Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à James Patterson et  à son  roman " Cible : Alex Cross "

L'auteur :

Selon Babelio, James Patterson est un écrivain américain né en 1947.

Il est diplômé de l'Université Vanderbilt. Il est publicitaire de formation.  En 1996, il démissionne de son emploi dans la publicité pour se consacrer entièrement à l'écriture. Il avait commencé à écrire deux décennies plus tôt, publiant son premier roman, "The Thomas Berryman Number"  qui a obtenu  le Prix Edgar Allan Poe en 1977.

En 1993, il accède pour la première fois à la liste des meilleures ventes de roman du "New York Times". Le personnage principal de ses romans est l'inspecteur Alex Cross qui apparaît pour le premier fois dans "Le Masque de l'araignée" en  1993. Le rôle fut interprété par Morgan Freeman dans les adaptations cinématographiques "Le Collectionneur" et "Le Masque de l'araignée" . Tyler Perry reprend le rôle en 2012 dans le film "Alex Cross".

Lindsay Boxer est son second personnage principal. Elle est l'héroïne des romans la mettant en scène avec son groupe, "Le Murder Club". J'ai apprécié modérément cette série de romans.

En 2015, il commence à collaborer sur une série de romans avec Candice Fox, dont le personnage principal est le détective Harriet Blue que je n'ai pas lu.

En août 2012, le magazine américain Forbes le classe comme "écrivain le mieux payé au monde" avec 94 millions de dollars de revenu annuel.


James Patterson vit à Palm Beach, en Floride, avec sa femme et son fils.

L'histoire :

La présidente des USA meurt brutalement. On assiste à son enterrement au début du roman.

Puis plusieurs morts de personnages politiques de premier plan ont lieu. Vice président, sénateur, ministres...

Alex Cross, qui a repris son activité de psychologue à temps partiel mais reste affecté au FBI, est chargé de mener l’enquête conjointement avec les services secrets et la police locale  dont Bree Stone, sa femme, fait partie.

On suit l'activité des tueurs à gage, qui, eux même se font tuer...

Mon avis :

 Dés qu'un Alex Cross paraît je me jette dessus d’où mon présent achat mais là j'ai été moyennement emballée. roman ne m'a beaucoup plu. J'ai même été perdue dans l'intrigue. Mais ce roman est à suivre, je dirais presque  hélas!! Car je risque de vouloir l'acheter!!

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à James Patterson et  à son  roman " Le jeu du furet "

Après avoir lu le roman " Cible : Alex Cross" j'ai eu envie de reprendre des romans plus anciens de James Patterson.

L'auteur :

Selon Babelio, James Patterson est un écrivain américain né en 1947.

Il est diplômé de l'Université Vanderbilt. Il est publicitaire de formation.  En 1996, il démissionne de son emploi dans la publicité pour se consacrer entièrement à l'écriture. Il avait commencé à écrire deux décennies plus tôt, publiant son premier roman, "The Thomas Berryman Number"  qui a obtenu  le Prix Edgar Allan Poe en 1977.

En 1993, il accède pour la première fois à la liste des meilleures ventes de roman du "New York Times". Le personnage principal de ses romans est l'inspecteur Alex Cross qui apparaît pour le premier fois dans "Le Masque de l'araignée" en  1993. Le rôle fut interprété par Morgan Freeman dans les adaptations cinématographiques "Le Collectionneur" et "Le Masque de l'araignée" . Tyler Perry reprend le rôle en 2012 dans le film "Alex Cross".

Lindsay Boxer est son second personnage principal. Elle est l'héroïne des romans la mettant en scène avec son groupe, "Le Murder Club". J'ai apprécié modérément cette série de romans.

En 2015, il commence à collaborer sur une série de romans avec Candice Fox, dont le personnage principal est le détective Harriet Blue que je n'ai pas lu.

En août 2012, le magazine américain Forbes le classe comme "écrivain le mieux payé au monde" avec 94 millions de dollars de revenu annuel.


James Patterson vit à Palm Beach, en Floride, avec sa femme et son fils.

L'histoire :

Des meurtres ont lieu dans un quartier populaire de Washington. Une des victimes est Nina Childs, une infirmière que connaît Alex Cross. Elle a été littéralement massacrée.

Les auteurs des meurtres sont quatre et ont tous travaillé pour le MI 6, le service de renseignements britannique. Ils s'appellent entre eux les 4 cavaliers.

Les victimes habitent dans des pays divers.

Alex Cross est dans le collimateur de son supérieur, le chef Pittman. Il est aidé pour faire tomber Cross par l'inspecteur Patsy Hampton, une jeune femme ambitieuse et sans scrupule.

Cross demande Christine en mariage. Toute la famille part en vacances aux Bermudes mais Christine disparaît... Cross est fou de douleur. Le temps passe et Cross n'a aucune piste. Patsy Hampson décide de filer un suspect mais elle est repérée et assassinée. Son assassin échappe à toute sanction.

Mon avis :

J'ai trouvé le roman un peu long, l'auteur s'attarde beaucoup sur l'état psychologique de Cross. On aimerait tous avoir une grand mère comme la sienne qui assume tout l'entretien de la maison et l'éducation des enfants malgré son grand âge. J'avoue que cela me fait sourire. La fin est un peu abrupt par contre. Finalement j'ai été un peu déçue...

A bientôt

Bonjour,

Bonjour,

Bonjour,

Bonjour,

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Molly Blake et  au roman "la septième femme : convoitée"

L'auteur :

Molly Black est l'auteure d'une  série de thrillers mettant en scène Maya Gray du FBI, la série  Rylie Wolf également du FBI, Taylord Sage et Katie Winter. Ces séries de bouquins me font un peu peur pour tout dire.

L'histoire :

 Maya Gray a vu sa sœur être enlevée par un psychopathe qui a , en tout enlevée douze femmes. Si Maya Gray résout une énigme en un laps de temps donné une femme est libérée sinon elle meurt.

 Celui qui a enlevé les femmes veut que Maya trouve le tueur en série car on lui a attribué la mort d'une femme, meurtre qu'il n'a pas commis. Maya a trois jours pour arrêter le meurtrier.

Une pierre précieuse est retrouvée sur la victime désignée par le tueur.

Elle découvre que la pierre est en réalité une pierre de lune et que d'autres femmes sur lesquelles ont été trouvées ces pierres ont donc  été victimes du même tueur. Un autre tueur en série se balade donc dans la ville...

Maya pense que le tueur s'attaque aux femmes voulant changer de vie. Elle est aidée par Rosie une vendeuse de pierres puis par un gourou.

Mon avis :

J'ai moyennement accroché à ce roman , en plus je prends l'intrigue en cours puisqu'il s'agit là du tome 7, ce qui n'a rien arrangé. Que dire? Après des romans de Jonathan Kellerman je trouve que l'intrigue manque de profondeur. Ce n'est pas horrible mais cela ne m'a pas trop plu...

Je vous laisse vous faire votre propre opinion.

A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à M.C.Beaton et à son roman « Le diable au corps ».

L'auteur :

Marion Chesney Gibbons est née en 1936. Son vrai nom est Marion McChesney et elle est écossaise.

Elle a commencé à travailler comme libraire. Le Scottish Daily Mail lui propose à la même période d'écrire des critiques de théâtre .

Après son mariage avec le grand-reporter Harry Scott Gibbons, en 1969, et la naissance de leur fils Charles, ils déménagent aux États-Unis pour la carrière de Harry. C'est là que Marion commence à écrire, se consacrant d'abord aux romances historiques, avant de s'intéresser à la littérature policière suite à un voyage dans le Sutherland qui lui inspirera le cadre des aventures de son héros Hamish Macbeth.

Le couple reviendra ensuite s'installer à nouveau en Grande-Bretagne puis s'installera dans les Cotswolds, où M.C.Beaton créera le personnage d'Agatha Raisin.

Elle est décédée en 2019, snif!!

L’histoire :

Agatha Raisin, accompagnée de Tony son assistante, va au mariage de Bill Wong et Alice. Toutes deux roulent tranquillement lorsqu'un homme nu surgit sous ses roues affirmant avoir découvert un homme mort au niveau d'une pierre appelée le Guerrier solitaire.

Agatha appelle la police mais le policier chargé du dossier est Wilkes, un inspecteur qui ne l'aime pas. Il pense à un canular. L'homme vient du camp de nudiste situé à proximité.

Au mariage Agatha retrouve son ex-mari James qui lui annonce partir deux semaines.

Un corps est retrouvé dans le lac de Mircester Park. Toni va au centre de nudiste, elle apprécie bien le jeune homme qui a surgi sous leurs roues et va également mener l'enquête.

On baigne dans la sorcellerie et les plantes toxiques...

Mon avis :

Le roman est comme souvent assez maigrelet mais j'avoue que cela me distraie toujours autant. J'aime bien Agathe hi hi sans prise de  tête.

Agatha va même être une adepte du nudisme

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son roman "Terreurs nocturnes".

 J'aime Jonathan Kellerman et j'ai déjà lu beaucoup de ses romans. j'ai eu envie de lire ou relire la série Alex Delaware dans l'ordre comme je l'ai déjà fait pour d'autres auteurs, histoire de me faire une idée plus précise de la vie des héros.

Je voulais lire un roman plus léger et finalement j'ai craqué et décidé de lire un autre livre de cet auteur qui fait parti de mes auteurs préférés.

L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire :

Alex Delaware, jeune psychologue, fait une conférence quand une consoeur médecin lui demande de prendre en charge Melissa, petite fille de 7 ans, victime  de terreurs nocturnes. Elle a peur de tout.

Sa mère, Gina, est une ancienne actrice mariée à un homme richissime qui a été victime au début de sa carrière d'un jet d'acide au visage. Son mari est décédé avant la naissance de Mélissa et Regina souffre d'agoraphobie.

Alex traite Mélissa pendant deux ans avant que la fillette décide d'arrêter la thérapie s'estimant guérie.

Elle recontacte Alex dix ans plus tard, elle a alors un peu plus de 18 ans. Sa mère s'est remarié avec un ex-ami qui tient un restaurant. Mélissa fréquente Noël, le fils d'une employée de son beau-père. En fait celui qui a agressé sa mère dans le passé a été libéré et Mélissa a peur...

Sa mère a décidé de suivre une thérapie pour lutter contre son agoraphobie.

Puis Gina disparaît...Elle était suivie par une clinique mais Alex découvre que la clinique est étrange et que peu de patients y sont soignés. De plus une journaliste qui enquêtait a disparue elle aussi.

Milo étant mis sur la touche par son travail est embauché par la famille pour enquêter.

Mon avis :

On est ici, comme souvent finalement chez cet auteur, dans un milieu privilégié. Gina et Mélissa sont très fortunées mais pas heureuses pour autant. Là aussi une enquête glauque et assez lente. Cette plongée dans l'horreur me trouble, il faut que je passe à autre chose!!

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son roman "La valse du diable".

 J'aime Jonathan Kellerman et j'ai déjà lu beaucoup de ses romans. j'ai eu envie de lire ou relire la série Alex Delaware dans l'ordre comme je l'ai déjà fait pour d'autres auteurs, histoire de me faire une idée plus précise de la vie des héros.

Je voulais lire un roman plus léger et finalement j'ai craqué et décidé de lire un autre livre de cet auteur qui fait parti de mes auteurs préférés.

L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire :

Une ancienne consœur, Stéphanie Eves, sollicite Alex Delaware car elle est confrontée à un cas délicat.

Après avoir été le médecin chargé dans le cadre des urgences de la mort de Chad, 1 ans,  due à la mort subite du nourrisson, elle est recontactée par les parents de Cassie qui viennent d'avoir cette petite fille.

Les parents sont les époux Jones, Cindy et Chip, un couple sympathique et idéal, dont le père du mari finance l'hôpital et en est le directeur.

Cassie est une abonnée des urgences  de l'hôpital, ses  symptômes sont divers et malgré les examens et analyses aucun médecin ne parvient à expliquer sa pathologie. Les mois passent et Cassie est toujours malade.

L'infirmière, un peu désagréable à l'égard d'Alex, paraît efficace.

Alex Delaware, psychologue spécialisé dans les troubles psychologiques de la petite enfance, a un gros doute et pense au syndrome de Münchhausen par procuration. La mère a une formation médicale et, comme c'est souvent la mère qui est responsable des pathologies des enfants, Alex la soupçonne.

Qui s'ingénie à rendre malade ce bébé? On se perd en conjectures! L'infirmière trop présente pourrait être aussi la coupable...

Un des médecins est assassiné.  Alex et son ami le détective Milo Sturgis commencent à se demander s'il n'y aurait pas un lien entre des meurtres mystérieux et la pathologie de l'enfant.

Mon avis :

Cette plongée dans un monde sordide et glauque est assez pénible d'autant que cela touche à l'enfance, un thème de prédilection de Jonathan Kellerman.

Le roman est passionnant !!

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Gilda Piersanti et  à son roman "La maison de la plage".

 L'auteur :

 

Gilda Piersanti est née à Tivoli en 1957. Elle réside à Paris depuis plusieurs années.

Née en Italie, Gilda Piersanti habite à Paris depuis vingt ans.

Elle a fait des études  à l’École d'Architecture de Rome et a également obtenu  obtient un doctorat en Philosophie.

Elle se consacre exclusivement à l'écriture depuis 1995.

J'ai lu plusieurs de ses romans :  "Rouge abattoir"
"Bleu catacombes" et "Jaune Caravage" dont les critiques sont sur ce blog.

L'histoire :

En 1994 à 30 kms de Rome, Inès, jeune maman est assassinée dans la maison construite par son grand père maternel dans les dunes.Ce dernier était architecte et n'a jamais voulu se défaire de cette habitation malgré la construction d'un aéroport

Sa fille,  Anna,  deux ans et demi, est restée seule la nuit auprès du corps de sa mère. Son jeune amant l'a découverte au petit matin et est sous le choc.

Le meurtrier n'est jamais arrêté.
Le  fils du commissaire  chargé de l'enquête a retrouvé les pièces de ce cold  case. Son père a toujours été préoccupé par ce dossier jusqu'à sa mort.

Les années ont passé et Anna est devenue photographe comme sa mère. Enfin presque car Inès se bornait à photographier les mariages, en tout cas c'est ce que l'on croit.

Anna avec l'aide du fils du commissaire devenu journaliste, décide de mener l'enquête d'autant qu'elle est toujours propriétaire de la maison occupée par son grand père paternel un psychanalyste réputé.

Mon avis :

J'ai aimé les romans de cet auteur que j'avais emprunté à la bibliothèque.

J'avoue avoir été un peu déçue par ce roman sur le plan de l'intrigue policière, pas de grosse surprise car il n'y a que deux auteurs possibles.

Par contre j'ai aimé la structure du roman avec les différentes narrations, même si on a du mal à comprendre la mère.

Il y a aussi pas mal d'invraisemblance, je pense au bébé préparant du café ou faisant son petit déjeuner, je me suis dit que la personne ne devait pas avoir eu d'enfant hi hi!!

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à RJ Ellory et à son roman "Seul le silence".

L'auteur :

Roger Jon Ellory est né en 1965 en Grande Bretagne et a eu une enfance difficile : Son père est parti avant sa naissance et sa mère est décédée à 28 ans alors qu'il n'avait que sept ans. C'est sa grand-mère qui va l'élever seule. Mais elle a une santé fragile, et finalement décide de le placer en orphelinat avec son frère. Il y reste jusqu'à l'âge de 16 ans.

À 16 ans, il abandonne ses études et retourne dans la maison familiale de Birmingham. Sa grand-mère décède malheureusement d'une crise cardiaque quelques semaines seulement après son retour.

Il se retrouve seul, avec son frère qui a un an de plus que lui, dans une maison où l'eau et l'électricité sont coupées.

Ils volent  des légumes dans les potagers voisins et les revendent. Ils volent également des poulets dans un monastère. Trois jours plus tard, les policiers leur rendent visite, accompagnés des bonnes sœurs du monastère. Elles identifient nommément chacun des poulets auxquels elles avaient donné les noms des provinces canadiennes… Ils sont condamnés à trois mois de prison.

Lorsqu'il sort de prison, Roger Jon Ellory monte un groupe de rock, « The Manta Rays », avec un bassiste et un batteur, Roger Jon jouant de la guitare. Ils commencent à construire leur studio d'enregistrement dans la maison, toujours sans électricité. Les rudes conditions de leur vie sont fatales pour leur batteur qui était asthmatique. Il meurt en pleine nuit dans le studio. Cet épisode dramatique conduit Roger Jon Ellory à se dire qu'il lui faut changer de mode de vie et s'oriente vers l'écriture. Je vous laisse découvrir sa vie sur le net!

L'histoire :

Joseph Vaughan a une vie difficile puisqu'il devient orphelin de père très jeune. On songe à la vie de l'auteur.

Sa mère l'élève malgré des moyens modestes mais il existe une vraie solidarité dans la petite ville de Augusta Falls.

La guerre en Europe fait rage. On est en 1939/1945.

Une enfant de 11 ans est assassinée sauvagement. Puis d'autres le sont aussi. Toutes étaient des élèves de la classe de Joseph, âgé alors de 12 ans. Puis d'autres morts dans des comtés limitrophes.

Leur voisin d'origine allemande voit sa maison incendiée et sa fille, qu'aimait beaucoup Joseph, meurt dans l'incendie.  Les habitants du village pensent que l'auteur de ces meurtres ne peut pas être un américain, d'où les actes de violence...

Joseph, âgé de 18 ans,  fait tous les petits boulots et devient l'amant de son ancienne institutrice. Elle finit pas être enceinte et le couple se marie. Hélas, Alexandra décède accidentellement.

Des mois  plus tard, lorsque l'affaire semble enfin élucidée par le suicide de l'auteur présumé, Joseph décide de changer de vie et de s'installer à New York.  Il écrit un livre qui connaît un succès d'estime mais sa compagne est assassinée et lui est condamné pour meurtre. En détention il écrit un best seller sur son histoire et son procès est révisé.
Joseph Vaughan est acquitté après 14 ans de détention et décide de tuer le meurtrier qui a continué en réalité à sévir.

 Mon avis :

J'ai adoré ce roman qui n'est pas vraiment un roman policier. L'histoire se déroule sur presque 30 ans et dépeint une Amérique profonde. L'ambiance est parfois noire, parfois émouvante. Un merveilleux roman.

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Emily St. John Mandel   et à son roman La mer de la tranquillité.

L'auteur :

Emily St. John Mandel est née en 1979 et est canadienne anglophone.

Elle passe son enfance sur l'île de Denman. vit  à Montréal, avant de s'installer à New York.

Elle  vit à Brooklyn avec son mari et sa fille.

Son premier roman, "Dernière Nuit à Montréal"  a été finaliste du ForeWord Magazine's 2009 Book of the Year.

"On ne joue pas avec la mort"  remporte le Prix Mystère de la critique en 2014.


Elle publie en 2014 "Station Eleven", un roman  se déroulant dans un monde post-apocalyptique après qu'un virus a ravagé la Terre. 

L'histoire :

On découvre en 1912 la vie de Edwin St John St Andrew, jeune cadet de l'aristocratie anglaise obligé par sa famille de s'exiler aux USA

Alors qu'il se trouve à Caiette et est le témoin d'un étrange phénomène Il perd connaissance et entend un air de violon. Il parle avec un jeune prêtre qui disparaît...

En 2020 Mirella assiste à un spectacle de Paul James Smith. Elle souhaite lui parler de sa sœur Vincente avec laquelle elle a été amie. Mais Vincente est décédée. Le spectacle de Paul montre une étrange vidéo prise par sa sœur. Avec Mirella un homme attend Paul Smith à la sortie de son spectacle.Mirella a l'impression de reconnaître cet homme vu plusieurs années auparavant qui l'avait appelée Mirella...

En 2203 l'écrivain Olive est en tournée sur la terre. Elle fait la promotion de son nouveau roman et se languit de son mari et de sa fille laissés sur une colonie spatiale.

Dans le futur, en 2401, Gaspery  est embauché par l'institut du temps et après une formation de cinq années doit enquêter sur des anomalies temporelles.

Il enfreint la règle afin d’éviter la mort de la jeune écrivain et éviter à Edwin de devenir fou. Il est emprisonné plusieurs années dans le passé. Sa sœur finit par l'exfiltrer...

Mon avis :

J'avoue avoir aimé ce roman qui me rappelle le film L'armée des 12 singes avec Bruce Willis, film que j'ai adoré hi hi.

On voyage dans le temps même si tout ne s'explique pas mais l'ambiance est vraiment agréable

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Christopher Cartwright et à son roman " L'atlantide disparue".

L'auteur :

Christopher Cartwright est né en 1983.

Il a une formation d'ambulancier mais est aussi  un passionné de voile et de plongée sous-marine. 

Christopher Cartwright vit actuellement à Sydney avec sa femme et ses deux enfants.

Il est l'auteur de la série Sam Reilly. Je ne connaissais pas du tout cet auteur que j'ai découvert avec ce livre qui n'est pas le premier de la série. J'aimerais bien lire les premiers.

L'histoire :

 Mon avis :

Une histoire compliquée mais agréable à lire. Cela ressemble un peu aux romans de Clive Cussler.

J'ai bien aimé.

A bientôt

Bonjour,

ma chronique du jour est consacrée à Christopher Cartwright et à son roman " La vague scélérate".

L'auteur :

Christopher Cartwright est né en 1983.

Il a une formation d'ambulancier mais est aussi  un passionné de voile et de plongée sous-marine. 

Christopher Cartwright vit actuellement à Sydney avec sa femme et ses deux enfants.

Il est l'auteur de la série Sam Reilly. Je ne connaissais pas du tout cet auteur que j'ai découvert avec ce livre qui n'est pas le premier de la série. J'aimerais bien lire les premiers.

L'histoire :

 Mon avis :

Le roman débute bien mais ensuite je me perds dans les détails techniques. Malgré tout j'ai assez bien aimé même si je pense que les romans de Cussler sont peut être meilleurs. Maintenant je réserve quand même mon avis car j'ai cru comprendre que j'ai lu les premiers romans de cet auteur qui en a écrit plus de 30...

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Clive Cussler  et Dirk Cussler et au  roman " La flèche de Poséidon" :

 L'auteur :

Clive Cussler est né aux USA en 1931 et mort en 2020.

Il a été chasseur d'épaves puis est devenu romancier tout en gardant son activité initiale.

Il s’engage dans l’armée de l’Air pendant la guerre de Corée et travaille  comme mécanicien d’avions.

Il entre ensuite dans la publicité où il devient rédacteur puis concepteur pour deux des plus grandes agences de publicité américaines.

Il entame sa carrière d'écrivain en 1965 avec "Vortex" qui ne trouve pas d’éditeur et qui sera publié des années plus tard.

Ce sont ses romans suivants, "Mayday" en 1973 et "Iceberg" en 1975 qui font découvrir au public son héros aux yeux verts : Dirk Pitt.

C’est avec "Renflouez le Titanic ! en 1976 que Cussler commence véritablement sa carrière d’auteur à succès.

Ses romans sont traduits dans plus de 40 langues et sont parues dans près de 100 pays.

Deux de ses romans ont été adaptés au cinéma

Clive Cussler s’est également acquis une réputation comme chasseur d'épaves. Il affirme avoir retrouvé environ 60 navires coulés un peu partout sur la planète, dont le CSS H. L. Hunley, le Cumberland, le Manassas, le Carondelet, le Sultana et le Florida.

Il a été président de la NUMA (National Underwater and Marine Agency), l'Agence nationale maritime et sous-marine, association à but non lucrative qui défend le patrimoine marin international.

Il a apprécié particulièrement les vieilles voitures, constituant au fil des années une impressionnante collection de voitures reconstituées.

L’histoire :

En 1943 un sous-marin allemand est attaqué par un hydravion britannique et, privé d'hélice il dérive...

De nos jours Dirk Pitt fait une petite plongée lorsqu'il est sollicité par sa femme, un bateau percute leur embarcation et ils ne doivent leur salut qu'au fait que Pitt entraîne sa femme dans l'eau...

Puis le bateau fonce droit sur un paquebot de croisière. Dirk Pitt arrive à détourner le bateau fou et Pitt constate que le pilote est mort et a les mains noircies . La cargaison du bateau a disparu et Pitt pense a un acte de piraterie.
Plusieurs cargaisons de bateau disparaissent, il s'agit de métaux rares.

Un homme veut s'emparer des minerais pour menacer l'approvisionnement des pays occidentaux. Pitt est fait prisonnier ainsi que son ami Joe. Il arrive à se sauver et est aidé par Zhou un agent chinois.

Pitt est aidé par ses enfants,  les jumeaux Dirk Pitt Jr et Summer…

Mon avis :

 Agréable à lire, j'ai pris plaisir à bouquiner tranquillement auprès de ma cheminée...

A bientôt.

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Peter Tremayne et à son  roman " La mort aux trois visages".

Plusieurs de mes publications ont disparues depuis le transfert de mon blog sur la nouvelle plateforme. Pour retrouver un auteur il faut utiliser la fonction recherche. J’en étais à 73 publications. Je reprends donc au numéro 74. C'est le foutoir ce transfert de blog!!

 L'auteur :

Peter Tremayne, de son vrai nom Peter Berresford Ellis, est romancier, biographe et journaliste. Il est né en 1943.

Il fait ses études au Brighton College of Art et à l'Université de Londres. En 1989, il obtient également un diplôme en études celtiques du North East London Polytechnic, une des facultés de l'Université de Londres-Est.

Devenu journaliste, il entre d'abord dans un petit hebdomadaire de la côte Sud de l'Angleterre, puis travaille pour la presse en Irlande. En 1964, il est chroniqueur pour les questions touchant l'Irlande de Nord dans un quotidien de Londres.

Spécialiste de l'histoire celte, il publie en 1968, sous son patronyme, "Wales: A Mation Again", un essai sur la lutte d'indépendance du Pays de Galles.

Il s'est fait connaître avec des récits fantastiques fondés sur les mythes et légendes celtiques.

Entre 1983 et 1993, il écrit huit thrillers sous le nom de Peter MacAlan, puis se lance dans la rédaction des mystères de Sœur Fidelma. Cette série compte, en 2015, 26 titres traduits en français.

Il reçoit en 1988 l'Irish Post Award, en reconnaissance de ses apports importants à l'étude de l'Histoire irlandaise.

Sous le pseudonyme de Peter Tremayne sont également parus plusieurs romans fantastiques, où est notamment repris le personnage de Dracula de Bram Stoker, auquel l'auteur a consacré une étude, intitulée "The Un-dead: the Legend of Bram Stoker and Dracula", en 1997. Il a aussi fait paraître des récits d'horreur, notamment "Terreur rampante" ("The Morgow Rises !", 1982).

Peter Tremayne est membre de la Society of Authors ainsi que de la Crime Writers Society.

L'histoire : 

 En 666, le royaume de Laisre qui dépend du royaume de Colgu, frère de Fidelma, résiste à la christianisation du pays et  souhaite garder ses anciennes croyances. Comme des membres du royaume ont épousé des chrétiens Laisre, le seigneur, souhaite édifier une église et une école chrétienne.

Soeur Fidelma et frère Eadulf sont envoyés afin de régler cette situation

A proximité de leur arrivée, ils découvrent les cadavres de trente-trois hommes dont la disposition et le mode d’assassinat font penser à un rite païen.

Les discussions s’engagent mal et Sœur Fidelma décide de partir. Laisre la retient et elle revient sous condition.

Dans la nuit, elle suit un prêtre, frère Solin, dont elle estime le comportement curieux. Elle l’a entendu parler de la chute de Cashel, le royaume de son frère. Elle bute sur le corps du religieux après avoir vu partir la sœur de Laisre. Elle est emprisonnée et accusée de meurtre. Elle est mise en accusation par le juriste local.

Le témoin ayant été payé, frère Eadulf arrive à faire libérer Fidelma qui doit encore trouver le vrai coupable. En se promenant elle tombe sur un autre corps...

Mon avis :

L'enquête est compliquée car les noms des protagonistes sont difficiles à retenir . J’ai apprécié les relations complexes entre les groupes. J’ai découvert l’extrême propreté des irlandais et la modernité de la place des femmes

 A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à R.J.Ellory et à son  roman

" Une saison pour les ombres".

Roger Jon Ellory est un auteur que j’adore. Il est étonnant et ses romans sont foisonnants. J’ai presque envie de relire des romans plus anciens comme je le fais parfois afin de retrouver le monde de l’auteur en parcourant tous ses romans bout à bout.

 L'auteur :

Roger Jon Ellory est né en 1965 en Grande Bretagne et a eu une enfance difficile : Son père est parti avant sa naissance et sa mère est décédée à 28 ans alors qu'il n'avait que sept ans. C'est sa grand-mère qui va l'élever seule. Mais elle a une santé fragile, et finalement décide de le placer en orphelinat avec son frère. Il y reste jusqu'à l'âge de 16 ans.

À 16 ans, il abandonne ses études et retourne dans la maison familiale de Birmingham. Sa grand-mère décède malheureusement d'une crise cardiaque quelques semaines seulement après son retour.

Il se retrouve seul, avec son frère qui a un an de plus que lui, dans une maison où l'eau et l'électricité sont coupées.

Ils volent  des légumes dans les potagers voisins et les revendent. Ils volent également des poulets dans un monastère. Trois jours plus tard, les policiers leur rendent visite, accompagnés des bonnes sœurs du monastère. Elles identifient nommément chacun des poulets auxquels elles avaient donné les noms des provinces canadiennes… Ils sont condamnés à trois mois de prison.

Lorsqu'il sort de prison, Roger Jon Ellory monte un groupe de rock, « The Manta Rays », avec un bassiste et un batteur, Roger Jon jouant de la guitare. Ils commencent à construire leur studio d'enregistrement dans la maison, toujours sans électricité. Les rudes conditions de leur vie sont fatales pour leur batteur qui était asthmatique. Il meurt en pleine nuit dans le studio. Cet épisode dramatique conduit Roger Jon Ellory à se dire qu'il lui faut changer de mode de vie et s'oriente vers l'écriture. Je vous laisse découvrir sa vie sur le net!

L'histoire : 

 Jack ou Jacques Devereaux travaille avec son associé Ludo sur la scène d’un incendie. Son métier est de trouver les raisons du sinistre. Un coup de fil et il apprend que son jeune frère Calvis est en détention. Jack accepte de revenir à Jasperville, localité de son enfance qu’il a quitté plus de 25 ans auparavant pour ne jamais revenir. Le trajet lui prend 4 jours et pendant la durée de son voyage en voiture puis en train on découvre petit à petit son histoire.

Ses parents sont venus à Jasperville avec William, le grand-père maternel pour rompre avec leur vie d’antan. Jasperville se trouve au nord du Canada et c’est une région glaciale.

Henri le père est travailleur même s’il se montre parfois violent en paroles. Par contre il ne boit jamais. Il monte en grade et finit par diriger la mine.

Le couple avait déjà deux enfants : Juliette et Jack. Ils en ont un troisième Calvis à Jasperville. William est atteint de démence.

Une première jeune fille de 15 ans est assassinée puis une seconde quelques années plus tard. Pas d’autopsie car trop cher et trop loin. Puis Thérèse la compagne de Juliette est assassinée à 20 ans. Le policier local est persuadé qu’il s’agit d’un assassinat mais on lui refuse les moyens d’enquêter comme à ses prédécesseurs.

Plusieurs années se passent et Jack n’est jamais revenu, il n’a plus revu son frère et a abandonné Carine, la jeune fille qui était amoureuse de lui. A son arrivée à Jasperville Jack s’installe à l’auberge et rencontre Martin le jeune homme qui s’occupe des clients. Le lendemain on lui refuse la chambre car l’auberge est désormais tenue par Carine qui a fait suite à ses parents. Jack s’installe dans la maison familiale qu’occupe son frère. Ce dernier semble enquêter sur les meurtres sachant que d’autres jeunes filles ont été tuées dans de petites villes dépendant de la même société minière.

Mon avis :

Il y a toute une ambiance dans ce roman, je suis fascinée par le talent de l’auteur. J’ai eu l’impression d’être dans ce monde oublié de tous.

Un autre roman de cet auteur se déroule aussi sur une longue période de temps et je crois que c’est « Seul le silence » que j’avais aussi beaucoup aimé.
 

 A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son  roman " Double meurtre à Borodi Lane".

 L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire : 

Un vigile affecté à mi-temps à un chantier abandonné d’une immense maison découvre au premier étage, dans une tourelle deux corps enlacés. L’homme est identifié comme étant .

Le chantier était réalisé par Masterton une agence d’architectes. Au siège de cette agence Elena Kotsos, épouse de M.Kotsos, identifie la femme comme étant Birgid Ochs. Elena a licencié Birgid après l’avoir surprise en train de farfouiller dans l’ordinateur de l’entreprise. Milo, le policier qui mène l’enquête finit par apprendre que la jeune femme est Doreen Fredd une camarade de classe de Des Backer. Ils ont fait parti d’une bande de jeunes soupçonnés d’incendie motivé par l’écologie. Des a fini par faire des études et Doreen a disparu plusieurs années avant d’être arrêtée par le FBI et retournée.

L’enquête mène Milo a l’agence d’architecte où travaillait Des Backer. Cette agence est dirigée par une femme étrange, dépourvue de toute empathie : Helga Gemein. Elle est la fille d'un richissime banquier suisse. Helga et veut venger la disparition de sa jeune sœur Dahlia. Elle soupçonne le frère du sultan du Sranil.

De plus Milo  soupçonne des écoterroristes d'être mêlés à cette affaire car les deux victimes avaient été melés à des incendies.

Mon avis :

J'ai beaucoup aimé ce roman qui maintient le suspens presque jusqu'au bout.

A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son  roman " Fureur assassine".

 L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire : 

Alex Delaware est tranquillement chez lui lorsqu’il reçoit un coup de fil qui le surprend. Il s’agit d’un appel de Rand Duchay qui a été condamné huit ans auparavant avec Troy Turner, pour le meurtre d’une fillette de 2 ans, Krystal. Rand était âgé de 14 ans et Troy avait 13 ans.

Huit ans auparavant Alex a étudié Rand afin de déterminer son degré de culpabilité dans le meurtre de l’enfant. Alex estimait que Rand était d’une grande débilité contrairement à Troy qui était un psychopathe pouvant être très violent. Troy est épaulé par un couple de pasteurs, Cherish et Drew Daney.

A sa sortie, Rand vit justement chez eux car le couple est famille d’accueil. Ils n’hébergent en général que des adolescentes.

Donc Rand téléphone à Alex et lui dit qu’il n’était pas méchant. Ils se donnent rendez vous mais Rand ne vient pas. Il est retrouvé un peu plus tard assassiné…

Alex et Milo sont perplexe car il y a beaucoup de morts dans cette affaires. Troy a été assassiné peu après son incarcération par un co-détenu. La mère de Kristal est morte dans des circonstances troublantes, la grand-mère de Rand est également décédée.

On soupçonne le père de Krystal qui, en plus, a une liaison avec Cherish Daney. Puis Alex se rend compte que Krystal a les yeux bruns alors que ses parents ont tous deux les yeux bleus...

Mon avis :

Enquête passionnante et aussi sordide, comme souvent les romans de Jonathan Kellerman qui plonge dans le secret des famille.

J’ai adoré

 A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son  roman " Docteur La Mort".

 L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire : 

Le docteur Eldon H Mate est retrouvé mort dans Mulholland Drive.

La camionnette a été louée par une de ses amies Alice.

Le docteur Mate est aussi appelé Docteur La Mort car il aide les gens en fin de vie à se tuer. Après avoir été acquitté à plusieurs reprises les autorités ont renoncé à le poursuivre.

Alex Delaware est averti par Milo. Il est troublé car il craint que le père d’une de ses jeunes patientes soit à l’origine du décès. Alex a en effet assuré le suivi de Stacy Doss six mois auparavant. Sa mère Joanne Doss est morte assassinée dans un motel et cette mort a été mise sur le compte du Docteur Mate. Le père, Richard Doss, un riche promoteur immobilier, était fou de rage à l’encontre du praticien l’ayant aidé à mourir.

Finalement, avec l’accord de Richard, il parle de la situation à Milo.

Le père est soupçonné d’autant qu’il a voulu payé un ouvrier travaillant pour lui pour tuer le Docteur Nate.

Alex s’inquiète aussi de la rage de Eric, le frère aîné de Stacy. En enquêtant Alex se demande de quoi souffrait Joanne qui avait fini sa vie alitée et obèse.

En parallèle un agent du FBI évoque l’existence d’un autre ange de la mort, serait-ce lui à l’origine de la mort de Joanne trouvée dans un motel alors que le Docteur Nate depuis plusieurs mois utilisait une camionnette et plus une chambre de Motel. Ou encore aurait-il tué son mentor. On découvre aussi que le Docteur Nate avait un fils devenu SDF...

Mon avis :

Le roman est passionnant avec ses pistes, ses culs de sac, les interrogations d’Alex Delaware.

 A bientôt

Ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son  roman " les sœurs ennemies".

L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire : 

Alex Delaware est sollicité par une juge pour faire une expertise dans le cadre de sa fonction de juge des tutelles. Chéri Sykes a un bébé et sa sœur en revendique la garde.

Alex doit déterminer si la mère est capable de s’occuper de l’enfant.

Constance Sykes, sœur de Cheri, a réussi sa carrière de médecin, elle est propriétaire de son laboratoire et vit confortablement.

La sœur cadette, Cheri, est affectueuse mais a l’allure d’une hippie. Elle élève sa petite fille Rambla du mieux qu’elle peut compte tenu de ses moyens limités.
Alex tranche en faveur de la mère. Il est violemment menacé par Constance.
Cette dernière est retrouvée étranglée à son domicile.

Chéri disparaît avec sa fille et le lieutenant Sturgis est convaincu de sa culpabilité.

L’un des pères possible de l’enfant est tué et l’autre échappe de peu à la mort.

Alex fait l’objet d’un contrat mais un de ses anciens patients le sauve.

La culpabilité de Chéri n’est pas évidente aux yeux d’Alex...

Mon avis :

Le roman est pas mal, on y trouve une femme un peu folle, des huissiers vereux, une hippie décalée, des musicos plus tout jeunes, bref un cocktail sympa.

 A bientôt

Bonjour,

Ma chronique du jour est consacrée à Jonathan Kellerman et à son  roman " la sourde".

Je reprends mes habitudes de parution que les changements dans mon blog avaient perturbées. J'ai du mal à m'y habituer pour tout dire!!
 

 L'auteur :

Jonathan Kellerman est né en 1949 aux USA.

Il suit des études de psychologie à l'Université de Californie où il obtient son diplôme en 1971 et se spécialise en psychologie clinique pédiatrique en 1974. Après avoir obtenu son diplôme en 1976, il travaille à l'hôpital des enfants de Los Angeles où il est fondateur et directeur d'un programme psychosociale dans le service d'Hématologie et d'Oncologie. En 1980 il publie son premier ouvrage, "Psychological Aspects of Childhood Cancer" étant précisé qu'il a eu un cancer de la thyroïde.

Deux ans après la publication de son premier roman "Le rameau brisé", couronné du prestigieux prix Edgar du meilleur premier roman à suspens en 1986, et adapté à la télévision la même année (avec Ted Danson), il se consacre entièrement à l'écriture.

Ses études et son activité professionnelle lui servent de cadre pour l'écriture de ses romans. Son héros Alex Delaware, un psychologue pour enfants, semble être son double littéraire.

Il est marié depuis 1972 à Faye Kellerman  également écrivain, avec qui il a déjà cosigné deux romans. Ils sont parents de quatre enfants dont l'auteur de romans policiers Jesse Kellerman.

Jonathan Kellerman est également coauteur, avec son fils, de "Que la bête s'éveille"  paru précédemment sous le titre "Le Golem d'Hollywood" et de "Que la bête s'échappe" . Plusieurs des romans de Jonathan Kellerman ont déjà été publies sur ce blog car j'apprécie beaucoup cet auteur.

L'histoire : 

Le roman débute avec le suicide en plein restaurant d’un jeune policier, Nolan, qui menait une vie solitaire. Sa sœur ne comprend pas les raisons de sa mort.

Une sortie scolaire d’un institut assez sélect pour enfants différents a lieu en forêt. Une élève est portée manquante, puis on la retrouve morte à l’écart du groupe. La fillette d’origine israélienne était sourde et vivait un peu dans son monde. Le père travaille au consulat d’Israel et exclut tout lien avec sa profession.

Deux mois se passent sans résultat et l’affaire est confiée à Milo Sturgis.

Milo Sturgis, policier dont la carrière est bloquée en raison de son homosexualité affichée, et Alex Delaware, fin psychologue s’associent pour résoudre cette affaire mais se heurte au manque de coopération du père.

Ils découvrent plusieurs meurtres de jeunes soit infirme ( un aveugle) ou retardés mentaux ( comme une jeune femme de mœurs légères) .

La dimension eugéniste de ces meurtres frappe Alex Delaware.

Ils font le lien avec une librairie prônant l’eugénisme et un policier qui a été le mentor de Nolan.

On impose à Milo de travailler avec un policier israélien.

Mon avis :

Ce roman n’est pas mon préféré mais je deviens difficile hi hi !

Extrême droite, théorie nazie, je ne trouve pas que c’est ma tasse de thé mais le roman se laisse lire et on est quand même happé par l’intrigue.

 A bientôt