Bonjour,
juste un petit post pour vous dire que j'ai lu les différents romans de Arni Thorarinsson, quel bonheur...
J'ai embrayé avec le livre de Michel Onfray " Foutriquet" qui est drôle et assez percutant, même s'il est parfois un peu brouillon. Je ne lis pas que des romans policiers!!
Je vais revenir bientôt hi hi!!
Bonjour,
Je n'ai pas publié de posts ces derniers temps car je suis en train de relire les romans de Arni Thorarinsson. J'ai commencé avec le Temps de la sorcière et Le dresseur d'insecte. En le relisant je me disais que c'est vraiment bon. Ces livres ont déja été abordés il y a deux ou trois ans.
Le temps de la sorcière ici :
Ma chronique du jour est consacrée à Ernest Dempsey et à son roman « Le mystère des templiers ».
L’histoire :
Les templiers sont en train d’être pourchassés par le roi de France Philippe le Bel lorsque Sébastien Le Marc reçoit pour mission de protéger leur trésor. Sébastien est poursuivi par un membre des Assassins…
Sean Wyatt qui fait parti d’une agence archéologique mais a été formé aux opérations clandestines, est victime d’une tentative d’assassinat. Il retourne à Atlanta et se demande pourquoi cette tentative. Il a vu sur le poignet de ses agresseurs une marque mystérieuse.Tommy, qui dirige l’unité de recherche, fait le lien avec une tablette en argile que Sean et lui ont trouvé et que son unité composée d’Alex et Tara, tente de déchiffrer. Copie de la tablette a été envoyée à un vieil ami de Tommy, un savant nommé Wilkins. Seul ce dernier a pu avertir les Assassins. Il détenait un carnet ancien que Sean et Tommy vont dérober chez lui.
Mais les Assassins sont sur la piste des deux amis qui tentent de déchiffrer l’énigme et trouvent deux clefs de nature à se procurer l’Arche d’Alliance. Les assassins, dirigés par Alain, arrivent à les capturer.
Ils font pression sur le secrétaire général de la maison blanche pour se procurer un certain objet...
Mon avis :
Un roman d’aventure dans la plus pure tradition du genre. Il y a quelques morts( beaucoup), des héros invincibles ( ou presque) pas mal de coup de poing, une once de chance…
C’est une lecture agréable et un moment de détente.
A bientôt
Bonjour,
Ma chronique du jour est consacrée à Ava Strong et à son roman « Code meurtrier ».
L'auteur :
Je n'ai pas vraiment d'éléments sur cet auteur américain qui a écrit plusieurs séries " Stella fall" " Ilse Beck" et donc Remy Laurent dont dépend le livre présenté ce jour.
L'histoire :
Remy Laurent est professeur d'histoire à l'université de Georgetown.Elle est française et provisoirement dans cette université. Son visa expire dans neuf mois.
Elle semble ( le premier volume que je n'ai pas lu) avoir participé à arrêter un tueur en série. Un nouveau meurtre a lieu et l'agent du FBI, Daniel Walker, souhaite faire à nouveau appel à elle. La victime est Montgomery Dysn, un milliardaire venant de faire l'acquisition d'un tableau mystérieux, une allégorie de la mort, peint par Jacob Van der Veer. Le meurtrier s'est déguisé en moine portant une faux, comme la mort du tableau... Daniel Walker demande l'aide de Rémy. Un nouveau meurtre a lieu à Paris, puis un troisième en Italie. Ce périple met en péril la relation de Rémy avec Cyril, son supérieur qui voulait l'épouser. Par ailleurs Rémy souhaite devenir consultante du FBI...
Mon avis :
J'ai bien aimé ce roman qui est distrayant et agréable à lire. Cela m'a donné envie de lire le premier et la suite, encore faut il les trouver hi hi
Ma chronique du jour est consacrée à Robert Thorogood et à son roman « Les dames de Marlow, mort compte triple ».
L’histoire :
Judith Potts, 77 ans, se baigne dans la tamise chaque soir à la nuit tombée. Elle s’adonne à son activité favorite lorsqu’elle entend son voisin appeler sur l’autre rive puis un coup de feu. Elle appelle la police qui se borne à faire le tour de la maison. Le lendemain Judith va chez son voisin Stefan et découvre son corps dans l’eau du moulin, une balle au milieu du front.
Face à la relative incompétence de la police, elle décide d’enquêter de son coté.
Elle apprend que Stefan était un escroc qui avait escroqué le fils de son meilleur ami, Elliott.
Judith soupçonne Elliott mais ce dernier a un alibi, il était à la chorale. C’est ainsi qu’elle fait la connaissance de Becks, femme au foyer maniaque, mariée au vicaire de la petite commune de Marlow.
Un autre meurtre similaire au premier a lieu : un chauffeur de taxi qui a été volé par un notaire véreux. Ce dernier a également un alibi et la police patauge.
Mon avis :
Une intrigue à la Agatha Christie dont on devine la fin mais c’est amusant ...Bon ce n'est pas le polar que j'aime éperdument mais on passe un agréable moment de lecture. Il faisait beau et j'étais dans mon jardin, le livre était idéal pour passer un petit moment tout à soi.
A bientôt
« Tout le monde te haïra » est un roman de Alexis Aubenque qui débute une nouvelle série consacrée aux enquêtes de Tracy Bradshaw et Nimrod Russell.
Le roman a été publié en sa version grand format en 2015, et plus tard s’agissant de la version poche que j’ai emprunté à la BM. Il est suivi de deux autres romans : « Aurore de sang » et « Affaires de familles » Je ne les ai pas lus.
L'auteur :
L’auteur, né en 1970, a également écrit plusieurs romans se déroulant à River Falls et qui ont fait l’objet de fiches de lecture sur ce blog. Mais je me rends compte que je ne les ai pas tous lus, il faut dire que je n’avais pas été conquise.
Je n’ai pas lu sa série ‘Nuits noires à Seattle »
L’histoire :
Alice se rend en Alaska dans la ville de White Forest afin de retrouver sa demi-sœur dont elle a fait la connaissance 4 mois auparavant au décès de leur mère commune.
Laura Barnes est une journaliste et est mariée à Lloyd Barnes, fils du maire de la ville.
Si au commissariat Alice Lewis se fait jeter dehors, elle fait, en sortant, la connaissance de Nimrod, un lieutenant de police démissionnaire devenu détective privé. Malgré ses moyens financiers limités, elle l’engage afin de l’aider à retrouver Laura.
Nimrod a du démissionner de la police à cause de l’ancien maire. En contactant le mari de Laura,qui est le fils de l'ancien maire, Nimrod se fait à nouveau humilier, ce qu’il n’admet pas et il décide donc d’aider Alice. Il lui propose de l’héberger et de travailler pour elle, en contrepartie Alice s’occupera du ménage, de la cuisine et du chien.
Tout le monde pense que Laura, qui a laissé des lettres, est partie pour suivre un homme dont elle était amoureuse, sans doute le médecin qui a fait les autopsies des hommes retrouvés prisonniers dans la glace depuis un siècle.
L’ancienne collègue de Nimrod est chargée d’une enquête pour meurtre. M.Kruger a été totalement éventré et pendu par les pieds dans sa grange. Sa femme le décrit comme un homme droit et aimé de tous, un homme sans histoire.
En réalité M.Kruger avait une relation sado maso avec une jeune femme inuit, Akki Tikivik et le soir de sa mort il venait de la quitter.
Akki est arrêtée mais le mandat est rapporté, Tracy soupçonne que son témoin dispose de relations haut placée.
Elle demande à Nimrod de surveiller Akki.
Lors de la surveillance, Nimrod se fait agresser et son appareil photo est emporté par l’agresseur mais Nimrod a eu le temps de repérer le numéro de la plaque d’immatriculation du véhicule utilisé par le visiteur de Akki.
Pendant qu’il gît dans la neige, Alice est surveillée par quelqu’un. Mais le chien de Nimrod veille et le mord, l’agresseur tire sur Laïka sans tuer l’animal.
L’appel téléphonique d’Alice pour prévenir le détective de cette attaque lui sauve sans doute la vie vu le climat glacial de l’Alaska.
Nimrod découvre que l’agresseur d’Alice est Zachary, le petit fils du maire et le fils de Laura.
Tracy poursuit ses investigations au domicile du propriétaire du véhicule dont Nimrod a repéré la plaque d’immatriculation. Elle est atteinte par une balle dans l’abdomen mais le tireur arrive à fuir. Dans le coffre de son véhicule, on trouve le corps de Akki.
Nimrod est arrêté pour meurtre.
Son avocat n’est autre que Seth, son père qui le maltraitait étant enfant.
Pendant que cette intrigue se déroule, on découvre le quotidien de jeunes enfants plongés dans l’enfer de la mine et on ne peut que faire le parallèle avec les enfants disparus du bateau qui a sombré à proximité en 1920 et qui avait à son bord une centaine de jeunes enfants russes. Justement Laura, avant sa disparition enquêtait sur ce bateau.
Mon avis :
Un début prometteur et une intrigue prenante même si l’incompétence du shérif de White Forest est assez frappante mais, bon sinon il n’y aurait pas de roman.
Les personnages sont bien campés avec Nimrod, l’ancien enfant martyrisé, Tracy qui mène de front carrière professionnelle et vie familiale mais aidé par un mari qui pratique le télétravail, ça c’est bien utile hi hi !!
L’écriture est agréable.
Petit coup de gueule : j’en ai un peu assez de ces romans qui alternent, comme c’est la mode en ce moment, de petits chapitres ultra courts pour donner l’impression qu’il se passe plein de choses.
A la longue, je trouve cette pratique fatigante à lire et surtout très artificielle…
L’intrigue est décoiffante mais là je vous laisse le plaisir de la lecture.
Mon premier réflexe a été de penser que c’était totalement invraisemblable mais avec tout ce qui se passe, je me dis pourquoi pas !!
Le coup de génie est de nous laisser penser que la vie de Vassily est celle qu’à vécu un des enfants russes du bateau…
Au final c’est un excellent roman d’un auteur que je n’ai pourtant pas toujours apprécié et qui me semble avoir énormément progressé.
A bientôt
Ma chronique du jour est consacrée à Jean Christophe Grangé et à son roman « Le concile de pierre »
L’auteur :
Il est né en 1961, fait des études de lettres et devient rédacteur publicitaire.
Agé de 28 ans, il rencontre le photographe Pierre Perrin qui le forme au journalisme.
En 1989, cette collaboration commence par un reportage d’une année sur les derniers peuples nomades à travers le monde et se poursuit durant une dizaine d’années. Ensemble, Grangé et Perrin réalisent de nombreux reportages. Ils ont d’ailleurs reçu divers prix. C’est avec Rivières pourpres, son deuxième roman que Jean Christophe Grangé devient un auteur à succès.
L’histoire :
Diane Thiberge fait tout un périple vers la Thailande afin d’aller chercher un enfant de six ou sept ans. Elle a trente ans et n’a pas d’enfant.
Diane a vécu auprès de sa mère pour laquelle elle n’a eu que peu d’estime. A 14 ans elle a été violentée et pense que sa mère en a été responsable la laissant rentrer seule pour rejoindre un amant. Apparemment c’est ce soir là que Sybille a fait la connaissance de Charles, son beau-père.
Diane revient avec un enfant, Lucien, et elle est heureuse.
Elle va chez sa mère pour un repas mais son beau père tente de l’embrasser. Elle s’enfuit et a un accident. Dans sa panique elle a omis d’attacher l’enfant qui est grièvement blessé. De plus elle avait pas mal bu. Le chauffeur de poids lourd s’était endormi.
Pendant plusieurs jours l’enfant est entre la vie et la mort.
Un médecin anesthésiste allemand Rolf van Kaen lui propose d’essayer l’acupuncture. Lucien est alors en rémission.
Diane a des doutes sur l'accident, puis sur l'enfant dont le passé mystérieux va surgir. Mais selon le docteur Daguerre qui soigne Lucien il n’a jamais travaillé avec van Kaen contrairement à ce que celui-ci a dit puisqu'il lui a affirmé travailler dans le cadre d'un programme franco allemand.
Peu après ce dernier est retrouvé mort dans les cuisines de l'hôpital, son coeur a éclaté.
Mon avis :
Un roman mystérieux dont j'ai aimé le début puis j'avoue m'être sentie un peu larguée.De belles descriptions de paysages notamment des paysages mongols, sont plaisantes. C'est une sorte de puzzle que l'on découvre petit à petit avec une part de paranormal.Je suis mitigée....
A bientôt
Ma chronique du jour est consacrée à Peter James et à son roman, « Pour l’éternité »
L’auteur :
Peter James est né en 1948. Sa mère était gantière pour la reine d’Angleterre. Il a été scénariste aux USA.
Il écrit à partir de 1981 et a créé le personnage du commissaire Roy Grace.
Son premier ouvrage le mettant en scène, a reçu le prix Polar international 2006 du Salon de Cognac et le prix Cœur noir 2007. En 2016, il a reçu le prestigieux Diamond Dagger Award pour l’ensemble de son œuvre.
L’histoire :
Peter James explore ici le monde du « harcèlement ».
Red est une jeune femme qui a vécu des moments difficiles.
Amoureuse de Bryce, un homme très beau et riche, elle découvre qu’il est possessif et d’une jalousie maladive. De plus il entre dans des crises de violente colère. Elle finit par le quitter.
Sa mère s’est toujours inquiété de cette relation toxique, provoquant ainsi la haine de Bryce.
Red a changé de logement pour sa protection mais Bryce la retrouve et la met sous écoutes. Il faut dire qu'il a travaillé dans de nombreux domaines : surveillance, pompier, magie...
Red finit par rencontrer un jeune médecin, veuf depuis deux ans qui a deux jeunes enfants.
Bryce, jaloux, le kidnappe et le brûle après lui avoir fait rédiger une lettre de suicide.
Roy doute de ce suicide et fait analyser la lettre sous l'angle du cruciverbiste qu'était la victime.
Red est suivie par une psychologue mais Bryce qui a mis un mouchard sur son téléphone et écoute tout ce qu’elle dit.
Plusieurs incidents ont lieu dont l’incendie de son restau favori et celui de sa supérette. Puis la maison de ses parents flambe.
Mon avis :
Une enquête passionnante comme toujours. On suit avec plaisir la vie de Roy ( oui je sais les scènes Roy/Cleo sont un peu cucul) J'attends avec impatience de lire la suite...
A bientôt
Ma chronique du jour est consacrée à Cay Rademacher et à son roman « Le faussaire de Hambourg »
Je change un peu d'auteur avant de reprendre ma lecture de l'oeuvre de Peter James.
L’auteur :
Cay Rademacher est né en 1965. Il a étudié l’histoire anglo-américaine et la philosophie à Cologne et à Washington avant de devenir journaliste et écrivain. Il a écrit, entre autres, pour GEO et Die Zeit . Ses romans et autres documents sont publiés dans huit pays. Il a vécu à Hambourg avant de s’installer avec sa famille en Provence, région qui lui a inspiré sa série de polars provençale.
L’histoire :
On est en 1948.
Le roman débute avec l’agression violente de Frank Stave. Il reste 15 jours dans le coma. De retour au travail il demande à quitter la criminelle pour aller à l’Office de lutte contre le marché noir. On lui dit qu’il a tort et que c’est une voie de garage car le jour J arrive et l’Allemagne aura une nouvelle monnaie mettant fin aux trafic en tous genres.
Sa première affaire est étrange : des femmes en train de déblayer les ruines d’un immeuble de bureaux sont tombées sur des œuvres d’art datant de la République de Weimar et un cadavre.
Un cadavre, dont son collègue des Homicides, Dönnecke,n’a manifestement pas l’intention de découvrir l’identité. Il faut dire que ce dernier a un certain passé...
Stave échange une machine à écrire contre un vieux vélo. Ses relations avec son fils s’améliorent et Karl reprend ses études à la grande joie de son père.
Peu de temps après, le lieutenant MacDonald confie une autre enquête à Stave : de curieux billets de banque ont fait leur apparition au marché noir et posent problèmes aux anglais.
Edna est désormais divorcée et épouse MacDonald, d’autant que le couple a une petite fille. Ils doivent partir à la nouvelle affectation de MacDonald.
Stave renoue avec Anna qui se révèle déjà mariée...
Mon avis :
Apparemment c’est le dernier roman de Stave et pour lui les choses se présentent pas trop mal. J’ai vraiment beaucoup aimé et je me demande si je ne vais pas rechercher les œuvres provençales de cet auteur.
A bientôt
Ma chronique du jour est consacrée à Peter James et à son roman, « Que sonne l’heure »
L’auteur :
Peter James est né en 1948. Sa mère était gantière pour la reine d’Angleterre. Il a été scénariste aux USA.
Il écrit à partir de 1981 et a créé le personnage du commissaire Roy Grace.
Son premier ouvrage le mettant en scène, a reçu le prix Polar international 2006 du Salon de Cognac et le prix Cœur noir 2007. En 2016, il a reçu le prestigieux Diamond Dagger Award pour l’ensemble de son œuvre.
L’histoire :
Nous sommes aux USA en 1922 et un petit garçon assiste à la mort de sa mère et à l’enlèvement de son père… Sa tante l’emmène à Dublin et à l’embarquement on lui remet une montre et un mot comportant une suite de chiffres.
De nos jours, une vieille dame de 98 ans est agressée, volée et la montre est dérobée. La vieille dame meurt. Elle était la sœur de Gavin Dale le petit garçon de 1922 devenu un antiquaire renommé. Il est âgé de 95 ans et est tourmenté par le devenir de son père.
Tous les biens volés étaient assurés sauf la montre Patek de 1910.
Le père de Gavin était le bras droit d’un truand et Gavin pense qu’il a été tué dans une guerre de gangs. Le fils de Gavin, Lucas, est un bon à rien qui perd tout ce qu’il a eu jeu et dans la boisson. Pour couronner le tout il bat sa femme, une célébre présentatrice Tv.
Lucas se lance à la poursuite des voleurs, Gavin, lui, veut retrouver la montre, son seul souvenir de son père.
Amis Smallbone, le truand que Roy a mis à l’ombre veut se venger du policier. Il songe à mutiler le bébé et tuer Cleo. Pour cela il arrive à louer la maison mitoyenne de celle de Cléo…
De son coté, Sandy qui a un fils de Roy cherche à se venger de son mari. Attitude irrationnelle puisque c’est elle qui l’a quittté lorsqu’elle a fait un gros héritage. Elle pense acheter son ancienne maison que Roy met en vente...
Mon avis :
Une enquête passionnante qui recèle son lot de surprises tant au niveau de l’enquête que de la vie privée de Roy. les romans de Peter James sont de grande qualité et je suis fan.Ce sont des livres assez consistants et il me faut un peu de temps pour les lire hi hi!!
Je les avais lu en ordre dispersé il y a pas mal d'années et les relire ensemble et dans l'ordre apporte un autre regard sur cette oeuvre.
A bientôt
