tourné.

Découvrant pas son ex-beau frère Giorgio qui est policier, que des épingles étaient sur les lieux de la mort de la victime , Besana fait appel à Ilaria et tous deux se mettent à enquêter.

Il pourrait s’agir d’un imitateur du premier tueur en série italien, Vincenzo Verzeni, qui a sévi dans la région au milieu du 19 ème siècle et qui a été étudié par Lambroso le célébré criminaliste. Il se trouve qu’Ilaria a fait de Lambroso et Verzeni le sujet d’un travail universitaire.

D’autres meurtres ont lieux mais tous semblent avoir un point commun : les victimes seraient de mauvaises mères. 

Je ne veux pas vous en dire plus pour ne pas dévoiler une intrigue qui ne manque pas d’intérêt.

Mon avis :

Un duo d’enquêteurs assez étrange.

Il y a Besama est un journaliste passionné, qui a souvent fait de mauvais choix, notamment en ayant une liaison avec une stagiaire opportuniste, liaison qui a provoqué la faillite de son mariage. Il a toujours privilégié sa profession au détriment de sa famille, négligeant ainsi son fils.

Désormais il vit seul dans un appartement miteux et se néglige.

La retraite lui fait peur.

Ilaria est une jeune fille marginalisée, ayant peu de contacts humains car elle n’est pas jolie et élégante comme les autres étudiantes en journalisme et elle se fait ridiculiser et moquer par les autres. Elle a également un passé douloureux sur lequel je ne vais pas m’étendre afin de laisser le plaisir de la lecture.

Besama se méfie car il ne veut pas que l’on puisse imaginer qu’il se «  fait » toutes les stagiaires puisque ses soucis conjugaux ont justement pour origine ses relations avec Lizzie, une autre apprentie journaliste, qui s’est servie de lui pour entrer dans la carrière.

Basama et Ilaria ont un rapport presque « père/fille » ou encore « mentor/apprentie ». 

« Apprentie », d’autant que Besama détecte chez Ilaria des capacités hors normes et veut lui donner toutes les ficelles du métier.

L’écriture est agréable et le suspens prenant.

Nos deux enquêteurs ne lâchent rien et finissent pas découvrir l’auteur des faits mais il reste à trouver des preuves déterminantes, d’autant que l’ADN est contre eux !!!

J’ai adoré ce roman qui est d’une grande qualité.

C’est un excellent moment de lecture et moi aussi je n’ai rien lâché.

J’espère juste que ce duo d’écrivains va vite nous sortir une autre intrigue avec les mêmes enquêteurs.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour porte sur Arthur C. Clarke et notamment son roman " Le marteau de Dieu" paru en 1993.

Je ne suis pas une experte en matière de romans de science fiction. Je mets un peu de tout dans cette catégorie et je prie les puristes d'excuser les libertés que je prends dans ce domaine.

J'avais déjà lu dans ma jeunesse des romans de ce grand auteur dont, je crois, la série Rama. Mais j'avoue humblement que je ne m'en souviens pas du tout!!

Je n'exclus pas d'emprunter également ces livres.

L'auteur :

Il est né en 1917 et décède en 2008. Il a été militaire dans la RAF lors de la seconde guerre mondiale mais avait commencé à écrire dès cette époque. Il a fait des études dans le domaine des radars et a participé à l'installation de ceux-ci lors de la guerre.

Son roman, "2001, l'odyssée de l'espace"  a été porté à l'écran par Stanley Kubrick et trouve son origine dans une nouvelle " La sentinelle" que Clarke a transformé en roman.

Il est, en outre,  à l'origine du concept de satellite géostationnaire.

Il a été anobli en 1998.

Sa fin de vie s'est déroulée au Skri Lanka où il s'était installé en 1956.

L'histoire :

Un astéroïde gris que l'on a baptisé Kali est sur le point d'entrer en collision avec la terre. Son point de chute serait l'océan mais le choc engendrerait une vague d'un km de hauteur et son pouvoir destructeur serait considérable.

Kali est un petit astéroïde découvert presque par hasard par un amateur scrutant le ciel.

Un vaisseau spacial " Goliath" commandé par Robert Singh est envoyé sur place afin de modifier légèrement sa trajectoire.

Plusieurs siècles auparavant un programme nommé Atlas avait en effet vu le jour  envisageant cette hypothèse.

Il s'agit donc de monter Atlas et l'installer sur Kali. Par une poussée quotidienne constante mais limitée à une période précise de la " journée", Atlas devrait permettre à Kali de modifier très légérement sa trajectoire et ainsi éviter la terre. Le temps est en outre compté car Kali arrive rapidement.

Mais il se trouve qu'Atlas est saboté et c'est Goliath qui exercera cette poussée afin de sauver le monde. C'est David, l'ordinateur de bord qui a eu cette idée alors que la panique gagnait tout le monde.

Mon avis :

Ce roman est agréable à lire, bien écrit.

J'ai été ébouriffée par la description de la nouvelle religion, le  chrislamisme et le fait que les soldats de la guerre du golfe seraient revenus au pays complétement séduits par l'Islam!

Le roman est assez court mais il m'a bien plu.

C'est peut être plus un roman pour les ados me semble-t-il mais j'ai été assez séduite par sa simplicité.

Le marathon sur la lune m'a rappelé un autre roman mais lequel? ou une série? Je ne sais plus

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour porte sur le roman " Noir Corbeau" écrit par Joël Rose.

J'ai emprunté ce roman en même temps que deux livres écrits par Ian Sansom.

N'ayant pas encore eu le courage de lire le second volume de Ian Sansom, j'ai entamé la lecture de celui-ci dont le résumé me paraissait alléchant.

L'auteur :

Joël Rose est né en 1948.

Il a écrit en 1988  " Mort aux pauvres" roman dans lequel il décrit la société américaine puis il fait paraître en 1997 " A fleur de peau".

Le présent roman a été publié en France en 2007. Il rédige finalement un roman tous les dix ans.

Il a également écrit trois romans graphiques ( bande desinée longue et sérieuse ) et un scénario.

L'histoire :

Le chef de la police de NY, le vieux Hays,  est intéressé  par la disparition puis le meurtre d'une jeune femme Mary Rogers, trouvée flottant dans le fleuve.

Il avait eu l'occasion de la rencontrer chez son beau-père Anderson qui vend du tabac à la bonne société.

La victime était fort jolie et avait de nombreux soupirants dont apparemment son beau-père.

La mort de la jeune femme n'est pas élucidée mais elle hante le vieux Hays.

Ce dernier est également chargé de l'assassinat par John Colt d'un imprimeur qui s'occupait  de l'impression de ses poèmes.

John Colt est de la famille Colt, dont l'un de ses frères a inventé la célèbre arme.

Le roman fait la peinture de l'époque mêlant Edgar Allan Poe aux différents protagonistes.

Mon avis :

Je n'ai pas de chance en ce moment dans mes choix de lecture. Au début j'étais plutôt agréablement surprise car le choix de l'époque était attrayant et le meurtre de la jeune femme intéressant.

Arrivée au tiers de ma lecture et les années passant ( le roman traverse plusieurs époques) j'ai déclaré forfait. Je n'en pouvais plus, mon rhume a peut être contribué aussi à cette désaffection...

C'est long, pas grand chose se passe même si l'époque ainsi décrite est intéressante cela n'a pas suffit à me persuader de continuer ma lecture... d'ailleurs j'ai fini par m'endormir sur le roman.

Que dire, sinon c'est à vous de vous faire votre opinion...

A bientôt

Bonjour,

La chronique du jour est consacrée à Ian Sansom et «  Le mystère des livres disparus »

J’ai pris ce livre à la BM avec du même auteur « le mystère du magicien disparu »

Avec une quatrième de couverture totalement dithyrambique j’étais certaine de passer deux bons moments de lecture.

L’auteur :

Je ne le connaissais pas et pourtant il a écrit de nombreux livres. Il est né en 1966 en Angleterre et a exercé en qualité de journaliste pour notamment The Gardian.

Ce livre fait parti d’une série «  Les enquêtes en bibliobus »

Ces livres sont traduits dans de nombreux pays et sont décrits comme un chef d’oeuvre d’humour.

L’histoire :

Israel Amstrong, 28/29 ans, est un jeune bibliothécaire passionné de lecture mais qui n’a jamais vraiment exercé son métier. Il a été employé dans une librairie de hard discount et a travaillé à droite et à gauche.

Un peu enrobé, pataud, binoclard et vêtu d'un pantalon en velours côtelé, Israel a un peu tout du loser.

Il finit par être embauché dans une petite ville d’Irlande, loin de sa copine Gloria qui, je crois, travaille dans un gros cabinet juridique et assumait l’essentiel de sa subsistance.

A son arrivée, Israel découvre que la bibliothèque vient de fermer et que son activité s’exercera à bord d’un vieux car de collection, selon Ted. En réalité il s’agit d’un antique véhicule rouillé.

Il commence par refuser puis se laisse convaincre par sa chef, Linda, de faire un essai.

Mais il découvre que les livres qui se trouvaient dans la bibliothèque ont tous disparus.

Mon avis :

Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins, je n’ai pas aimé du tout, je n’ai sans doute aucun humour…

Je me suis ennuyée dans cette histoire où finalement il ne se passe pas grand-chose.

Il y a certes des moments amusants et des quiproquos mais les habitants locaux sont présentés comme des personnes, comment dire, un peu brut de décoffrage.

On le loge même avec les poules dans une chambre vraiment pas terrible.. bref tout est comme ça et si on y ajoute des longueurs...

Finalement je ne peux pas dire que cela m'a vraiment amusé.

Beaucoup de lecteurs ont aimé… chacun ses goûts.

J’ai le second livre que j’ai emprunté à lire et j’avoue que j’hésite...

A bientôt

Bonjour

Ma chronique du jour est celle consacrée à Gilles Bornais et le bûcher de Saint Enoch.

J’ai lu du même auteur «  Le diable de Glasgow » .

Le Bûcher de Saint Enoch est paru pour la première fois en 2005 et est sorti en poche.

Je l'ai emprunté à la BM.

L’histoire :

Joe Hackney est un ancien petit délinquant devenu policier et qui exerce désormais à Scotland Yard.

Il est petit, maigre et boite, toutefois il est intelligent et doué dans ce qu'il fait.

Il a été envoyé par Scotland Yard en Écosse et se trouve toujours à Glasgow où il se languit de sa vie à Londres.

Il souhaite y retourner au plus vite pour retrouver sa vie auprès de sa mère et de Millie.

Cette dernière vit désormais avec Don et travaille dans un bar appartenant à Lucas qui envisage surtout de la faire travailler comme prostituée dans son établissement.

Un meurtre assez insolite a lieu : une femme élégante, mariée à un capitaine, est retrouvée morte en haut d’un terril.

Il s’avère qu’elle était la maîtresse d’un mineur respecté qui est à la tête d’un syndicat de mineurs.

Puis nous avons à connaître de toutes une série de crimes :

- un incendie dans une église protestante, les victimes étant … des morts.

- un sabotage dans une fonderie,

- le déraillement d’un train…

- le sabotage du filin d’un monte charge permettant aux mineurs d’aller au fond de la mine…

L’enquête permet de savoir que les victimes dans l’église étaient des francs maçons relevant tous de la même loge, d’anciens chefs d’industrie tombés dans la misère.

Millie l’appelle à l’aide car elle a tué Lucas...

Mon avis :

J’ai bien aimé me plonger dans le glasgow du début du XX ème ou la fin du XIX …

Joe Hackney est un enquêteur atypique et, à ce titre, il est marquant.

J’avoue cependant ne pas avoir été emballée par ce roman malgré les aspects positifs que j’ai souligné ci dessus.

L’écriture ne gène, c’est heurté et j’ai même failli lâcher le livre mais c’est un avis tout personnel qui peut tout à fait ne pas être celui de tous.

Mais comme je le dis souvent, il ne s'agit là que d'une impression personnelle et d'autres lecteurs sont susceptibles d'y trouver leur bonheur.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour porte sur : le code télémaque de Jean luc Aubarbier.

Je ne connaissais pas l’auteur et c’est par hasard que j’ai lu ce livre.

L’auteur :

Jean Luc Aubarbier est né en 1955 à Sarlat, dans le Périgord noir.

Il est resté dans sa ville natale où il est devenu libraire.

Jean-Luc Aubarbier est également conférencier et chroniqueur littéraire. Passionné par la philosophie et l’histoire des religions, il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont La France des Templiers. Il a publié plusieurs romans, dont Les Démons de sœur Philomène et L’Honneur des Hautefort.

Je crois qu'il a écrit d'autres romans avec les mêmes héros que celui-ci.

L’histoire :

Pierre Cavaignac et sa compagne Marjolaine Caradec sont archéologues. Ils viennent d’achever un chantier de fouilles à Sarlat et se rendent aux USA pour effectuer des recherches sur les terres indiennes.

Dans la perspective de ce voyage, Marjolaine s’est faite conseiller un roman par Emile Hoffé, son ami libraire qui importe des romans anglo-saxons encore inédit en France. Il lui conseille en avant première un roman à énigmes le « Da Vinci Code » écrit par un auteur alors  inconnu : Dan Brown.

Le roman se déroule à la sortie de ce livre en 2003, bien avant le succès mondial qu’il a connu.

A l’aéroport de Washington, alors que le couple attend son vol pour Denver, Pierre et Marjolaine croisent Richard Tennant, qui les avait embauché plusieurs années auparavant pour effectuer des fouilles dans le Périgord. Richard avait d’ailleurs, à cette époque, été arrêté puis finalement relâché faute de preuve.

Voyant le roman qu’avait à la main Marjolaine, Richard offre à cette dernière « Anges et démons «  du même auteur ainsi qu’une rose rouge.

Il faut préciser que si Dan Brown a eu le succès que l’on connaît avec « Da Vinci Code », il avait écrit le premier volume mettant en scène son héros Robert Langdon, deux ans auparavant. Ce roman n’avait pas eu, semble-t-il, le même succès.

Pierre et Marjolaine s’installent à leur hôtel, et le lendemain découvrent qu’un homme y a été assassiné. Il s’agit de Richard et à ses cotés se trouve un exemplaire du livre Télémaque de Fénelon, le célébre auteur français du 17e siècle.

Alors qu’ils partent dans la réserve indienne avec leur guide, ils sont victimes d’une attaque du Ku Klux Klan.

Ils découvrent également qu’une confrérie veut s’emparer d’un document secret dissimulé par Fénelon . Ce document a été remis à Fénélon par Louis XIV. Un document qui pourrait changer la face du monde.

Le couple retourne en France afin de suivre le jeu de piste laissé tant par Fénelon que par son fidèle secrétaire d'origine écossaise, tout en étant poursuivi par les illuminatis.

Mon avis :

Que dire ?

Le point positif est que c’est un roman distrayant et bien écrit.

J’ai aimé la partie historique avec la vie de Fénelon dont j’ignorais presque tout sauf le fait qu’il ait été le professeur du petit fils de Louis XIV  et lui a enseigné le comportement éclairé d'un futur roi de France.

J’ai été amusée du lien avec Dan Brown !! Justement j’ai achevé mes lectures de cet auteur il y a peu de temps...

Mais, car il y a un mais, et même plusieurs :

- Pierre et Marjolaine manquent, à mon avis, d’épaisseur. Je ne me suis pas vraiment sentie concernée par leur devenir...

- nos deux héros trouvent toujours le soutien qu’il faut au moment où il faut, un peu trop simpliste...

- L’intrigue est carrément faiblarde et la fin paraît bien peu passionnante…

J’aurais aimé plus d’explications sur le lien entre le document émanant de Louis XIV et l’époque actuelle. Bref je suis mitigée.

Je précise que les critiques sont très élogieuses.

A bientôt

Bonjour,

Ma rubrique du jour est consacrée à Alex Barclay et «  Darkhouse »

L’auteur :

En réalité cet auteur est Eve Barclay et il s’agit d’un auteur irlandais née en 1974.

Elle a fait des études de journalisme et a exercé dans la mode.

Darkhouse est son premier roman paru en 2005 et traduit en français en 2006.

Un autre roman mettant en scène son héros Joe Lucchesi est Last Call, paru en 2007.

L’histoire :

Joe Lucchesi, inspecteur à la criminelle de New York, participe à une filature organisée dans le cadre de l’enlèvement d’un enfant.

L’enfant est rendu mais porteur d’une bombe. La bombe explose tuant l’enfant mais aussi sa mère. Joe poursuit l’auteur de l’enlèvement, Donnie, qu’il tue.

Un homme qui purge une peine de prison, Mark, est bouleversé par la mort de Donnie qui était un ami d’enfance dont il était amoureux.

L’affaire a également laissé des traces chez Joe et ce dernier accepte de suivre son épouse en Irlande.

Anna, d’origine française, est décoratrice. Elle propose à un célèbre magazine américain de faire une série de reportages sur la rénovation d’un phare dans un village qu’elle avait adoré lors d’un séjour plusieurs années auparavant.

La famille comportant Joe, Anna mais aussi leur fils Shaun, âgé de 16 ans. Ce dernier est furieux de s’installer dans ce qu’il considère comme un coin perdu jusqu’à ce qu’il rencontre sa petite Katie.

Malheureusement Katie disparaît après être sortie avec Shaun. Une dispute oppose le jeune couple et Katie revient seule chez elle. Sur la route, elle croise celle d’un tueur. Son corps n’est retrouvé qu’un mois plus tard et tout semble accuser Shaun.

Le village se retourne contre la famille Lucchesi accusée de protéger un tueur d'autant qu'un des policiers joue un drôle de jeu....

De plus Joe et Anna ont des difficultés de couple, Anna dépasse le budget qui lui est alloué et puise dans les finances du couple au grand dam de Joe. Joe apprend, par une indiscrétion, que son épouse l’a trompé juste avant leur mariage et cette nouvelle le bouleverse d’autant plus que l’heureux élu de l’époque le nargue et qu’il semble être une véritable épave...

Mon avis :

J’ai trouvé que j’avais eu la main heureuse car c’est un excellent roman policier.

L’intrigue est passionnante et le suspens est maintenu de bout en bout.

J’ai hâte de trouver le roman suivant du même auteur.

Pour en revenir à Darkhouse, le roman suit en parallèle la période actuelle et les péripéties de la famille Lucchesi ainsi que l’histoire d’un enfant abusé très jeune, à de nombreuses reprises et devenu un monstre.

Le seul bémol est que l'on passe parfois sans vraiment de délimitation d'une période à l'autre et c'est parfois dur à suivre. De plus il y a quand même pas mal de personnages donc il est délicat de s'y retrouver mais c'est, me semble-t-il un pêché de jeunesse!!

C'est quand même un livre que j’ai beaucoup aimé.

A bientôt

Bonjour,

J'ai poursuivi ma lecture des romans de Dan Brown avec "Origine" publié en 2017 me semble-t-il.

L'histoire :

Un ancien élève de Robert Langton, Edmond Kirsch, est devenu un geek extrêmement doué et aussi un jeune milliardaire.

Il organise une présentation hors norme au musée Gugenheim de Bilbao afin de dévoiler une information étonnante sur l'origine de l'homme.

Pendant sa présentation il est assassiné par un amiral espagnol qui s'enfuit à bord d'un véhicule Uber.

Mon avis :

Je me suis carrément ennuyée à la lecture de ce roman.

On retrouve les énigmes, la ravissante jeune femme qui aide Robert Langdon et est au surplus la fiancée du prince héritier d'Espagne.

Il y a aussi l'ami milliardaire...

Le début laisse penser que ce sera pas mal mais assez rapidement le verbiage incessant des protagonistes m'a lassée, j'ai résisté les 300 premières pages et j'ai cédé à la facilité en adoptant une lecture en diagonale avec une fin...que je ne dévoilerai pas, mais que j'ai trouvé quelconque.

C'est un avis tout personnel : passez votre chemin hi hi mais libre à vous de vous laissez tenter, après tout : tous les goûts sont dans la nature

A bientôt

Bonjour,

Une nouvelle chronique consacrée à Skeleton Road, un roman de Val Mac Dermid.

J'avais adoré les romans de cet auteur mettant en scène Tony Hill, sans parler de la série ...

L’histoire :

Fraser Jardine, qui travaille dans une entreprise de travaux public, est affligé de ce que l’on pourrait penser être une tare pour un tel métier : le vertige.

Toutefois il fait sous boulot depuis six ans en évitant tous les travaux en hauteur mais ce jour là cela n’a pas été possible. ( j'ai trouvé ces passages très drôles)

Et il lui a fallu grimper tout en haut d’un immeuble, un ancien établissement scolaire, pour y inspecter la toiture et les clochetons l’agrémentant. L’immeuble est abandonné depuis plusieurs années et son état laisse à désirer : humidité et fissures s’en donnent à coeur joie.

Dans l’un des clochetons accessible par l’extérieur il découvre un squelette dont le crane porte un trou au dessus du sourcil droit.

L’affaire est confiée au commissaire Karen Pirie qui est en charge de l'Unité des Affaires historiques en Écosse.

L’autopsie permet de déterminer que la victime portait la marque de travaux dentaires effectués à l’est ou peut être en Bosnie.

Le professeur Maggie Blake, qui a écrit plusieurs livres sur la guerre en Bosnie, est l’héroïne d’une fête surprise pour ses 50 ans, sa meilleur amie, Tessa, avec laquelle elle a eu une brève liaison en a été l’instigatrice.

Cette fête qu’elle ne souhaitait pas avoir, fait remonter des souvenirs déprimants de sa vie avec Mitja, qui l’a quittée plusieurs année auparavant et qu’elle n’a pas cessé d’aimer.

Elle l’a connu lors de ses séjours en qualité d’enseignante en Bosnie.

Par ailleurs au Tribunal international il y a du rififi car plusieurs personnes devant y être jugées sont assassinées peu avant leur comparution.

Théo Proctor et son accolyte sont mis en demeure par leur nouveau directeur , Wilson Cagney, de trouver la taupe qui doit obligatoirement sévir dans leur service. Pour cela Proctor contacte Tessa afin de savoir où se trouve Mitja qui a témoigné dans leurs dossiers et a disparu.

Mitja était furieux de voir les auteurs de faits graves échapper au Tribunal International et Tessa pense qu’il les exécute.

Mon avis :

J’avais trouvé que ce squelette trouvé sur un toit était un début prometteur.

Mais je n’ai pas accroché.

Je ne sais pas pourquoi. Peut être le Kosovo, la Bosnie me sont apparus comme étant lointains, alors que ces pays sont proches de l’italie… Les soucis du tribunal international ne m’ont pas fait flasher.

Maggie ne m’a pas interessée, bref j’ai eu un mal fou à poursuivre ma lecture.

J’ai arrêté et j’ai lu un autre roman entre le chapitre 12 et le chapitre 13. J’ai repris car j’avais souvent aimé les romans de Val Mc Dermid mais j’ai totalement abandonné deux chapitre plus loin.

Par curiosité j’ai regardé sur le net et il me semble juste de préciser que les critiques de ce roman sont très bonnes.

A bientôt

Bonjour,

Je suis ravie car j’ai trouvé à ma BM le volume 5 qui est «  une tâche pour l’éternité »

Je complète donc ma série consacrée à Dave Robicheaux, surnommé «  belle mèche » avec ce roman qui fait suite à «  une saison pour la peur » et «  A Morning for Flamingos » dans sa version originale qui date de 1990.

Du coup mes chroniques ne sont plus dans l'ordre de publication, cela m'agace!!

Le présent roman date de 1992.

L’histoire :

Dave Robicheaux a repris du service au sein de la police du shérif d’Ibéria dans le roman précédent et il a retrouvé son premier amour Bootsie, veuve d’un caïd de la pègre.

Il est soucieux car sa femme souffre d’un lupus difficile à stabiliser et, qui plus est, une forme grave. Il n’y a aucune traitement de cette pathologie.

La femme de Weldon Sonnier, un ami d’enfance de Dave, signale à la police locale qu’une balle a failli tuer son mari. Dave va sur place mais Weldon se montre très vague sur l’agression et les raisons possibles de celles-ci.

Alors que Dave se trouve chez lui au repos et qu’une tempête menace, le répartiteur l’appelle et lui indiquant avoir sans doute fait une bêtise. Il a envoyé un nouveau policier au domicile de Weldon Sonnier car un rôdeur était signalé. Le policier est injoignable.

Dave se rend sur les lieux pour la seconde fois et constate que la maison est dévastée mais surtout que son collègue est mort. Il est sur le point de subir le même sort mais deux policiers arrivent en renfort.

Mon avis

J'ai moins apprécié ce roman même si le bayou et les magnifiques descriptions de l'auteur sont toujours aussi prenantes.

La famille Weldon cache de lourds secrets que Dave parviendra à percer.

A bientôt